Langage Déguisement Pensée

l’élaboration originale de la pensée, une conception neuve de quelque chose, une trouvaille. Il s’agira donc de discuter la formule de Mallarmé autour d’un plan dialectique. Dans un premier temps, il nous faudra déterminer l’aspect esthétique de la poésie dans sa construction concrète, dans son rapport directe avec les mots pour comprendre le point de vue de Mallarmé. Ensuite, il nous faudra développer la poésie en tant que moyen d’expression des pensées et des sentiments, au-delà du mot

goût et quelquefois même contre la langue» ou encore comme Alembert qu'il «ne parlait pas le français ordinaire» .On disait que ses expressions étaient soit trop recherchées soit inventer. Certains termes qui aujourd'hui sont devenus courant dans le langage d'aujourd'hui, comme par exemple : Tomber amoureux qui auparavant se disait se rendre amoureux. Les œuvres de Marivaux étaient appréciées pour leurs contenues mais non par la façon dont elles étaient rédigées. Le style de Marivaux était si particulier

alors une répression : « Par la crainte qu’il inspire, il réprime les excentricités ». B. Le « comique des formes » - Le rire qui porte sur une forme est toujours lié à l’idée de déguisement et cela même de façon indirecte. Parmi les difformités, ne nous font rire que celles qu’on pourrait copier par un déguisement, en effet un bossu devient drôle lorsque l’on songe qu’il a pris cette difformité à force de se tenir mal. - L’idée de raideur joue aussi, un visage laid, grimaçant, a pu prendre cette

Dans cette scène, c’est Sganarelle qui à l’initiative de la parole, c’est lui qui pose les questions, il cherche peut-être à se mesurer à Dom Juan, à se comparer à lui. En tout cas, il s’affirme et il va permettre ici à Dom Juan de préciser sa pensée. Il est utile, c’est grâce à lui que Dom Juan s’explique. Dom Juan va lui servir d’auditoire pour exposer sa propre théorie, mais on voit que le maitre écoute d’une oreille distraite et ne prend pas la peine de dialoguer, d’argumenter. Il s’amuse

mots, le comique de gestes (bastonnades) 1°) Le comique de situation • Il repose souvent sur un quiproquo : deux personnages comprennent les mots dans un sens différent. Ainsi, dans l'Avare, Valère évoque son amour pour Élise, alors qu'Harpagon pense qu'il lui parle de sa cassette. (Molière, l'Avare, V, 3) 2°) Le comique de caractère • On le rencontre en particulier dans les pièces de Molière. Ce dernier dénonce les défauts des hommes : l'égoïsme (le Médecin malgré lui), la vanité (le Bourgeois

psychiatres de l’école française, grand nosographe (catégorie des troubles)
 
 —> Maladie du système nerveux sans liaison, sans socle organique connu et reconnu UNE MANIERE DE CONSIDERER L’AUTRE ET SES SOUFFRANCES, éthique du soin. Il y aurait dans la pensée une souffrance psychique qui ne soit pas du coté de la maladie Modèles Freudiens : 1894 1. Les névroses actuelles: liée à l’enjeu ici et maintenant, l’idée qu’il y a une dépendance aux conditions présentes (hypocondrie) 2. Psycho névrose de défense:

peut fâcher Silvia La façon de parler de lisette revendique le milieu du quel elle vient. Elle n’a pas les mêmes capacités d’abstraction que sa maîtresse. Pour construire un argument, il faut avoir les capacités logiques de raisonnement et avoir le langage pour argumenter. Lisette est limitée, elle synthétise les propos de sa maîtresse par les images. Lisette apporte la touche comique.Nous sommes la dans les scènes d’expositionComment les personnages fin acte 1 jouent t il leur roles ? Et comment chacun

1Le théâtre, celui de Shakespeare en particulier, est le lieu privilégié du déguisement, procédé qui se présente sous deux formes et emplit deux fonctions différentes, quoique forcément liées l’une à l’autre. Chacune de ces deux formes et de ces deux fonctions entraîne des subdivisions, qui apportent quelque diversité tout en se rattachant à un concept unificateur. Dans les deux cas le procédé apparaît comme spécifiquement théâtral et repose sur une connivence étroite entre l’auteur et le public

faut attraper des anneaux mais se crispe trop et rate. On voit alors le caractère de Nathalie Sarraute qui n'arrive pas à jouer comme les autres enfants. Elle est dans un mariage mais elle ne trouve pas sa place avec les grands et adopte alors un déguisement de bébé. Elle est rue Boissonade et la fiancée de son père arrive et danse avec la petite fille qui rigole beaucoup. Elle est encore au Luxembourg avec son père et la fiancée de son père et tout à coup ressent une joie intense qui l'envahit et

fondamentalement en cause le primat accordé par la philosophie classique à la conscience. Pour Descartes, par exemple, pensée et conscience ne font qu’un : « Par le nom de pensée, écrit Descartes, j’entends tout ce qui est en nous de telle sorte que nous en soyons immédiatement conscients ». La conscience, dans cette perspective, n'est rien d'autre que la présence et la transparence de la pensée à elle-même, de telle sorte qu'il n'est rien que nous pensions, que nous sentions ou que nous désirions dont nous