Laquais

l'ordonne ! Ce n'est pas du poison, cette affreuse liqueur ? Dis ? RUY BLAS. Si ! C'est du poison. Mais j'ai la joie au coeur. Tenant la reine embrassée et levant les yeux au ciel. - Permettez, ô mon Dieu, justice souveraine, Que ce pauvre laquais bénisse cette reine, Car elle a consolé mon coeur crucifié, Vivant, par son amour, mourant, par sa pitié ! LA REINE. Du poison ! Dieu ! C'est moi qui l'ai tué ! - je t'aime ! - Si j'avais pardonné ? ... RUY BLAS, défaillant. J'aurais agi de

prouvant qu'on attendait des hôtes d'importance. Pierre, en belle livrée neuve, était debout sur le seuil de la porte, dont il poussa les battants à l'approche de la voiture, qui déposa le baron, la baronne et le duc au bas de l'escalier. Huit ou dix laquais, rangés en haie sur les marches, saluèrent profondément ces nouveaux maîtres qu'ils ne connaissaient pas encore. […] Il n'y avait plus dans la cour ni orties, ni ciguës ni aucune de ces mauvaises herbes que favorisent l'humidité, la solitude et l'incurie[7]

LITTERATURE DU XIX SIECLELE THEATRE FRANCAISE AU XIX SIECLEBIBLIOGRAPHIE · Victor Hugo , Hernani , éd. G. Gengembre, Paris, Pocket, 2009 · Victor Hugo, Ruy Blas , éd. G. Rosa, Paris, Librairie Générale Française, 1994 · Musset, On ne badine pas avec l’amour , éd. F. Lestringat, Paris, Flammarion, 1999 · Labiche, un chapeau de paille d’Italie

 sorte  dans  notre  maison  ?   DU  CROISY  :  Comment,  Mesdames,  nous  endurerons  que  nos  laquais  soient  mieux  reçus  que  nous  ?  qu'ils   viennent  vous  faire  l'amour  à  nos  dépens,  et  vous  donnent  le  bal  ?   MAGDELON  :  Vos  laquais  ?   LA  GRANGE  :  Oui,  nos  laquais  :  et  cela  n'est  ni  beau  ni  honnête  de  nous  les  débaucher  comme  vous  faites

Jean-Jacques Rousseau est né à Genève en juin 1712. Sa mère meurt lorsqu’il naît ; il est donc élevé par son père, puis par un pasteur genevois, jusqu’à ce qu’il soit recueilli par Mme de Warens à Annecy (Rousseau a alors seize ans). Il a d’abord été laquais chez un comte, puis musicien et secrétaire d’ambassade à Venise. Il s’installe à Paris en 1742. Là, il présente une méthode de notation musicale qu’il a inventée, sans succès. Il fréquente le milieu littéraire et rencontre notamment Diderot, Condillac

hésite un moment, et se dirige lentement vers la fenêtre », « comme à la torture, hésite puis se baisse » celui-ci pour asseoir son autorité donne des services inutiles à son valet, pour lui montrer qu’il reste son maître et que Ruy Blas reste son laquais. On constate comme un combat entre ces deux personnages, qui est le maître ? qui est le valet ? Ruy Blas tente de lutter contre cette différence sociale, et essaye d’égaler son maître. Les Bonnes : Extrait Cet extrait est intéressant, car les

ile où la funeste coutume consiste à tuer tous les maîtres s'y présentant. Dans leurs malheurs, ils seront accompagnés par Cléanthis et Euphrosine, sa maîtresse. Dans l'extrait présenté, le lecteur arrive au moment où Iphicrate menace de tuer son laquais avec une épée et Trivelin arrivant au même moment peut enfin leur expliquer l'objectif du "cours d'humanité" qu'ils vont suivre durant les trois prochaines années. Trivelin, gouverneur et par conséquent personnification de l'autorité sur cette île

Jourdain montra sa stupidité avec maître de philosophie lorsqu’il lui demanda de lui apprendre l’orthographe au lieu des autres sciences comme la logique, la physique etc. Il montra aussi sa naïveté et sa générosité maladroites avec le tailleur et ses laquais. Analyse de la pièce (résumé) ACTE PREMIER. M. Jourdain, dont le père s'est enrichi en vendant du drap, a décidé de vivre en " homme de qualité ". L'acte s'ouvre sur la conversation des maîtres de musique et de danse qui discutent des mérites

de Victor Hugo écris au XVII. Don Salluste va exécuter la vengeance échafaudée dès la première scène du drame. La scène 3 de l’acte 5 réunit les trois protagonistes essentiels au drame dans un ultime face à face et oppose le nouveau maître et le laquais : Don Salluste savoure son triomphe, menace et insulte la reine, quand Ruy Blas se « réveille » : après avoir dévoilé à la reine sa véritable identité et insulté son maître, il lui arrache son épée. Si la première moitié de la scène a été menée par

jouissait déjà, sans compter ce qu’il attendait après la mort de son père. Elle allait être maîtresse de son cœur et de sa fortune ; et pour gage de ses bienfaits, il était prêt à lui donner un carrosse, un hôtel meublé, une femme de chambre, trois laquais et un cuisiner. » Manon décide de rester avec G…M.. et envoi une lettre à son amant accompagné d’une belle fille que ce dernier rejette. Il est tromper une fois de plus (3ème fois). Désespéré, il va voir Manon : p165 : « le désespoir et l’abandon