Laquais

littéraire est incarné par Victor Hugo, homme politique influant et un des plus grand poète, dramaturge et romancier du XIXe siècle, auteur de nombreuses œuvres tel que Ruys Blas, dont nous allons étudié un extrait. Cette pièce raconte les péripéties d’un laquais, Ruys Blas, au service d’un grand d’Espagne : Don Salluste. Ruys Blas, sous les ordres de son maître se fait passer pour Don César (cousin de Don Salluste) afin de tromper la reine mais il tombe amoureux de celle-ci et est contraint de tuer son maître

méditations sur le sort des humains ; J'avais bâti des plans sur tout, – une montagne De projets ; – je plaignais le malheur de l'Espagne ; Je croyais, pauvre esprit, qu'au monde je manquais... – Ami, le résultat, tu le vois : – un laquais ! Don César. Oui, je le sais, la faim est une porte basse : Et, par nécessité lorsqu'il faut qu'il y passe, Le plus grand est celui qui se courbe le plus. Mais le sort a toujours son flux et son reflux. Espère.

Ruy Blas, Victor Hugo, 1838. Genre : Drame romantique (de 5 actes) Héros : Ruy Blas (héros de drame romantique par excellence) Personnages principaux : Ruy Blas : Laquais de Don Salluste, orphelin, amené à devenir « César de Bazan », duc d'Olmedo et grand d'Espagne. Don Salluste de Bazan : Marquis de Finlas (en Castille) /grand d'Espagne → personnage froid, manipulateur. Doña Maria de Neubourg : la reine. Don César de Bazan : bandit, cousin de Don Salluste (seul à connaître son vrai nom)

visant à amplifier. Ces effets d’attente montrent bien la difficulté de Ruy Blas à avouer son amour pour la reine.T2 : D’une autre part on constate dans cette scène l’expression d’un amour impossible et douloureux, l’amour de Ruy Blas, un pauvre laquais, pour la reine, alors une personnalité connue et importante. · L’amplification de la gravité de l’aveu explique l’exaltation du héros qui s’exprime avec l’emploie de l’exclamation, présent dans chacune de ses répliques, ou encore à travers l’utilisation

définit entre autres comme un être avec un profond clivage intérieur. Ici, ce conflit se ramifie et finit par monopoliser l'ensemble de la scène psychologique du héros. Ruy Blas est un homme du peuple dont l'origine est aggravée par sa condition de laquais. Le héros doit alors exacerber son génie et refouler sa part maudire, se mutiler pour correspondre à l'image que la société se fait de sa grandeur. Mais a défaut d'un présent, le personnage a un passé. Il était pauvre mais d'une réelle liberté comme

vengeance du personnage et permet à celui-ci d’affirmer son pouvoir et son rang social, il est le plus fort et il est maitre de la situation. Enfin, on peut remarquer que Don Salluste accentue ses méthodes et dirige la scène jusqu’aux habits du laquais, il établit le costume de celui-ci en le munissant d’une écharpe avec l’épée, d’un chapeau… Ruy Blas se retrouve alors vêtu comme un noble, par la volonté de Don Salluste. Ainsi, dans cette scène, Don Salluste s’affirme comme personnage indispensable

:qui est censé ce marier avec la fille En réalité fils de Dom Thomas d'Alburcy Frosine : Femme d'Intrigue Maitre Simon : Courtier Maitre Jacques : Cuisinier et cocher Dame Claude : Servante Brindavoine : Laquais } =domestique, valet La Merluche : Laquais Le Commissaire et son Clerc La Fèche : Le valet de Cléante Acte 1 Scene 1 : Valère (Secrétaire), Elise (Sa Fille) Valère et Elise sont amoureux mais Elise sais que son père ne l'acceptera jamais alors elle

condition de valet et son amour inaccessible pour un valet qui le conduira à porter le masque d’un grand et noble ministre. On peut également voir le contraste entre les idées nobles, justes et droites de cet homme et sa condition sociale de pauvre laquais soumît à un maître malhonnête et vengeur. Structure de la pièces et dramaturgie : La pièce de Ryu Blas se découpe en 5 actes et 27 scènes. Acte I = 5 scènes « Don Sallustre » Acte II = 5 scènes « La reine d’Espagne » Acte III = 5 scènes « Ruy

IV, scène 7, 1665. B – Eugène Labiche, La Cagnotte, acte II, scène 3, 1864. C – Samuel Beckett, En attendant Godot, acte II, scène 3, 1952. TEXTE A Dom Juan et son valet Sganarelle se mettent à table. ACTE IV, SCENE 7 DOM JUAN, SGANARELLE, DEUX LAQUAIS. 5 10 15 20 25 30 […] DOM JUAN. – Vite à souper. SGANARELLE. – Fort bien. DOM JUAN, se mettant à table. – Sganarelle, il faut songer à s’amender1 pourtant. SGANARELLE. – Oui-da ! DOM JUAN. - Oui, ma foi ! Il faut s’amender ; encore vingt ou

mondain : des Piémontais arrogants cf. la faute d’orthographe l.4-5. Aristocratie de province. 2) Le mépris de Rousseau à leur égard · Une société pleine de préjugés et hypocrite : l.17 « étonnement » cf. étymologie. Ne pouvaient penser qu’un simple laquais ait des connaissances. Puis, de façon hypocrite imite le comportement de M. de Gouvon et « toute la table s’empressa de faire chorus » l.17 · Rousseau est convaincu que l’ordre du monde est injuste et que la meilleure part ne revient pas à ceux qui