Lares

Palès, le dieu des bergers et des pâturages, l’un des plus anciens dieux romains.68 Les plus petites gens et les esclaves honoraient beaucoup les Lares des Carrefours, ce sont les Lares honorés lors des fêtes de Compitalia et ils représentaient le foyer de la vie religieuse et sociale de leur communauté.69 4. Les Dieux La ville a aussi ses dieux Lares, Romulus et Rémus, et a aussi ses Pénates qui veillent à ce que Rome soit bien approvisionnée. Les Romains possédaient une multitude de dieux et de

(incerti), ils n’ont pas de nom particulier mais un nom générique. Il s’agit de forces obscures qui régissent l’au-delà. Les « manes » sont les âmes des ancêtres qui peuplent l’au-delà : ce sont les larvae ou les lémures. D’autres dieux existent : les lares, qui sont les forces de l’au-delà qui protègent la maison. On trouvait à ce sujet une petite chapelle, le laraire, à l’entrée des maisons. Le laraire jouissait d’une force protectrice. les dieux du « panthéon » : ce sont des dieux doués d’une puissance

voulait entrer, on frappait à la porte (souvent plaquée d'or, d'ivoire et d'écaille) avec un marteau fixé à la porte ou on sonnait. Ensuite on passait dans l'atrium. C'était une des principales pièces. Non loin de la porte, il y avait l'autel des Lares (dieux du foyer). Dans l'atrium il y avait aussi le lit nuptial. Le cavoedium était une cour intérieure sans toit. Autour du cavoedium se trouvaient les pièces où l'on conservait les vins, le blé et les fruits, les logements des esclaves, les chambres

l'autorité de son époux ou de son fils aine tant qu'elle reste au foyer c'est-à-dire soumise aux lares. C'est d'abord au sein de la famille que se pratique la religion. Tous les jours et à tous les repas les Romains pratiquent des rites religieux devant le foyer dont les flammes (ignis) sont symboles de leur révérences envers les pénates qui veillent sur la régularité des approvisionnement, les lares qui protègent là maisonnée et le genius qui assure au paterfamilias et à la famille sa vitalité.

Smyrne, en Afrique : Alexandrie, Carthage Les écoliers apprenaient leurs leçons sur de longs rouleaux de papyrus. Aussi bien au garçons qu'aux filles, on enseignait le respect des divinités protectrices du foyer, la déesse Vesta et les dieux Lares, protecteurs du domaine, puis de la demeure citadine. Comme les Spartiates, les Romains des périodes royale et républicaine avaient surtout besoin de cultivateurs et de guerriers. Ils s'estimaient, par conséquent, dégagés de l'obligation de subvenir

déesse honorée de ses faveurs ; il y eut encore Acacallis, fille de Minos, Hersé, fille de Cécrops, Eupolémie, fille de Myrmidon, qui le rendit père de plusieurs enfants, Antianire, mère d'Echion, Proserpine, et la nymphe Lara, dont il eut les dieux Lares. Hermès étant au propre le nom grec de Mercure, on appelait de ce nom certaines statues, faites de marbre et quelquefois de bronze, sans bras et sans pieds. Les Athéniens et, à leur exemple, les autres peuples de la Grèce, et même, par la suite

Le jour d’anniversaire de la naissance des êtres qu’ils représentent, jour que chaque famille doit noter consciencieusement, on leur fait des offrandes (fleurs et aliments). Il y a deux catégories de Mânes : les âmes qui furent vertueuses sont les lares et les âmes qui furent vicieuses sont les lémures ou larves. Plusieurs cérémonies ont lieu dans l’année : les parentilia, qui débutent par les dies parentales du 13 au 21 février, jours pendant lesquels ont apportait près des tombes des couronnes

UMR- 3690 espaces et sociétés GAINS - Groupe d’Analyse des Itinéraires et des Niveaux Salariaux, EA n°2167. Sous-équipe Atelier de recherche en Gestion (Argumans) CENS - Centre d’études nantais en sociologie, laboratoire universitaire : EA n°3260 LARESS - Laboratoire d’études et de recherches en science sociales, laboratoire d’école d’ingénieur Chaire d’Economie Sociale Université du Maine Université d’Angers Université du Mans Université de Nantes Ecole supérieure d’Agriculture (ESA)

L'usus était souvent pratiqué lorsqu'un homme d'origine modeste épousait une femme de rang supérieur. Quel que soit le type de mariage pratiqué, il comportait à peu près les mêmes rites. La veille du mariage, la fiancée offrait ses poupées aux lares de la maison puis elle revêtait sa robe de noces. Elle enfilait d'abord une chemise blanche tissée sans couture - la "tunica recta" - qui était attachée avec une ceinture de laine à double bouton, le "cingulum herculeum". A l'aide d'un peigne spécial

polenta. Les riches romains se faisaient servir plusieurs plats précédés de hors-d’œuvre et accompagnés d'un mélange de vin et de miel. On servait d'abord les viandes bouillies, grillées ou en sauce. Après les plats principaux et une offrande aux dieux Lares, le repas se terminait par un second service qui comprenait des fruits, des gâteaux et des aliments excitant la soif. Pour les banquets, on buvait à la santé des convives et des exhibitions de danseurs et de chanteurs avaient lieu. Certains se faisaient