Las Maquiladoras

donc ainsi oublier son rôle de raconter des histoires et peut donc aller dans un sens contraire a la morale, tel l'argumentation de Sépulvéda dans la controverse de Valladolid de Carrière. Mais l'auteur réussit a équilibrer cette argumentation car Las Casas, est lui, contre l'esclavage. Nous pouvons donc en conclure que la littérature doit s'attacher aux problèmes de société mais doit aussi respecter certaines doctrines. Elle doit toujours aller dans le sens moral, avoir des arguments réels, et

Introduction: Au XVI° siècle, en Espagne, une controverse naît au sujet du sort des indiens que les Européens ont réduit en esclavage après la découverte du Nouveau Monde : c'est la controverse de Valladolid. Elle oppose un moine franciscain, Bartholomé de Las Casas, fervent partisan de l'abolition de l'esclavage, à Juan Ginès de Sepulveda, philosophe convaincu de l'infériorité des Indiens. Jean-Claude Carrière s'est inspiré de cet événement historique pour écrire un roman qu'il adaptera pour la scène en

garde les Cubains à quoi se attendre des Espagnols. Il a expliqué la nécessité de se unir contre les hommes blancs de l'ennemi commun, ceux qui avaient infligé tant de souffrances à son peuple. Comme l'a signalé plus tard par le prêtre Bartolomé de Las Casas, Hatuey montré les Cubains un panier rempli d'or et de bijoux. Il a dit "ce est les Espagnols l'amour de Dieu pour ce combat et les tuer ;. Pourquoi nous persécutent et ce est pourquoi nous devons les jeter à la mer" Ils nous disent, "qui adorent

jugements sur les indiens, et nuit donc à la véracité des propos tenus par les européens. Les Espagnols ne prêtent pas attention aux instruments et coutumes originales des indiens et ne retiennent seulement que ce qu’ils ont copié d’eux, tel que le dit Las casas dans l’extrait du chapitre 7 de la controverse de Valladolid : « César s’aveuglait volontairement sur la vie véritable des peuples de la Gaule, sur leurs coutumes, leurs langages, leurs croyances et même leurs outils ! […] Le reste, nous l’effaçons

divers procédés tels que la violence verbale (l.630, 631, 632) « Qu'ils se couchaient les jambes en l'air et se faisaient introduire du vin dans le cul par une canule ! », réplique de Las Casas. Mais aussi par des procédés d'exagération : (l.209) « J'ai vu nos soldats […] les tailler comme on taille un arbre », réplique de Las Casas. Ou encore par le procédé de l'ironie, plus souvent utilisé par Sépulvéda. 2) Non, bien qu'il ai inventé la décision finale du légat, Jean-Claude Carrière n'a pas inventé

trancher le débat qui oppose Sépulvéda à Las Casas. Le dominicain soutient que les Indiens sont des Hommes comme les Européens. Sépulvéda au contraire affirme que les Indiens sont nés pour être esclaves. La question de fond est : les indiens sont-ils des hommes ? Nous assistons à un dialogue argumentatif 2- LECTURE DU TEXTE 3- REPRISE DE LA QUESTION 4- ANNONCE DES AXES DE LECTURE : PLAN A) Le point de vue de Sépulveda B) La contre argumentation de Las Casas C) La théâtralité du texte et le

extrait des le début Sépulveda annonce que le destin de tous peuple est d’être chrétiens. Il fait de la religion chrétienne une généralité. Cependant le peuple d’Indien ne connais pas cette religion. Par la suite l.596 il dénonce la mascarade faite par Las Casas « C’est faux » l.598 la parole du christ n’a pas été sur ces terres ce qui implique que se ne sont pas des créatures de Dieu. Sépulveda parle de plusieurs actions contre les indigènes qui seraient de l’origine de Dieu ; « 300 Espagnols soumettent

dans La Controverse de Valladolid se déroulent dans un couvent. Dans une pièce, certaines personnes ont été réunies pour débattre de la situation et du statut qu’il faut donner aux indiens d’Amérique. On retrouve le frère dominicain Bartolomé de Las Casas ainsi que l’historien et théologien Juan Ginès de Sépulvéda. D’autres personnalités importantes comme le légat du pape, envoyé de Rome, et le supérieur du couvent sont présentes. Il y’a deux camps. Celui de ceux qui considèrent que les indiens

Sepulveda un prêtre dominicain Las Casas et un cardinal envoyé par l’église dont nous ne connaissons pas le nom. Se passe à Valladolid en Espagne en 1550, on y parle des indiens et la problématique et l’humanité des indiens dans ce texte le philosophe prend partie pour dire que les indiens sont des esclaves le dominicain défend les indiens le prélat lui joue le rôle d’arbitre, il est attentif il distribue la parole il demande le silence, tempère les ardeurs de Las Casas, c’est une sorte de voix de

possible et réunit pour ce faire, deux spécialistes du problème indien, qu'il va décider d'opposer dans cette controverse : le frère dominicain Bartolomé de Las Casas et le Dr Ginès de Sépulveda. Charles Quint a choisi Las Casas car il reste le protecteur officiel de la cause indienne, malgré leur probable différend depuis les Lois nouvelles de 1542 - Las Casas ayant amené le Roi à casser le système des encomiendas, lui valant un esclandre général de ses titulaires. L'Empereur avait dénoncé ces lois à grand