Le Balcon Baudelaire

D'origine hispanique, comme on le voit dans Hernani, il est séparé de son père en bas âge et orphelin de mère à 19 ans, son enfance n'est pas facile c'est pourquoi il est d'un naturel triste, nostalgique. Il est victime de ce que l'on appelera avec Baudelaire le spleen, cette mélancolie, aussi appelé diable bleu qui caractérise les auteurs romantiques. Il deviendra d'ailleurs quelques temps plus tard celui que l'on nommera "le chef de fil" du romantisme. Il est d'une ambition sans précédent: il veut

« Palmes ! [...] », Pour fêter une enfance, I p.28-29 Textes complémentaires : Saint-John Perse, Allocution au banquet Nobel, 1960 Baudelaire : extraits des Fleurs du mal (La quête baudelairienne), 1866 Corpus : - la poésie engagée (Hugo, Eluard, Aragon, ccccccccccCésaire) - le lyrisme (Musset, Nerval, Baudelaire, cccccccc Eluard, Aragon) - la quête de l’Inconnu et l’interrogation vvvv sur le langage (Rimbaud, Mallarmé, vv cccccccvDesnos

beckettien p.11 Un espace temps indéfinissable p.12 La perte du corps p.13 La force comique p.15 Fin de partie p.15 Genèse p.16 Résumé p.17 Pistes de réflexion p.17 L’Arche de Noé p.19 Le paradoxe des grains de mil p.20 Influence de Baudelaire p.21 Hamm et Clov : les pions d’un échiquier ? p.22 La mise en scène p.22 Exemples de mises en scène antérieures p.22 Celle mythique : Roger Blin p.24 Celle polémique : Gildas Bourdet p.26 L’héritage : May B de Maguy Marin p.27

vu quelque part : de savoir où, il est difficile ; mais son visage m'est familier. – Il l'est à bien d'autres ; et je vais, s'il se peut, aider votre mémoire. Est-ce au boulevard sur un strapontin, ou aux Tuileries dans la grande allée, ou dans le balcon à la comédie ? Est-ce au sermon, au bal, à Rambouillet ? Où pourriez-vous ne l'avoir point vu ? Où n'est-il point ? S'il y a dans la place une fameuse exécution, ou un feu de joie, il paraît à une fenêtre de l'Hôtel de ville ; si l'on attend une magnifique

p.19 |Saint-John Perse, Allocution au banquet Nobel, 1960 | |Problématique : | |Baudelaire : extraits des Fleurs du mal (La quête baudelairienne), 1866 | |Comment l’écriture persienne réussit-elle à « ressusciter l’éblouissement | |

antipathique et ne dit pas que des betises. Mais il assene ses opinions comme des certitudes, c'est la que commence la betise. (14) <<Les paroles les plus solennelles, les plus decisives s'echapperont des bouches les plus sottes,>> dit Baudelaire (60). Quant a Emma, une provinciale peu cultivee et d'une fraicheur desarmante, elle a une facon hautaine de traverser la vie, dans cette consideration de soi qui prend toute la place, dans la peur d'etre prisonniere de la mediocrite, sociale

langue. Archi & design sont des objets d’étude valides qui expriment la modernité. II. Qu’est-ce que la modernité ? A). Définition délicate. « Modernus » = latin adj. Baudelaire & Théophile Gauthier l’ont utilisé en citant Balzac ds la 2nde moitié du XIXème s. La 1ère apparition du mot = 1879 ds les dicos. Pr Baudelaire, c l’adéquation de l’œuvre d’art à son tps. Selon lui, une toile doit exprimer son époque & doit la représenter ds sa particularité éphémère. Pr lui, ds tte œuvre d’art, il

CHARLES BAUDELAIRE LES FLEURS DU MAL Collections Litteratura.com CHARLES BAUDELAIRE LES FLEURS DU MAL Première édition de 1857, incluant les pièces condamnées Collections Litteratura.com Les Fleurs du Mal SOMMAIRE DÉDICACE AU LECTEUR 8 9 SPLEEN ET IDÉAL I. Bénédiction II. Le Soleil III. Elévation IV. Correspondances V. VI. Les Phares VII. La Muse malade VIII. La Muse vénale IX. Le Mauvais Moine X. L’Ennemi XI. Le Guignon XII. La Vie antérieure XIII. Bohémiens en Voyage

que durant la période surréaliste pendant lesquelles il ne cesse d’évoluer, de se transformer. Toutefois, avec l’apparition de la modernité, la libération du vers des contraintes métriques, la tentation du poème en prose d’Aloysius Bertrand, de Baudelaire ou de Rimbaud, avec l’écriture en 1869 (cette œuvre singulière fut en effet écrite, imprimée, puis « perdue » et véritablement publiée vingt ans plus tard) des Chants de Maldoror d’Isidore Ducasse dans une prose hybride à la fois poétique, romanesque

par les étrangetés que présente le tableau. Avec une grande audace, Ingres stylise les formes, les soumet à sa propre vision. Il échappe ainsi à tout académisme et affirme une singularité qui ne manquera pas de fasciner poètes et peintres. Charles Baudelaire écrit même à propos de ses nus et de leurs déformations anatomiques que « le beau est toujours bizarre ». Cette bizarrerie ne cessera d’inspirer notamment Pablo Picasso qui, dans le Portrait d’Olga dans un fauteuil, exprime son admiration pour Ingres