Le Banquet Discours De Socrate

des sujets, et puis des esclaves ; il n’a pas un moment de relâche. Ce qu’il y a de plus singulier, c’est que moins les besoins sont naturels et pressants, plus les passions augmentent, et, qui pis est, le moyen de les satisfaire. » J.J Rousseau, Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes. Mais un tel mouvement est-il réversible ? Rousseau lui-même n’y croit guère car il y va ici de ce qui sépare essentiellement l’homme de l’animal. Ce n’est pas tant la possession

sportives elles aussi. Les mariages se font entre gens de même âge pour avoir des enfants en bonne santé. Les Spartiates sont en caserne et mange dans des repas collectifs où chaque soldat devait contribuer. (Sussytie) Les femmes sont là autour du banquet et vont emporter les restes de chaque côté. À l’Époque archaïque, ils sont ouverts au monde extérieur. Après les Guerres Médiques, Sparte se referme sur elle-même. Ils vivront en autarcie. Elle gagnera la guerre du Péloponnèse. À la fin du V siècle

mimésis, et une partie plus théâtrale où les personnages se place. Autres choses : les hyperboles et mélioratifs. Les héros sont plus forts que nature. Il meurt de façon a ébranler l’univers. De même manière leur vertu sont toujours améliorées par le discours. Morale de l’abnégation, préférence pour le collectif plutôt que pour l’individu. C’est typique de l’antiquité. Ils n’en voyaient pas l’importance du bonheur individuel. L’individu se sacrifie toujours au bonheur de la collectivité et à la grandeur

devoirs du citoyen Extrait de Xénophon, L’Économique, début du IVe siècle avant J.-C. C’est une citation d’un dialogue entre un riche propriétaire athénien, Critobule, et le philosophe Socrate, à propos des charges qui reposent sur Critobule : « – Pourquoi cela ? dit Critobule. – Parce que d’abord, dit Socrate en s’expliquant, je te vois obligé à de grands et nombreux sacrifices ; autrement ni les dieux ni les hommes ne te seraient favorables. Ensuite ton rang t’impose la nécessité de recevoir

sévère (Rousseau notamment). Exemple d’introduction La condamnation ou l’apologie du luxe est une question classique et récurrente dans l’histoire des idées politiques et morales. Dès la République de Platon (II, 372), l’ascétisme et la frugalité de Socrate se heurtent aux revendications de confort et de raffinement de Glaucon. Au XVIIIème siècle, le débat resurgit, accentué par les développements du commerce et de l’industrie. La prise de position sur le luxe est révélatrice de système de valeurs contraires

usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. Origine des valeurs morales ? La conscience morale implique la présence, en chacun, de valeurs qui l’aident à définir ce qui lui paraît bien ou

usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. Origine des valeurs morales ? La conscience morale implique la présence, en chacun, de valeurs qui l’aident à définir ce qui lui paraît bien ou

comprise, pas d'isoloir → Le vote suppose encore un certain apprentissage qui mettra très longtemps à venir. Le profil de cet élu est particulier: à l'époque, c'est un élu individuel, il n'appartient à aucune structure politique, chacun construit son discours, ses références, ses objets de discussion politique,..→Il manque les partis politiques . Cela correspond à un temps de développement de la démocratie représentative, où l'on commence à s'organiser( fin XIXe) → le principe d'élection et la notion

Plantin, 1996) Question 1.  Langage/pensée Définit-on l’argumentation comme une activité de parole ou comme une activité de pensée ? Si on considère que l’argumentation est avant tout une activité de pensée qui laisse des traces dans le discours, on s’inscrit dans une approche cognitive ou logique - qu’il s’agisse d’une logique formelle, non-formelle ou “naturelle” (cf. Vignaux 1988, Grize 1990). Si on considère que l’argumentation est une activité linguistique qui s’accompagne d’une

aux corps en imitant par eux les idées divines éternelles. Lorsque nous admirons un beau corps, nous ne prenons pas garde au fait que ce corps n’est en sa beauté matérielle particulière, qu’une imitation inférieure de l’idée de beauté. Dans Le Banquet, Socrate nous recommande précisément à nous purifier de cet enfermement et à cheminer de l’amour des beaux corps vers le pur amour du beau qui caractérise l’effort philosophique et nous rend à la plénitude du vrai, au-delà de toute imitation. La mimesis