Le Bonheur Divin Aristote

démarche respective consistant à appréhender philosophiquement l’état social auquel s’oppose l’état de nature. Le premier constat que l’on peut tirer de la comparaison entre ces deux auteurs qu’un siècle sépare est qu’ils s’accordent, contrairement à Aristote, sur le fait que l’homme à l’état de nature ne naît pas avec une prédisposition naturelle à s’assembler : l’homme n’est pas un zoón politikon (un animal social) par nature. Cependant, à partir de ce postulat commun, la conception de l’homme seul

– S’apparente au contrat social? Instrument d’imposition des valeurs des classes dominantes? Théorie basée sur la propriété privée. On doit d’abord et avant tout protéger le bien. Associé au droit criminel. L’expression de la volonté divine, selon une révélation? Théorie très présente dans les régimes monarchiques du Moyen-Âge. Encore aujourd’hui utilisé, dans certains pays où des principes religieux font partie intégrante de la constitution. L’instrument de protection des minorités

Dans ce dernier, Platon essaye d'avoir un point de vue plus réaliste. La vision politique change à travers l'âge. A travers ces deux ouvrages, on remarque à la fin que sa pensée devient plus modérée. Platon est idéaliste. Il est souvent compare a Aristote qui lui est réaliste. Platon a essaye de définir la cite idéale qui est détachée des contingences réelles. On dit qu'il a invente un cite en aucun lieu. Il est considère comme précurseur de l'utopie. Ce qu'il veut c'est inventer une constitution

général. Chacun agit ainsi, passivement, de bonne foi, et, ajoute ALAIN, par une "espèce de sagesse". Il est en effet raisonnable de penser que, concernant les affaires publiques, l'individu seul ne soit pas le plus avisé, ni le plus clairvoyant. ARISTOTE notait déjà qu'en matière politique, l'avis collectif était plus raisonnable que l'avis d'un seul, fût-il un expert. C'est donc fort raisonnablement que chacun se laisse imposer une pensée dont il n'est pas personnellement l'auteur. 2 - Une illustration

mesure où elle est religieuse, c’est-à-dire : participe à la réalité. Les dieux ont créé l’homme et le Monde, les Héros civilisateurs ont achevé la Création, et l’histoire de toutes ces œuvres divines et semi-divines est conservée dans les mythes. En réactualisant l’histoire sacrée, en imitant le comportement divin, l’homme s’installe et se maintient auprès des dieux, c’est-à-dire dans le réel et le significatif. Il est facile de voir tout ce qui sépare ce mode d’être dans le monde de l’existence

à partir de la révolution scientifique du XVIIème siècle). Dans les Seconds Analytiques, Aristote explicite ce qu’il considère comme étant une connaissance scientifique. Selon lui, la connaissance scientifique porte sur la cause des phénomènes nécessaires. La science ne porte donc pas sur les faits, mais sur les causes. Notons que la notion de causalité chez Aristote est interprétée très largement car elle est entendue en quatre sens différents : la cause

sensible et la réalité des Idées. Dialogues platoniciens = « exercices spirituels » qui peuvent déboucher sur des conversions ? Il faut s'élever du sensible à l'intelligible pour comprendre le référent ultime, ce maitre intérieur en l'homme, la vérité divine de l'homme, c’est-à-dire pour croire ? Donc Saint Augustin difficile à distinguer entre philosophie et théologie Sujet : Qu’est-ce que : croire Problématique : Croire est-il le reflet d’une confiance absolue ou l’alliance de la raison avec la

l’herméneutique de la pièce. Molière blâme donc le monde dévot et donne raison à la justice grâce à ce système de dénouement. Un second exemple, celui de Dom Juan de Molière, qui met en scène un libre-penseur qui défie toutes les lois sociales et la puissance divine. Le dénouement ambigu et fatal de cette pièce est prévisible dès l’acte 3, se fait attendre puis est précipité en 2 scènes. Le personnage qui apparaît au moment de ce dénouement est la statue du Commandeur qui entraîne Dom Juan dans les abîmes de

de l’Histoire de l’humanité  Apport des anciennes civilisations Les sociétés traditionnelles voient un lien très fort entre le divin et le droit. Le droit est limité par la nature et la divinité. Il n’y a pas de volontarisme dans ces sociétés. La conception moderne est donc originale, propre à notre civilisation. Les plus anciens témoignages Le lien droit et divin n’a pas la même importance en fonction des sociétés. Droit mésopotamien Mésopotamie ; entre le Tigre et l’Euphrate C’est notre

reçues qui t- à aller voir dans d’autres civilisations ceux qui ont les mêmes cultures. La doctrine est fortifiante dans sa périphérique parce que secrétant l anesthésie intellectuel, car celui qui se mure dans sa propre pensée est dans le mirage. Le bonheur se trouve dans la recherche, ce qui est caché. La doctrine est heureuse dans sa petitesse, du refus de grandir et se complait dans la jouissance du tout prêt à porter. Le doctrinaire pour devenir un gourou a besoin d’esclaves, et placé dans la pratique