Le Bonheur Selon Platon

pas toute l’œuvre. = Certain fragments disparus + Contexte de rédaction disparus : Exemple quand St Augustin cite Aristide de Cyrène il prend extraits qui l’arrange. Difficulté de restituer les contextes. Même pour Platon, les contextes sont difficiles. On ne dit pas que Platon désirait autodafé des œuvres de Démocrite, qui le dérangeait. Qui est Philèbe par exemple, on croit peut être que ses idées sont celle d’Aristide de Cyrène. Du mal à savoir pour qui ou contre qui les philosophes écrivent

de Platon selon laquelle l’âme est tripartite & possède une partie désirante, qui renvoie à tous les désirs de richesse matérielle, la partie courageuse, qui recherche les honneurs, la reconnaissance & la partie rationnelle qui désire la connaissance vraie. En fonction de la partie de l’âme que l’on va privilégier, on aura des modes de vie différents : axés sur la richesse, la reconnaissance ou la connaissance. L’ignorance peut donc être le résultat de la partie dominante de notre âme. Platon ajoute

Introduction Dans ce texte, Platon pose la question suivante : la modération permet-elle, oui ou non, d'atteindre la vie heureuse ? En d'autres termes, la modération de nos désirs ne vaut-elle pas mieux que la débauche ? Après tout, la réponse à cette question n'est pas évidente, et ce dialogue le montre très bien, puisqu'il se terminera sans que les deux protagonistes, Socrate et Calliclès, aient pu trouver un accord. Notre extrait s'ouvre donc par la parole de Socrate, qui tient la tempérance

façon que leur résultat soit l’obtention du bonheur. Le résultat ultime, la fin ultime dont les moyens sont toutes nos décisions, nos actions, et même nos paroles. Parmi tous les êtres humains, ces moyens varient selon la personnalité des individus, selon leurs goûts, leur intelligence, selon leur philosophie. Chacun d’entre nous se débrouille à sa façon, et vie à sa façon pour obtenir le bonheur. Cependant, si nous vivons pour atteindre le bonheur, une fois atteint, que se passe-t-il ? La vie

d’opinion contradictoire sur ce sujet. Plusieurs disent qu’avoir des richesses influence directement le bonheur d’un individu et d’autre propose qu’il n’y a aucune corrélation. Cet article est un exemple d’opinion: «L’argent ne peut vous procurer le bonheur, mais il peut vous apporter une forme de misère plus plaisante. » La richesse dans cette question est une abondance de biens ; fortune et le bonheur est un état de complète satisfaction, de plénitude. Dans ce texte, je vais donner des arguments des

comprendre ou bien les appliquer. La réalité par son caractère inéchangeable et cartésien ne nous convient plus. Nous pouvons également expliquer l’illusion avec le allégorie de la caverne de Platon qui s’est vulgarisé dans l’idéologie des hommes bien qu’il n’en est pas été dénaturé. Platon conçoit l’homme comme un prisonnier attaché dans une caverne et de ce fait il ne pourrait regarder que le fond de la grotte où des ombres se profilent. Il croit ainsi que ces ombres sont la réalité puisqu’il

 » La générosité c’est défendre les intérêts de l’autre même si ils ne sont pas les mêmes que les notre. La solidarité est une façon de se défendre à plusieurs. « Générosité : vertu morale, solidarité : vertu politique ». * L’amour Le Bonheur est l’amour de ce qu’on a, de ce qu’on fait et de ce qu’on est. L’amour peut-être différent en fonction des intérêts différents. « Il faut aimer l’amour ou mourir ». Voir si la vie vaut la peine d’être vécue dépend de la quantité d’amour dont on est

similaire au bonheur, c’est un état de satisfaction stable et durable. Le désir quant à lui est le souhait de posséder ou de réaliser quelque chose qui produit chez nous un effet de manque. D’une part, l’accomplissement de tous les désirs semble bien constituer le bonheur dans la mesure ou celui-ci n’est accessible qu’une fois les manques satisfait et donc, les désirs. D’autre part l’accomplissement de tous les désirs n’est pas une solution pour atteindre le bonheur, Platon, dans son ouvrage

Métaphysique des moeurs. Nous sommes selon lui, à la fois des êtres sensibles - ayant des passions et des désirs - et des êtres intelligibles - doué de raison qui nous permet de nous extraire de l'expérience pour nous situer au niveau de l'universel. Notre volonté peut donc être déterminée de 2 façons : soit par une détermination extérieure (agir selon ses penchants et désirs, et suit ainsi les lois de la nature) soit par un principe interne (agir selon sa raison et donc selon l'universel en nous). à La volonté

Aristote met en lumière la vertu de justice dans le Livre V. De nombreux philosophes se sont intéressés à cette vertu de justice. Aristote présente une définition et une conceptualisation de la justice. Il propose une vision différente de celle de Platon, son ancien maître. Dans quelle la définition aristotélicienne de la justice s’applique-t-elle encore aujourd’hui ? Comment se fait-il que cette définition de la justice  fait débat sur les mêmes points que pendant l’Antiquité ? Aristote a-t-il théorisé