Le Bonheur Stoïciens

approchant des dieux » Plusieurs antithèses permettent de comprendre que LF prend parti pour le sage. c) le vers 7 « son bonheur consistait aux beautés d’un jardin » est une habile transition (la phrase rappelle par l’adjectif « son » le personnage qui précède, et annonce le thème suivant par le mot « jardin » placé en fin de vers). Phrase essentielle : parallélisme entre « bonheur » et « beautés » : idéal de vie. « Jardin » fait allusion aux philosophes épicuriens. L’école fondée par Epicure se nommait

pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres comme Kant condamnent la recherche du bonheur (comme s'opposant à la morale) ou comme Nietzsche la critiquent comme une fuite devant le tragique de la réalité, lui préférant l'expérience de la joie. La morale cartésienne met la science au service du bonheur, au sens

lettre 71 de Sénèque, philosophe stoïcien romain du 1er siècle ap. J.-C. Dans ce passage, Sénèque questionne la relation entre la vertu et le plaisir, en soulignant que la vertu ne doit pas être recherchée pour le plaisir qu'elle procure, mais pour elle-même. En effet, selon Sénèque, le plaisir est un accessoire de la vertu, et non sa raison d'être. Pour lui, le souverain bien consiste dans le jugement même et dans la tenue d'un esprit excellent, qui a réalisé le bonheur parfait sans rien désirer de

toute existence humaine réside dans l’atteinte du bonheur : il faudrait une vie heureuse pour parfaire et réussir son existence. Cependant on se questionne. En effet, pr certains le bonheur, la vie heureuse se cherchent dans une succession de plaisirs tout au long de sa vie. Ainsi, l’enchainement de plaisirs coïncide-t-il avec une vie heureuse ? Voltaire disait : « toujours du plaisir n’est pas du plaisir ». Peut-on concevoir notre vie par le bonheur, quelque chose qui est dc durable et accompli, dans

de savoir dans quelle mesure nous avons le pouvoir, ou encore la capacité, de contribuer à notre propre bonheur. Vaut-il mieux tenter de transformer l’ « ordre du monde », ou bien devons-nous au contraire nous efforcer d’infléchir nos désirs afin de les rendre compatibles avec la réalité ? Cette problématique, qui met donc en jeu les notions de « liberté » de « devoir » et de « bonheur », est plus « éthique » que morale. L’ « éthique » est la partie de la philosophie qui examine les conditions

L’épicurisme et le Stoïcisme [pic] L'Épicurisme est en concurrence avec l'autre grande pensée de l'Antiquité à Athènes, le stoïcisme. Certes, les deux philosophies désignent la recherche de la tranquillité de l’âme, pour conduire l’homme vers le bonheur (l’absence de trouble : l’ataraxie ἀταραξία). Pour cela il convient de développer une physique, qui, en nous permettant de comprendre le monde, nous libérera de la crainte des dieux et de la mort qui font notre malheur. Ces mouvements philosophiques

d’interpréter le bonheur et le sens de la vie. a) le sage Le sage grec personnifie des idées abstraites. Il semble incarner la sérénité, le calme et la satisfaction de soi comme le dit le vers 6 (« satisfait et tranquille »). Il est mis au même niveau que la royauté et même « amis » des dieux (« homme égalant les Rois, homme approchant des Dieux » v.5). Cette hyperbole de ce qu’il est réellement ( il est un sage paisible et heureux) a pour but de montrer que la simplicité du bonheur, qu’il symbolise

Sara De Benedetti Dissertation : peut on être à la fois libre et passionné? INTRO : A l’époque de l’Antiquité grecque, on distinguait deux écoles philosophiques : les Epicuriens et les Stoïciens. Les épicuriens étaient les adeptes à une vie riche en passions de tout genre alors que les Stoïciens s’opposaient à ce type de vie et préféraient vivre sans vices, loin des passions. Pourtant, même si ces deux mouvements philosophiques s’opposaient, ils mettaient en valeur leurs modes de vie et se

Les plaisirs apporte un bonheur éphémères. Et le bonheur n'est pour moi qu'un état d'âme. Je croit que le bonheur durable ne se trouve pas dans la satisfaction sucessives de tous nos désirs (qui apporte du plaisir) par exemple. Après avoirs satisfait un seul de nos désir. On n'a souvent envie d'en satisfaire un autre, et un autre ainsi de suite. Pour finalement finir par se créer des désirs de plus en plus insensé et difficile à obtenir. (On pense souvent au gens dans la vie qui obtienne leur

la quête du salut. Être sage c’est vivre sagement, heureux et libre en ayant vaincu les peurs que suscitent la finitude. Chapitre 2 : L’amour de la sagesse selon les stoïciens. - Que représente « le divin » dans la philosophie grecque ? Implication pour l’homme d’un point de vue éthique ? Le divin pour les stoïciens ce n’est pas une personne mais plutôt le monde dans lequel on vit qu’ils appellent le Cosmos. Ils contemplent ce divin-là qui est parfait et où tout fonctionne parfaitement