Le Bonheur Une Affaire Privée

de Troyes) qui circulent dans les couches sociales moins favorisées et sont lus à haute voix à ceux, nombreux, qui ne savent pas lire. Les lieux de rencontre et d’échange d’idées entre personnes cultivées se multiplient, autant dans la sphère privée (par ex. le salon de Mme Du Deffand ou celui de Mme Geoffrin) que dans la sphère publique (cafés comme le café de la Régence évoqué par Diderot au début du Neveu de Rameau, ou clubs). Les gazettes et les périodiques prennent le relais des conversations :

la société souligne la réussite de Duroy ainsi que la facilité avec laquelle il parvient au sommet. Dans Bel Ami l’amour est privé de tout sens quand il sert à l’ascension sociale, les femmes sont considérées non seulement comme un moyen d’atteindre un but ambitieux mais également comme objet sexuel. Plaisir charnel et succès dans les affaires sont les clés d’un bonheur certain. D’un coté les femmes semblent laissées pour compte, ne méritant aucune considération mais de l’autre elles apparaissent

de l'Homme, l'esprit d'examen, l'esprit scientifique mais également l'aspiration au bonheur. On retrouve en Mme de Merteuil cette façon de penser, en effet, à force d'observer tout ce qui l'entoure, elle s'est créée une image afin d'être adorée de tous, c'est pour cela qu'elle pèse ses mots avant de parler, et a appris à se contrôler (comme on peut l'observer dans la lettre XVIII). Ainsi, par la recherche du bonheur, se développe le libertinage. En effet, un libertin, aspire à avoir une liberté de

l’aspiration au bonheur dans le système aristotélicien, car l’homme ne peut espérer trouver le Bien Suprême que dans une cité à la vie politique harmonieuse, et ce quelque soit les formes de gouvernement, le principal étant que l’intérêt général prime toujours sur l’intérêt ou les intérêts de ou des personne(s) au pouvoir. Ainsi l’homme a tout intérêt a se monter impliqué dans la vie politique, car préserver l’équilibre d’un état est aussi ménager le sien. Même si trouver le bonheur dans une organisation

brutalement le cercle de liberté que chacun ménage autour de soi pour son plaisir et qu'il respecte chez son voisin. Elle interrompt le bonheur et les querelles des amants, l'intrigue de l'ambitieux et l'œuvre poursuivie dans le silence par l'artiste, l'érudit ou l'inventeur. Elle ruine indistinctement l'inquiétude et la placidité, rien ne subsiste qui soit privé, ni création ni jouissance ni angoisse même. Nul ne peut rester à l'écart et s'occuper à une autre tâche, car il n'est personne qui ne puisse

les uns aux autres, ne poursuivant plus aucun but commun, mais chacun affairé à poursuivre ses intérêts et à réaliser ses objectifs privés. Réaliser une société d’abondance ou contenir raisonnablement les désirs des citoyens ? Selon Tocqueville, la puissance publique elle-même se met au service des citoyens et n’a pas d’autre but légitime à poursuivre que de garantir à chacun sa liberté dans la « poursuite du bonheur privé » et de l’aider dans cette tâche. Ce qui était impensable dans les sociétés

de philosophie : La connaissance est-elle la condition du bonheur ? "Qu'heureux seraient les hommes des champs s'ils connaissaient leur bonheur !" déclare le poète latin Virgile. Il est, en effet, fréquent de constater que des personnes dont on envie la situation n’aient pas conscience de leur chance – car c’est bien de là que vient le mot “bonheur”, “heur” étant dérivé du latin augurium qui signifie l’augure, la chance. Le bonheur équivaudrait donc à la bonne chance, soit à quelque chose qui

association économique qui devint de plus en plus politique jusqu'aujourd'hui. On appelle action politique ces exemples d'organisation : l'action politique par définition est une occupation de l'homme. Elle concerne tout ce qui est en dehors de la vie privée : c'est en fait gérer la vie publique et la collectivité. (cf. Hannah Arendt, Chapitre I). Dans le monde d'aujourd'hui on rencontre divers exemples d'actions politiques, ce qui montre à la fois la diversité des sociétés humaine mais aussi la volonté

du quotidien de plusieurs millions d’internautes à travers le monde. Cependant, la plupart ne sont pas conscients des risques que représente Facebook. En effet, il est depuis un moment au centre d’un débat sur la protection et le respect de la vie privée de ses membres. Dans ce travail, je vais citer les arguments favorables à l’utilisation de ce Facebook, avant de présenter les différents dangers auxquels s’exposent ses membres. Par la suite, j’essaierai de répondre à la question sur la controverse

politiques, en effet ils combattaient l'arbitraire, l'irrationnel et la superstition des siècles passés. 5/ Les idéaux moraux des Lumières étaient des principes destinés à régler la vie publique et la vie privée Quant-aux valeurs principales des Lumières c'était surtout:le bonheur, la tolérance, la liberté, l'égalité, l’utilité, la fraternité, la bienfaisance... 6/ Rationalisme: Doctrine selon laquelle tout ce qui existe a une explication rationnelle Attitude de l'esprit qui n'accorde