Le But Des Lois Spinoza

tandis que d’autres penseront le contraire. Les libertés les plus connus sont celles qui sont inscrites dans la DDHC (Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789). Celles-ci sont la liberté naturelle, la liberté civile (en respectant les lois), la liberté politique, de conscience, de culte, d’opinion, de pensée, expression ainsi que la liberté individuelle. De plus, il existe deux définitions différentes de la liberté : la première est celle que l’on pense directement lorsque l’on parle

une énergie vitale qui nous met en appétit nous donnant envie de lutter, de nous affirmer, de prendre possession du monde. -> comme quoi le désir n'est pas seulement la cause du malheur. Voilà pourquoi SPINOZA (pays bas 17°) voit dans le désir "l'essence mm' de l'H" (L'éthique) -> Spinoza ne dit pas que le désir est l'essence mm' de tout être vivant mais de l'H. en effet, à quel détail près l'animal ne connait pas le désir, il ne connait que le besoin, il est aussi règlé, dirigé par l'instinct

mais pour les protéger. ▪ Spinoza ‘le traité théologico politique’ (1670) : « le but final de l’instauration d’un régime politique n’est pas la domination ni la répression des hommes ni leur soumission au joug d’un autre. Le but de l’organisation en société c’est la liberté ». ▪ Hegel (1830) : « l’histoire universelle est le progrès de la conscience de la liberté ». On retrouve cette idée de liberté au centre de la DDHC de 1789. Art 2 « le but de toute association politique est

illusion. D’après Spinoza j’ai conscience lorsque je veux lorsque je fais ou bien lorsque je désire, mais l’inconscience m’envahit quand je cherche à déterminer les causes qui me pousse à vouloir faire ou désirer. Je suis donc conscient de mes actions mais ignorant quant à la cause qui m’entraine à produire ces actions. Par conséquent, nous pouvons imaginer , être libres, et donc attribuer un rôle à la conscience qui est le pouvoir d'être cause première de nos actions. Spinoza évoque l’exemple d’une

entre eux par des lois scientifiques. En ce sens, le naturel peut s'opposer au surnaturel qui désigne une intervention transcendante de la divinité; 4° Spinoza distingue la nature naturante, c'est-à-dire la substance infinie et la nature naturée, les divers modes par lesquels s'exprime cette substance. Le mot nature est ambigu. Le naturalisme du xviiie siècle par exemple est contradictoire. D'une part son épistémologie réduit la nature à un mécanisme (des faits soumis à des lois nécessaires) indifférent

A. Les lois sont "tenues pour justes" 1.Pascal écrit: "La justice est ce qui est établi et ainsi toutes nos lois établies seront nécessairement tenues pour justes sans être examinées puisqu'elles sont établies"." (Pensées, 645-312). Ainsi, le juge est "tenu" de respecter la lettre de la loi. Pas d'État de droit sans ce principe. Ce sont les plus nombreux qui l'emportent et font les lois. Le "souverain" décide selon l'hypothèse d'un contrat social (voir Rousseau, Spinoza, Kant) et "la loi est la

dialogues aporétiques (sans conclusion). – Montaigne : «Que sais-je ?» ⇒ nécessité de définir des concepts. Le language doit être l’instrument du vrai. Maïeutique (faire accoucher) socratique : par la remise en cause, on acouche d’une pensée vraie. But : la ´ ´ .   sophistes : fait un usage persuasif du language indépendamment du vrai et du faux : démagogie. Ironie socratique : dissoudre la doxa en nous faisant prendre conscience que nous ne savons pas, quand nous parlons, ce que nous disons

approfondie faite, on est alors en mesure de faire ce choix en toute connaissances de causes. Il faut donc qu’il y ait une certaine réflexion dans la liberté, une certaine prise de conscience qui s’acquiert au fur et à mesure de l’éveil de l’esprit. Spinoza dans Ethique disait « L’Homme libre, c’est-à-dire qui vit sous le seul commandement Raison. », or la raison et la capacité à raisonner doivent être apprises, elles ne sont pas innées. Cette réflexion découle donc d’un apprentissage, on peut donc dire

examiner, il serait comme « emprisonner » alors par cette recherche de la vérité. Nous pouvons alors nous demander si un homme peut en aider un autre à se libérer de ses préjugés ? La psychanalyse qui pris son envol au début du XXème siècle a pour but d’aider les hommes à comprendre comment sont fondés leurs préjugés et à les aider à s’intégrer au monde en leurs faisant comprendre l’origine de leurs préjugés. D’après le psychanalyste Freud, nos actes sont en fait causés par des désirs inconscients

mission de l’Etat serait d’aliéner le peuple ou de le rendre libre et heureux. 2-2 Toute la question consisterait à savoir si l’Etat ferait usage de la violence ou s’il serait le garant de la liberté civile. 2-3 La préoccupation serait la suivante : le but de l’Etat serait-il de réprimer les individus ou de leur permettre de se réaliser spirituellement ? III) Formuler la problématique 3-1 L’Etat empêcherait-il donc au peuple de s’épanouir ? De quel Etat s’agit-il ? (thèse) Cependant, ne peut-il pas