Le Champ Lexical De Mort

Ces trois extraits de pièce de théâtre reposent sur la même souffrance d’un amour impossible. Nous le constatons aussi dans les procédés d’expressions. En effet, dans Le cid cette scène d’amour est pathétique car les champs lexicaux de la souffrance et de la mort sont présents. «Mort » « notre amitié » «  ma douleur extrême » Nous avons aussi un vocabulaire affectif c’est à dire qui exprime une réaction émotionnelle, ici l’amour et la tristesse qui l’accompagne. « Va, je ne te hais point » litote

révolter contre la société et les valeurs traditionnelles, se retrouve projeter à la limite de la mort. Afin de pouvoir s'extirper de son « enfer », il décide de rompre avec ses « mensonges » et de retrouver le chemin du devoir. Sa chute est brutale: il n'a pas atteint son idéal malgré tous ses efforts. Au moment où il écrit ce poème, il pense qu'il ne pourra atteindre cet idéal qu'au moment de sa mort. Il abandonne donc ses croyances en ses pouvoirs surnaturels. Comment se rend-il compte que ses

nous a montré la douceur et l’abandon touchantes d’une l’héroïne. On ressent la puissance de son amour envers Manon et on voit qu’il la désire toujours, bien que ce ne soit plus qu’un cadavre. L’emploi de vocabulaire amoureux masque la réalité de la mort «  embrassé mille fois, ardeur, amour » B. Un éloge funèbre Dans cet extrait il y a des hyperboles pour amplifier et intensifier les sentiment « l’idole de mon cœur », « pris le soin de l’envelopper de tous mes habits », « embrassé mille

| | |Champs lexicaux |     « verdure », « rivière», « herbes », « montagne », « |États opposés | |Nature |cresson bleu », « glaïeuls », « Nature ». |     Le champ lexical de la nature est opposé à celui du soldat.| | |

nature froide et sans vie, amplifié par le zig zag sans fin de la voiture vers la mort. Commentaire: Après avoirévoqué la nature hostile de ce matin d'hiver, Maupassant rapporte le dialogue entre un Duroy pétrifié et son témoin, pour laisser enfin les personnages gagner par un chemin labyrinthique le lieu du combat.Par des notations sensorielles diverses et des images il crée une atmosphère annonciatrice de mort, où Duroy apparaît comme accablé. Un ensemble de notations dérivant des perceptions

ca/lachancej/analyse-poetique/ 1/7 Analyse poétique Analyser un poème L’analyse d’un poème est un outil intéressant a�n d’assimiler les divers éléments de la théorie. En plus d’approfondir sur les origines de celui-ci, nous pouvons examiner sa forme, son champ lexical, ses �gures de style, etc. Voici une étude générale d’un poème de Charles Baudelaire, L’ennemi. Exemple : LA POÉSIE (HTTP://HERITAGE.CSDECOU.QC.CA/LACHANCEJ /) ACCUEIL (HTTP://HERITAGE.CSDECOU.QC.CA/LACHANCEJ/) ÉCRITURE DU POÈME (HTTP://HERITAGE

refrain, il est plus facilement mémorisable. -21 quatrains (le mètre est un heptamètre/heptasyllabe) et un vers détaché à la fin, avec un seul mot : liberté qui est ainsi mis en valeur et apparaît comme une valeur suprême. -On repère le champ lexical de la guerre : « armes, sang, cendre » v.7 et des métaphores qui renvoient à la perte : « refuges détruits, phares écroulés, solitude nue ». -Le rythme est alerte, dynamique car les vers sont courts et le vocabulaire est parfois simple afin

dans le dernier tercet * Champ lexical de la nature : trou de verdure (v.1) ; rivière (v.1) ; herbes (v.2) ; soleil (v.3 ; montagne (v.3) ; petit val  (v.4) b- Nature vivante et dynamique * Nature personnifiée : chante une rivière (v.1) ; la montagne fière (v.3) * Verbes de mouvements ou d’actions : chante (v.1); accrochant (v.2) ; mousse (v.4) c- Nature merveilleusement accueillante * Impression de luminosité avec champ lexical de la lumière : "les haillons

de la mouche. « Peut-être » : modalisateur de doute. Menace sous-jacente de Jupiter. LA VIEILLE : « Le costume d'Argos » : la ville entière est en deuil. JUPITER : « De ton roi […] de ton roi assassiné » : répétition afin de souligner la mort du roi. Ironie de Jupiter. LA VIEILLE : « Tais-toi ! » : ordre, exclamative. L'assassinat est un sujet brûlant et tabou. « Mon Dieu » : connotation ironique, car Jupiter est en effet un Dieu. JUPITER : « Ces énormes cris » : hyperbole.

satisfaisaient plus. Le poème auquel nous allons nous intéresser est « Le Vallon » écrit par Lamartine, publié en 1820 dans les Méditations poétiques. Il présente un narrateur romantique, qui, las de la vie, va vouloir trouver l'apaisement dans la mort. Comment le poète retranscrit –il les états d’âmes de ce personnage? C’est la découverte d’une nature protectrice envers un héros romantique , si las et épuisé par la vie qu’il en vient à vouloir la quitter. I. L'auteur rend la nature protectrice: