Le Champ Lexical De Mort

émerveillé par la mer et l’exotisme. Le poète développe les ressemblances de la mer et de l’être humain, à l’aide d’un «  miroir  » dans lequel l’homme se reflète. Ce poème a une similarité avec « L’Albatros », portant sur les thèmes de l’amour, la mort et de la mer. La mer et l’homme s’aiment et se détruisent en même temps. Ici, Baudelaire personnifie la mer, qui est présentée comme un être humain possédant des sentiments. On divise ce poème en deux parties: 1) le narrateur s’adresse à l’homme (deux

travers les siècles. La mort est le thème majeur fédérateur de chacun d’entre eux. De plus, divers procédés sont utilisés : Chassignet a écrit au début du 17ème siècle Le Mépris de la vie et consolation de la mort, qui reflète une mort meilleure grâce à la croyance en la religion. Baudelaire, qui écrit en 1857 Les Fleurs du Mal, a une vision opposée à Chassignet, il considère une mort sans vie. Bertrand, quant à lui, crée en 1842 Gaspard de la nuit, qui témoigne d’une mort ironique, celle d’un pendu

doutes sur la culpabilité d’Hippolyte, mais l’on apprend la nouvelle de sa mort. Phèdre, après avoir chassé Oenone, en la tenant pour coupable de tout ce qui arrive, révèle la vérité à Thésée. Lecture orientée : orale. Motif et thème : Cette scène regroupe 5 personnages, mais que deux prennent réellement la parole, c’est à dire Phèdre ainsi que Thésée. Thésée est le premier à parler, il se sent coupable de la mort de son fils, mais peu de temps après Phèdre avoue enfin d’être la coupable

séance 1-Champs lexicaux, sur les antithèses et sur les procédés de généralisation. 2-Les thèmes dominants qui caractérisent la situation. 3-Le renversement des valeurs. 4-La dénonciation de l’horreur de la guerre dans un texte qui dépasse la référence strictement historique. Ce texte présente des situations de paradoxes, qui deviennent le principe de justice (le mal). Ca se traduit soit par des paradoxes, soit par des expressions de renversement de valeur. 1-Champ lexical Un ensemble

l’harmonie est présente dans les deux poèmes mais cependant elle y est présentée très différemment. Dans les idées, parmi les thèmes, les champs lexicaux qui entourent les thèmes ainsi que leur évolution tout au long du poème on retrouve encore quelques différences entre les deux poèmes. Les thèmes abordés dans « Le Perroquet » sont, en général, l’amour et la mort. Pour témoigner ce dernier énoncé : « L'amant défunt voulait, moqueur, \Railler l'amour de son vieux cœur. Elle en mourut dans la rancœur

Texte 1 Ô amour, ô pensées… Ô amour, ô pensées, ô désirs pleins de flamme, Une dame, un objet, un brasier que je sens Me blesse, me nourrit, conduit mes jeunes ans À la mort, aux douleurs, au profond d’une lame1. Ô amour, ô pensées, courez tôt à ma Dame, Adressez, racontez, montrez comme présents2 À son cœur, à son âme, à ses yeux tout puissants, Mes passions, mes maux, les douleurs de mon âme. Poussez, faites-lui voir, forcez sa résistance Sa beauté, sa rigueur et sa fière

II Allégorie de la vie 1, le schéma d’une vie. [L’extrait montre l’allégorie de la vie] [D’abord, il nous montre le schéma d’une vie]. La vie est constituée de trois parties bien caractérisées par leur propre champ lexical. La première partie représente l’âge de toutes les folies, soit, l’adolescence et la jeunesse. La deuxième partie annonce la mise en couple « deux-à-deux », c'est-à-dire, le début de la plus longue période de la vie, l’âge adulte. Mais l’auteur évite cette période

lyrique. Cependant, ils ne l'utilisent pas tous de la même façon. Dans les poèmes de Ronsard, il y a une forte présence du champs lexical lié à l'amour mais aussi un champs lexical de la mort, du décès qui contraste avec celui de l'amour : « belle jeunesse » et « fleur » au vers. 2 ; « amour » au vers. 5 ; « Honoraient » et « ta beauté » au vers.10. Qui contraste avec la mort : « meurt » vers. 8 . On constate également de la mélancolie et de la tristesse : « Pour mes obsèques reçois mes larmes et

Fleurs du mal ; il marque donc l'aboutissement du parcours mené par le poète dans ce recueil. Après avoir envisagé tous les moyens pour échapper au spleen et atteindre l'idéal, c'est l'ultime solution qui est envisagée, nom de la dernière partie : La Mort. Nous étudierons les 2 dernières sections de ce long poème narratif qui en compte 8. Dans les sections I à VI, Baudelaire a évoqué les raisons qui peuvent pousser les hommes à voyager, les dangers de celui-ci et des exemples de voyage, pour parvenir

destructeur de la guerre: «On l'a toujours vue remplir le monde de veuves et d'orphelins, épuiser les familles d'héritiers, et faire périr les frères a une même bataille.» (1-2) Il utilise ce procédés également pour montrer à quelle point il plaint la mort causée par la guerre du Jeune Soyecour   et regrette cet homme si bon: « je regrette ta vertu, ta pudeur , ton esprit déjà mur , pénétrant , élevé , sociable ». (3) . Ensuite, avec se procédé de gradation : « ...se dépouiller, se brûler, se tuer, s'égorger