Le Champ Lexical Du Massacre

Lecture analytique n°4 : Scarmentado en Hollande et en Espagne p 52-54. Situation: Scarmentado a quitté Rome pour éviter l'empoisonnenment. Il s'est retrouvé en France en plein massacre de la Saint Barthélémy. Il arrive en Hollande, jugée à l'époque de Voltaire comme le pays le plus tolérant d'Europe ( l 55-56) . Mais il va subir à nouveau des persécutions dues à l'intolérance. Question : En quoi voit-on qu'il s'agit d'une expérience vécue, d'un témoignage personnel ? La visée argumentative

environs du fait de son titre honorifique, seulement malgré cela, il n'a pas vraiment l'air d'avoir tout les attributs pour exercer cette fonction. Durant son dialogue avec le plaignant, les mots « sorcier » et « diable », qui appartiennent au champs lexical de l'imaginaire, nous montre que lui aussi est quelqu'un de très superstitieux. C'est un homme sûr de lui, ainsi par l'hyperbole « sur ma vie. », il apparaît comme quelqu'un sur qui on peut compter, ce qui est bien de loin de sa vraie personnalité

mort. Dans le premier, on nous parle d'Ophélie qui est morte « La blanche Ophélia flotte comme un grand lys » v.2. Et dans le second, il s'agit d'un soldat qui est mort « Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue » v.7. De plus on voit que le champs lexical de la nature qui est très présent. Dans le premier poème : « un grand lys » v.2, « fleuve » v.6, « vent » v.9, « les eaux » v.10, « les saules » v.11, « les nénuphars » v;13, « la neige » v.17, « Nature » v.22, etc. Et dans le second poème « la

en passant dans un village qui a été détruit et dont les habitants ont été massacrés; l'horreur de la guerre est vue de façon très réaliste, et l'écriture change: changement de temps du passé simple à l'imparfait, temps de la description; le regard de Candide se développe. Toutes les victimes sont répertoriées: femmes, enfants, vieillards. Une description d'un réalisme très cru montre l'ampleur des massacres: le champ lexical de la violence est très étendu et diversifié, désigne les actes meurtriers

l’illustration The Giant Book et l’œuvre de Revel représentent le « sauvage » différemment. Tout d’abord, le « sauvage » est définit comme un individu heureux en effet dans le 1er texte, nous relevons le champ lexical du bonheur comme « heureux » et « bonheur » à la ligne 2, il est aussi caractérisé comme une personne très gentille par exemple à la ligne 13 et 15, nous relevons « une immense gentillesse »

qui fuit la réalité de l’horreur de la guerre et une approximation des nombres de morts, sans aucune émotion. : « il prit le parti d’aller raisonner ailleurs… » 2) Une vision orientée par la philosophie optimiste de LEIBNIZ • Un massacre justifié : « coquins » - « infectaient » - présente les soldats victimes comme des mauvais dont la mort est nécessaire. • Il justifie la mort des soldats par l’expression « la raison suffisante »- ce sont les effets de la guerre 

collectivement ? Plan détaillé : I. Les images de la guerre 1° Thème du feu Champ lexical du feu. Ce terme renvoit au titre. Feu omniprésent dans l'extrait. " flammes ", " tourbillon " ... et verbes. Le feu est constamment associé à l'idée de destruction : incendies, explosions ... 2° Expressions de destruction Utilisation de verbes et de noms : " tombe ", " échoue ", " on court ", " s"accroche " pour échapper au massacre ; de substantifs " anéantissent " ; " cadavre ", " nappe de sang " souligne

beauté de la femme. Effectivement dans ses poèmes A une passante ou encore A celle qui est trop gaie , Baudelaire décrit souvent les femmes à l’aide de métaphore qui les mettent en valeur ou de champ lexicaux mélioratifs. Il est possible de faire l’éloge de la femme que ce soit l’éloge physique ou mental à travers des métaphores, il est également possible de faire la description physique grâce à un blason qui est finalement l’éloge d’une partie du

donc parler d’une personnification du journal. Elle utilise de façon considérable le champ lexical de la peur comme : «  horreurs »  ; «  épouvantable »  ; «  terrifiée »  ; «  affreuses » mais aussi de l’extermination comme «  barbares » ou encore «  massacre » . Ensuite elle nous parle du plus grand camp pour juifs nommé

de comportement de l'homme grâce aux termes « il en avait pris conscience » L.17, «  sa vision du monde s'était obscurcit » L.20, et surtout grâce à « La mort d'un homme, qui était tout pour cet homme, était peu pour une armée. » L.22 puis au champ lexical de la mort avec les mots « Mort » L.7 , « déchiqueté » L.13 et aux questions rhétoriques « Pouvait-on résoudre ce paradoxe? réduire cette distorsion? qui s'en souciait ? » L.24 Ensuite, nous pouvons montrer que ce texte constitue une dénonciation