Le Champ Lexical Du Massacre

« boucherie héroïque »l.11 = massacre derrière cet aspect laudatif, présence de l’horreur. - l'ironie caractéristique du premier paragraphe laisse la place à un registre tragique à partir de « Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants »l.14-15→ les héros sont finalement présentés comme des barbares. 2) La déshumanisation de la guerre : - registre pathétique, émotion intense et sentiments de révolte → sensibiliser le lecteur. - atrocité de la guerre ; champs lexical de la mort ; « morts »

la nécessité de relativiser, pour mieux connaître le genre humain. changer d'échelle et se replacer sur un contexte universel. a) La météo « grêle sur la tête » « orage » Les guerres font allusion au 16°siècle et rappels le massacre de la saint Barthélémy. Nos guerres civils sont épouvantables. Savoyard image provincial. Le seul modèle auquel on peut se référer est celui de la mère nature. a) Présentation méliorative, qui nous permet d'avoir un modèle

comparé a des chats et à ce moment là l’auteur utilise des hyperboles « milliers »,  « neuf à dix mille chats » pour cette fois mettre aussi un relief sur l’aspect quantitatif des humains qui partent à la guerre, l’aspect de la cruauté causé par ces massacres et par l’absurdité de ces derniers. Ensuite, la comparaison est encore de plus en plus frappante car on retrouve encore une comparaison des Hommes mais cette fois ci à des loups. « Et si les loups en faisait de même » encore une fois cela représente

prises en compte dans l’évaluation. HOMÈRE, L’ODYSSÉE, correction de la rédaction Copie d’élève remaniée Lorsqu’il s’éveilla, le lendemain matin, Ulysse sortit de son lit de feuilles et regarda autour de lui. Il surplombait les champs de joncs dorés au soleil. Derrière les deux oliviers entrelacés, se trouvait une immense forêt de pins. C’était une forêt exceptionnelle, les arbres semblaient parler entre eux et s’agitaient quand Ulysse les regardait. Alors Ulysse remonta

1) Un personnage largement associé au thème de la souffrance ⇨ PDV internes : importances des sensations, sensations qui sont toutes négatives : Visuelle, tactile/thermique. ⇨ La douleur du personnage est marquée par plusieurs indices lexicaux. Aucune indication de souffrance ne concerne la victime. 2) Un personnage qui semble étranger à son acte ⇨ Le personnage, un simple objet réduit à l’impuissance ⇨ Quand le personnage agit ses mouvements apparaissent comme instinctifs

les choses (parce qu’elle en aurait et les moyens et les prétentions) ; puis modérons ces partis pris ancestraux qui voudraient propulser la poésie dans le domaine du Sacré et du Beau par opposition frontale au réel : la poésie, lucide quant à son champ d’action, reste de la littérature et ne saurait changer le réel ; d’autre part, la poésie consciente de ce que le réel peut lui offrir, ne se place pas forcément dans une concurrence avec ce réel, avec les choses et la vie. Enfin, considérons les cas

"maison" -> souffrance "i"-> "petit" "village" "cheminée" -> tristesse "l" -> "village" "Hélas" & "on" -> "maison" "saison" -> nasale qui exprime souvent la tristesse Mélancolie très présente dans le poème 2) Nostalgie du foyer natale champ lexicale -> "petit", "pauvres" puis "maison", "cheminé", "clos" = modestie, humilité maison pas matériel mais sentimentale, émotionnelle = son entourage, sa vie tranquille en Anjou "fumer la cheminé" -> impression une seule pour tout le village =

cette connivence de comique : - Il y a des élisions incorrectes comme enlever des voyelles dans un mot. Exemple : M’sieur, ben… - Inversion de syllabes et déformation de mot. Exemple : rébarbarative (barbare à la basse), thiàtre, trois massacres… - Calembourg : registre de la farce. Exemple : la polysémie de parterre (sol) et qui est drôle car il se moque de Guignol car on est dans le théâtre, le public est ramené à la situation (=illusion théâtrale). Le calembourg insiste sur la chute

Voltaire de faire un éloge ironique de la guerre et donc de mieux la dénoncer. Dans la deuxième partie de ses deux textes, Voltaire utilise le registre pathétique, pour que le lecteur éprouve de la compassion pour les civils massacrés. Ce registre pathétique est marqué par le champ lexical de la mort, représenté dans l’extrait de Candide par « criblés de coups » ligne 13 ou encore « égorgées » ligne 13 ; dans l’autre texte, on retrouve aussi cette souffrance par le biais de l’expression « les derniers sons

frappent par leur archaïsme. Le terme Ventrebleu et la construction de par font référence au langage du XVI e siècle. B Le mélange des genres : on remarque aussi la présence d'archaïsmes soutenus au voisinage de termes familiers ou courants. Sur le plan lexical, la reprise de l’archaïsme vous estes , l'adverbe intensif fort, le nom estafiers, l'expression vous me faites injure, renvoient à une langue classique. La proximité de termes familiers dans les derniers cas (voyou, coupe- choux, passer... par la