Le Cid Amour Impossible

Bérénice, qui sacrifient leur amour « malgré lui et malgré elle » à la raison d’Etat ». Ainsi, l’extrait de la scène 5, de l’ace V « non, je n’écoute rien….et vous me l’ordonnez » (v. 1303 – 2347), dont je ferais le commentaire marque la prise de conscience de Bérénice, qui assume désormais la décision de Titus et qui, dès lors, est prête à s’en aller. L’étude de cet extrait soulignera la situation à laquelle sont confrontés les deux amants : le dilemme entre Amour et Etat ; puis nous mettrons en

siècle avant J-C, représentée pour voué un culte à Dionysos(Dieu du vin, de l'inspiration). Phèdre est une tragédie racontant l'histoire de la reine d'Athènes qui tombe amoureuse de son beau-fils, elle lui avoue son amour lorsqu'elle croit que son mari, Thésée, est mort. Mais cet amour n'est pas réciproque. Au retour de Thésée, Oenone, la confidente de Phèdre, raconte à Thésée que c'est Hippolyte qui aime Phèdre pour la protéger. Fou de rage, Thésée maudira son fils. S'ensuivra la mort de tous les

théâtral est l’équivalent de l’analyse psychologique du roman car par lui, nous assistons à un déballage interne impossible dans la vraie vie. Les monologues de Phèdre, chez Racine sont célèbres pour exposer le personnage dans une attitude de reproches adressés aux dieux et au destin. Les stances du Cid de Corneille, dans lesquelles Don Rodrigue se livre à une délibération entre devoir et amour, offrent au spectateur un instantané psychologique précieux : le fameux dilemme cornélien. Et lorsqu’un personnage

un caractre argumentatif fort ce qui permet de mieux dcouvrir chacun des deux personnages Madame de Clves ayant reu M de Nemours, entame avec ce dernier un dialogue qui la prsente comme une femme hrone. Ces deux interlocuteurs parlent de leur amour impossible. La princesse de Clves est lucide et connait le charme du sducteur, M de Nemours, cela est confi dans les premires lignes. Cette dernire avoue quelle ne pourrait pas faire face toutes les femmes qui plait son amant, son avis tient de son exprienceMon

procédé théâtral. Le monologue peut exprimer l’amour du personnage, un amour difficile et coupable. C’est le cas de Phèdre (acte I, scène 3) où l’héroïne exprime son amour pour Hippolyte, son beau fils . C’est un amour violent et coupable empreint de fatalité « je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ». Le monologue peut aider le héros tragique à faire le point, à poser son dilemme ,c’est le cas de Don Rodrigue dans Le Cid de Corneille où la question se pose si le héros doit obéir à son père et

 plus  son  destin  =>  fatalité  (tragédie  classique).       II. La  grandeur  cornélienne  du  personnage  de  Jason   a) Le  devoir  impossible   § Jason  doit  venger  Créuse  mais  ça  lui  est  impossible.   § Jason  se  rappelle  à  lui-­‐même  la  dernière  volonté  de  Créuse  «  venge-­‐toi  »  (v.1605).  C’est   le  devoir  de  Jason

Œuvre à connaître : « Le Cid » (Cid est le nom donné à Don Rodrigue par les rois de Maures signifiant « Seigneur ») : Honneur/Amour Acte I, scène IV Phrase emblématique : « Ô rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie ! » -> Sa vieillesse le trahit, il n’a plus de force donc il demande à son fils de tuer le Comte. Importance de l’honneur très grande ! Pas d’honneur est égal à mourir Scène V Phrase emblématique : « Rodrigue, as-tu du cœur ? » cœur signifie amour, courage Souvent binaire

une réputation étrange : ses collègues disaient qu’il "était le plus fou parmi les médecins et le plus médecin parmi les fous" Dans le théâtre élisabéthain, le thème qui revient le plus souvent, ce sont les erreurs de Cupidon. C’est justement cet amour qui est la passion la plus dangereuse pour l’homme (d’après Paracelse), il doit donc s’en débarrasser et ne s’occuper que de l’amour divin. De plus, les intellectuels croyaient en la magie et au fait que l’homme était contrôlé par des puissances à

redoublements de mots. Ainsi, nous nous limiterons à appeler l’ensemble de ces figures par le terme répétition. Ce type de figure consiste à mettre l’accent sur un mot ou un groupe de mots et, par le fait même, à lui donner de l’importance. Exemple : Amour, amour, tu me tiens, tu me tiens. La gradation : Cette figure de style consiste en une énumération de termes créant, les uns à la suite des autres, un effet d’amplification ou d’atténuation. Il est possible, le cas échéant, de parler de gradation ascendante

deux d’entre eux la conduisent à sa perfection : Pierre Corneille (1606-1684) et Jean Racine (1639-1699). Corneille prête un grand intérêt aux affaires d’État : le salut de Rome (Horace), le sort de la ville de Séville, menacée par les Maures (le Cid). Le Cid (1637) fait date dans l’histoire du théâtre. C’est la première véritable œuvre classique. L’action des pièces de Corneille, pour la plupart historiques, est complexe et parfois chargée d’événements. L’auteur ne se lasse pas de peindre des individualités