Le Cid De Voltaire

l’horizon pour ceux qui ont eu la gloire, c’est l’oubli. Toute une série d’auteurs très célèbres de leurs vivants, mais qui tombent dans l’oubli. Victor Hugo a été adulé et détesté. Ce dieu vivant va devenir une espèce de vieux fétiche, comme l’a été Voltaire. On trouve des Victor Hugo en verres, en assiettes, en porte-clef, etc. Un auteur qui dès sa jeunesse est très précoce, a été au centre des activités littéraires, a suscité des débats dans les journaux, etc. n’est pas toujours apprécié par la génération

esthétiques (ne pas mêler sérieux et plaisant). De même, les comportements déviants doivent être chatiés. -> L’art doit purger les passions avec la tragédie et corriger les mœurs en riant avec la comédie. 3 grandes dramturges de cette époque : - « le cid »  de pierre corneille - Molière : écrivain et comédien, auteur notamment de « l’école des femmes » ou encore « Tartuffe » ou « Dom Juan » - Jean Racines : plus grand auteur des tragédies du siècle e) Le 18e s. en France Les comédiens italiens

donneront également quelques idées pour les sujets d’invention Au-delà des épreuves du lycée, ces lectures vous invitent à des références qui développeront votre culture générale et citoyenne. Liste de lecture non exhaustive Théâtre : Corneille, Le Cid, L’Illusion comique Racine, Phèdre, Bérénice Molière, Dom Juan, Tartuffe, Le Misanthrope Beaumarchais, Le Mariage de Figaro Marivaux, Le jeu de l’amour et du hasard, L’île aux esclaves Musset, Lorenzaccio Rostand, Cyrano de Bergerac Anouilh,

écrit : commun dans le Sud, il s’inspire du droit romain. C’est une sorte de droit notarial. Sous ces régimes, le changement de législation était fréquent, car il n’y avait pas réellement de lois («En France on change plus de lois que de chevaux» Voltaire). Les parlements n’étaient que des cours de justice et l’injustice fréquente («Dieu nous garde de l’équité des parlements») Des révolutionnaires ont eu l’idée de créer un corps de lois unique. Ces lois applicables seraient réunies dans un code

d’être le beau-père du fils du grand Turc. Les jeunes gens se marient, et quand le mariage est consommé, M. Jourdain s’aperçoit qu’il est puni, mais trop tard, de son sot orgueil.   « C’est là, dit Voltaire, un des plus heureux sujets de comédie que le ridicule des hommes ait jamais pu fournir. » Voltaire a raison, car la sottise et la vanité, ces deux compagnes inséparables si bien personnifiées dans M. Jourdain, survivent à toutes les transformations sociales. Aujourd’hui il n’y a plus ni bourgeois

d’une certaine abondance pour s’épanouir. Mais l’époque classique a pu produire des poèmes brefs, une poésie linéaire sous formes de longues périphrases. Il existe un idéal de la poésie claire et facile, « La poésie est l’éloquence harmonieuse », Voltaire. Vient la période romantique où la poésie abandonne la logique du discours pour l’effusion sentimentale, l’épanchement du moi. Mais pas de forme véritablement nouvelle, esthétique du poème long, pour Baudelaire « c’est la ressource de ceux qui sont

nouveauté vertu essentielle = la permanence. Mos majorum (coutume des ancêtres) valeur de loi. Conquête lente très lente méthodique par hommes âgés. Puissance du pater familias même droits sur les personnes que sur les choses Conflit de génération Le Cid : Homme dans la force de l’âge oppose son efficacité actuelle au passé de Don Diègue désormais aboli. Vieillesse qui devrait être apothéose d’une vie de loyaux services risque par affaiblissement physique qu’elle entraîne d’en ruine toute la gloire

ornementation de la pensée, a connu une certaine vogue au XVIIe et au XVIIIe siècle. On voit alors des écrivains mettre en vers des recueils philosophiques, des œuvres historiques voire des manuels mathématiques. Il faut bien avouer que la Henriade de Voltaire reste sur les rayons des bibliothèques peu à peu recouverte de la poussière des ans. Si le Vigny de La bouteille à la mer est encore lu, c’est qu’il a su nous faire partager sa foi brûlante dans le rôle du poète, dans la victoire future de la Science

� b�tir, sur l'eau hideuse o� une botte de paille flottait, sur la chemin�e d'une usine se dressant � l'horizon ; des miasmes d'�gout s'exhalaient. Ils se tourn�rent de l'autre c�t�. Alors, ils eurent devant eux les murs du Grenier d'abondance.� D�cid�ment (et P�cuchet en �tait surpris) on avait encore plus chaud dans les rues que chez soi !� Bouvard l'engagea � mettre bas sa redingote. Lui, il se moquait du qu'en dira-t-on !� Tout � coup un ivrogne traversa en zigzag le trottoir ; -- et � propos

philosophes des Lumières ont également dénoncé les défaillances de la Justice de leur époque par une argumentation rigoureuse ou des récits d’une telle portée (contes philosophiques) qu’ils sont encore lus et discutés aujourd’hui. L’étude du texte de Voltaire, l’affaire Calas, peut constituer une excellente transition entre cette séquence mineure et la séquence majeure suivante. La première interrogation proposée dans le programme sur cet objet d’étude semble bien adaptée à cette séquence et peut