Le Cid Metaphore

la rose. La métaphore : Comme la comparaison, la métaphore rapproche deux éléments textuels, mais sans utiliser de mot de comparaison. Lorsque la métaphore se développe sur plusieurs lignes, on dit que c’est une métaphore filée. Exemples : La fleur déploie ses pétales; robe pourpre qui l’habille. Les cœurs élargis des salades brûlaient, la gamme de vert éclatait en vigueur superbe, les carottes saignaient, les navets devenaient incandescents, dans ce brasier triomphal. (Métaphore filée, dans Émile

contourne ainsi l'expression trop crue de l'acte sexuel. • La litote : elle permet de dire moins pour en faire entendre plus. Exemple : « Va, je ne te hais point. » C'est ainsi que Chimène avoue avec pudeur son amour à Rodrigue dans Le Cid (1637, III, 4) de Corneille. Les figures d'opposition : Exprimer les contrastes plutôt que l'harmonie. • L'antithèse : rapprochement de deux mots ou expressions de sens contraire. • L'oxymore : forme d'antithèse qui se particularise par

LITOTE n.f. Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement - Ce n’est pas mauvais (c’est bon) - Va, je ne te hais point (je t’aime) Le Cid, de Corneille METAPHORE n.f. Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison. Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. - Et tes mains, feuilles de l’automne - Les étoiles volaient dans les branches des arbres OXYMORE n.m. Réunir à l’intérieur

appelé parfois mot-outil, ou « comparatif », se traduit très souvent par le mot « comme ». Comparaison et métaphore sont très similaires en langues. Malgré que la comparaison utilise le terme ‘comme’ pour permettre de la distinguer de la métaphore, on continue à les confondre.    12. La métaphore Le mot métaphore vient du mot grec « metaphora » qui peut se traduire par transport. La métaphore est un type particulier d'image qui associe deux termes appartenant à des champs lexicals différents afin

! LITOTE nf. Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement - Ce n’est pas mauvais (c’est bon) - Va, je ne te hais point Le Cid, de Corneille (je t’aime) METAPHORE nf. Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison. Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. - Et tes mains, feuilles de l’automne - Les étoiles volaient dans les branches des arbres METONYMIE nf. Remplacer

COMMENTAIRE COMPOSE LE CID DE CORNEILLE – Acte I, scène 6 Introduction : Déjà attiré par l’Espagne, Corneille découvre la pièce de Guilhem de Castro, La Jeunesse du Cid, qui retrace l’histoire d’un chevalier de Burgos épousant la fille de l’homme qu’il a tué. Inspiré par ce texte, le dramaturge écrit Le Cid en 1636, qui remporte un succès inouï et annonce la renommée de Corneille. L’acte I met en place l’origine de l’intrigue : Don Gormas est favorable à l’union de sa fille, Chimène, avec Rodrigue

| Utilisation d'une expression suggérant beaucoup plus que ce qu’elle dit réellement | - Ce n’est pas mauvais (c’est bon) - Va, je ne te hais point (je t’aime) Le Cid, de Corneille | METAPHORE | Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui sont rapprochés sans outils de comparaison.Une métaphore filée est développée et poursuivie sur plusieurs mots. | - Et tes mains, feuilles de l’automne - Les étoiles volaient dans les branches des arbres | METONYMIE

La comparaison Elle rapproche 1 élément comparé d’un élément comparant. * La comparaison filée Elle se prolonge sur pls termes € au même champ lexical que le comparant * La métaphore Une comparaison elliptique (sans « comme ») qui identifie l’élément comparé et l’élément comparée * La métaphore filée Le comparant se prolonge sur pls termes € au champ lexical * La personnification Elle transforme un être inanimé en un être vivant * L’allégorie Elle transforme un élément

pour souligner une similitude ou une opposition. Aussi établit-il une correspondance entre deux éléments d'un énoncé au moyen de reprises syntaxiques et rythmiques. Exemple : "Rodrigue, qui l'eût cru ? Chimène, qui l'eût dit ?" (Pierre Corneille, Le Cid [III, 5], 1637.) Exemple : "Quel transport me saisit ? Quel chagrin me dévore ?" (Jean Racine, Andromaque, 1667.) c. L'accumulation et la gradation L'accumulation énumère plusieurs termes qui se rapportent à un même thème ; la gradation les ordonne

| | |beaucoup plus que ce qu’elle dit |- Va, je ne te hais point    Le Cid, de Corneille (je t’aime) | | |réellement | | |METAPHORE n.f. |Etablir une assimilation entre un comparé|- Et tes mains, feuilles de l’automne