Le Cid Metaphore

|registre épique. | | |Litote |"Va, je ne te hais point" |dire le moins pour suggérer le plus |en l'atténuant, on renforce | | |(Corneille, Le Cid) | |paradoxalement ce qu'on veut dire. | |Euphémisme |Il s'éteint (= il |l'euphémisme cherche à atténuer le sens d'un mot en |il s'agit de dissimuler une idée | |

Corneille, Le Cid, Acte I scène VI La tragi-comédie publiée par Corneille en 1637, Le Cid est inspirée de celle de Guilhem de Castro, Les Enfances du Cid (1621) et remporte un grand succès, malgré les vives critiques des « doctes », frappés par l’invraisemblance du dénouement, la conduite choquante de Chimène, future épouse du meurtrier de son père, les emprunts à Guilhem de Castro et l’irrespect de la règle des 3 unités. A la scène VI de l’acte I, Don Diègue vient d’être souffleté par Don Gomès

comparaison image : procédé de langage qui consiste à employer concret dans un contexte abstrait sans l'élément pouvant faire penser a une comparaison. Ex : «  la misère râpée » métaphore filée : reprendre plusieurs fois la même métaphore. On dit qu'on file la métaphore. Dans une scène de Molière, la poésie est assimilé à un repas métonymie : designer une réalité par une réalité qui lui est proche, pour raccourcir l'expression ou pour créé une image politique.

encore l’emphase. Métaphore (féminin) : Selon C. Perelman, « la métaphore n’est qu’une analogie condensée, grâce à la fusion du thème et du phore. […] ».Exemple dans Les Fleurs du Mal de Baudelaire : Une métaphore est filée ou continuée quand elle est développée dans un texte. Oxymore (masculin) : L’oxymore est une alliance de mots dont le rapprochement est inattendu. L’oxymore fait coexister deux termes de sens contraires à l’intérieur d’un même syntagme.Exemple dans Le Cid de Corneille : « Cette

|Le Cid, de Corneille | |METAPHORE n.f. |Etablir une assimilation entre un comparé et un comparant qui |- Et tes mains, feuilles de l’automne | | |sont rapprochés sans outils de comparaison. |- Les étoiles volaient dans les branches des arbres | | |Une métaphore filée est développée

appartements d’une extrême fraîcheur, dans lesquels on n’est jamais incommodé du soleil. (= une prison) Voltaire, Candide (=>ironie). Gradation (f) : succession de termes d’intensité croissante ou décroissante. Va, cours, vole et nous venge. Corneille, Le Cid. Hypallage (f) : qualification de certains noms d’une phrase par des adjectifs convenant à d’autres noms de la même phrase. Ce marchand accoudé sur son comptoir avide. Hugo, « À Canaris ». Hyperbole (f) : exagération de l’expression (=>produire plus

genre et le type de texte, le ou les registres employés, le but recherché par l’auteur, etc. Ici, nous avons affaire à un extrait d’une pièce de théâtre, mettant en scène un personnage de roi assez atypique. En effet, dans ce passage, à travers la métaphore filée de la navigation, Créon explique ce que représente pour lui le fait d’être roi : un sacrifice et une désillusion. - Organiser les idées et les exemples à l’intérieur d’un plan. Corrigé du commentaire Petits Classiques Larousse - 3 – Ubu roi

« Il a vécu. » pour « Il est mort ». Litote Figure de rhétorique consistant à dire moins pour faire comprendre plus. Chimène à Rodrigue dans Le Cid :"Va, je ne te hais point " (Corneille) Métaphore Contrairement à la comparaison, qui consiste à comparer deux éléments à l'aide d'un mot de liaison ("comme", "tel"...), la métaphore compare de façon implicite. Il s'agit d'un trope par ressemblance. Métonymie Consiste à désigner un objet ou une idée par un autre terme que celui

Catachrèse : C’est une figure qui consiste à employer un mot par métaphore. Une métaphore consiste à désigner un objet ou une idée par un mot qui convient pour un autre objet ou une autre idée liés aux précédents par une analogie. C’est en fait une comparaison, mais sans les termes de comparaison. pour désigner un objet pour lequel la langue n’offre pas de terme propre. On dit couramment que la catachrèse est une métaphore lexicalisée. Exemple : « les pieds d’une table », « les bras d’un fauteuil »

juin 1606 est surtout connu et reconnu pour sa grande pièce classique Le Cid. Il serait intéressant d'étudier ses œuvres antérieures telles que Clitandre, ou encore La Place Royale car Corneille à la particularité d'avoir vécu dans un siècle où le dictat du Classique s'est imposé progressivement. L'unité n'était pas tant respectée dans Mélite que dans dans La Galerie du palais pourtant lorsqu'il republiera ces œuvres après Le Cid, il ajoutera dans ses examens des justifications pour son non respect