Le Cid Monologue

et vacillante b)Un personnage comique: pantomime, gesticulation, jeu avec la lunette, l'escabeau II. Un personnage sans épaisseur psychologique a) Transparent: -Physique raide, très fin= parle peu, laisse à Hamm le privilège des tirades et monologues, répliques courtes -Traité comme un chien par Hamm b) Sans passé: Clov n'a aucune mémoire de son passé à la ≠ de Nagg et Nell (souvenirs de vieux couple) et de Hamm (monde passé) III. L'utilité de Clov a) Participe

Tout d’abord, l’auteur utilise des artifices de langage que chacun accepte comme s’ils allaient de soi. Ce sont d’abord les monologues sans lesquels on ne saurait rien des pensées du personnage. Autre artifice du même ordre : l’aparté qui oblige à croire que le personnage présent physiquement sur la scène, n’a pas entendu. Ex : l’extrême monologue délibératif, les stances du Cid. - Concernant l’acteur, personne ne s’étonne du fait qu’on l’ait vu mourir à l’acte V et qu’il se relève pour les applaudissements

d’une famille de magistrat. Ila fait des études de droit et devient avocat. Il se tourna dans l’écriture et devient donc dramaturge et il écrit 33 pièce : il commença par des comédies (« L’Illusion comique »1636) et ensuite de tragi-comédie («  Le Cid » 1637), ensuite des tragédies ou il se sers de l’histoire romain («  Horace »1640) puis des pièces biblique (martyrs qui meurt pour la religion : « Le dilemme Cornélien ») Mouvement : classicisme. Genre : Théâtre Résumé : Fait en alexandrin. Corneille

explique qu’à l’acte III, Camille et Sabine attendront des nouvelles du combat et qu’à l’acte V le roi Tulle se rendra en personne chez le Vieil Horace. C’est aussi une manière pour Corneille de respecter l’unité de lieu et de montrer aux détracteurs du Cid qu’il peut se plier aux contraintes de l’esthétique classique. ● Observer l’alternance des phases d’espoir et d’inquiétude. L’espoir renaît avec l’arrivée de Curiace, l’annonce de la trêve, le choix des champions. La scène se termine d’ailleurs sur

le lever et le coucher du soleil ou, au maximum, en vingt-quatre heures. Cette règle, très contraignante pour les auteurs, doit donner l’illusion au spectateur d’assister aux évènements comme s’ils se déroulaient en temps réel. Par exemple dans le Cid autre œuvre de Corneille, l’action se déroule bien en 24 heures mais cette règle oblige Corneille à accumuler de manière invraisemblable des évènements qui s’étendaient sur trois ans dans la pièce de Guilhem de Castro. - L’unité de lieu : l’action

recourir à un narrateur) utilise des artifices de langage que chacun accepte comme s’ils allaient de soi. Ce sont d’abord les monologues sans lesquels on ne saurait rien des pensées du personnage6. Autre artifice du même ordre : l’aparté qui oblige à croire que le personnage présent physiquement sur la scène n’a pas entendu. Ex extrême de monologue délibératif, les stances du Cid. - Concernant l’acteur, personne ne s’étonne du fait qu’on l’ait vu mourir à l’acte V et qu’il se relève pour les applaudissements

voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille, L’Illusion comique ou Anouilh, La Répétition ou l’Amour puni ou Genet, Les Bonnes (Lire une œuvre, p. 155) Groupement

Triste | Pitié mais admiration | Roméo et Juliette,Phèdre de Racine | Tragi-comédie | Noblesse ou haute bourgeoisie | (seconde moitié xvie ‑ xviie siècle) | Hasard, liberté | Tendu | Heureux | Sympathie | Le Cid de Corneille | Comédie d'intrigue | Noblesse, bourgeoisie | Contemporaine à celle de l'auteur | Obstacles individuels | Enlevé ou tendu | Heureux | Sympathie | Les Fourberies de Scapin de Molière | Comédie de

Le théâtre se propose aussi de divertir le spectateur en lui donnant à voir et à entendre des histoires propices à l’évasion. Qu’on se souvienne que le sens premier de « drame » est l’action pour comprendre où peut se placer cet intérêt. Avec Le Cid, Corneille revisite la légende médiévale de ce héros espagnol auquel il confère une dimension mythique. On s’intéresse à la geste de Rodrigue qui vainquit les maures venus aux portes du royaume et s’acquit ainsi la reconnaissance de son peuple et de

catharsis. C’est au Ve siècle av. J.-C. que la tragédie antique connaît son apogée avec Eschyle, Sophocle et Euripide. - Au début du XVIIe siècle, un genre nouveau apparaît : la tragi-comédie a pour particularité de présenter un dénouement heureux (Le Cid de Corneille, 1636). Le XVIIe, siècle du classicisme, voit l’apogée d’un genre tragique qui devient extrêmement codifié. La tragédie est en vers, comprend cinq actes, doit présenter des personnages de haut rang et s’inspirer de sujets antiques (Cinna