Le Citoyen Peut Il Désobéir Aux Lois

Adolphe va se rallier à la république et du coup en 1873 on le pousse à la démission et on élis à sa place le maréchal MAC Mahón qu’on élit pour un mandat de 7 ans, l‘idée était de laissé le temps au comte de Chambord de mourir. En 1875 est voté les lois constitutionnelles de la IIIème république. au élection législative suivante en 1876 les monarchistes remporte le sénat et les républicains remportent une chambre de député républicaine. Mac Mahón nomme un président du conseil. Jules Simon, un républicain

limités à l'auto-consommation de la collectivité, ils sont contre-nature. C'est une économie partielle puisqu'on peut opposer à cette vision celle des sophistes où la monnaie est accepté et où le travail est un moyen d'assurer sa citoyenneté. Les philosophes qui ont milité pour l'esclavagisme (Platon, Aristote) vont principalement être contre l'idée de travail (chez Platon ou Aristote, on peut être esclave par nature) I – Éléments d'histoire politique de la Grèce Antique Dans la Grèce Antique,

ne m'offrait qu'har monie et proportions, celui du genre humain ne m'offre que confusion, désordre! Le concert règne entre les éléments, et les hommes sont dans le chaos! Les animaux sont heureux, leur roi seul est misérable! O sagesse, où sont tes lois ? O Providence, est-ce ainsi que tu régis le monde ? Être bienfaisant, qu'est devenu ton pouvoir ? Je vois le mal sur la terre. P70 *la Providence(...) ne veut point le mal que fait l'homme, en abusant de la liberté qu'elle lui donne ; mais elle

de la loi. Aristophane, auteur de comédies à Athènes vers 400 av. J.-C. , dénonçait dans Les Guêpes la judiciarisation de la vie athénienne : Philocléon, un vieillard, passe sa vie au tribunal où il sert comme juge, comme en a le droit tout citoyen athénien, contre un salaire qui le fait subsister. Il a pris la manie de juger tout le monde, et de tout, comme si la loi n’était plus pour lui qu’un prétexte à assouvir sa passion compulsive : “Sainte Thémis [Déesse grecque de la justice]! O

autrui, ou encore la société, l'État, la morale, le droit, jusqu'à notre conscience en nous-mêmes. Qu'en est-il donc de la liberté, face à ces entraves : faut-il y voir un rêve impossible, s'il s'avère que le monde est fait d'obstacles que l'on ne peut espérer dépasser un jour parce qu'ils lui sont essentiels ? Ou faut-il plutôt apprendre comment se déplacer parmi eux pour éviter de les rencontrer, c'est-à-dire commencer par se connaître soi-même pour se diriger efficacement ? Où faut-il donc placer

personnel. Obéir aurait alors pour conséquence de renoncer, d’abandonner sa liberté. Désobéir serait-il alors le moyen d’être libre ? Sans loi peut-on être libre ? Mais alors, pourquoi l’homme crée-t-il des lois qui le force à leur obéir, et qui lui ferait perdre sa liberté ? L’homme serait-il masochiste au point de se priver de ce qu’il recherche toute sa vie ? Etre libre est-ce faire ce que l’on veut ? Comment peut-on concilier l’idée de liberté avec celle de l’ordre, de l’obéissance ? Et si l’obéissance

La justice et le droit Introduction 2 I. Droit naturel et droit positif 2 A. La diversité des lois positives 2 B. L’idée de droit naturel 3 1. L’exemple d’Antigone 3 2. Il y a une justice naturelle au-dessus des lois particulières (Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure

autrui, ou encore la société, l’État, la morale, le droit, jusqu’à notre conscience en nous-mêmes. Qu’en est-il donc de la liberté, face à ces entraves : faut-il y voir un rêve impossible, s’il s’avère que le monde est fait d’obstacles que l’on ne peut espérer dépasser un jour parce qu’ils lui sont essentiels ? Ou faut-il plutôt apprendre comment se déplacer parmi eux pour éviter de les rencontrer, c’est-à-dire commencer par se connaître soi-même pour se diriger efficacement? Où faut-il donc placer

La diversité des lois positives 2 B. L’idée de droit naturel 3 1. L’exemple d’Antigone 3 2. Il y a une justice naturelle au-dessus des lois particulières (Aristote) 4 3. La philosophie du droit naturel (Locke, Rousseau) 5 4. Les droits de l’homme 6 C. La critique du droit naturel 7 1. La critique des droits de l’homme (Marx) 7 2. Il n’y a pas de justice avant la loi (Epicure, Spinoza, Hobbes, Pascal) 8 3. Le droit naturel est une fiction (Kelsen) 8 Conclusion 9 II. La force des lois 9 A. La structure

LE DROIT LA REGLE DE DROIT Le droit peut être défini comme l’ensemble des règles qui régissent la vie en société. Trois éléments caractérisent la règle de droit : - elle est générale et abstraite ; elle indique, sur un territoire donné, ce qui est permis, ce qui est interdit, ce qui est prescrit ; - elle est obligatoire : ce caractère s’apprécie non seulement à l’encontre des particuliers, mais aussi de l’autorité publique ; - elle est sanctionnée : parce que la pérennité de la société