Le Citoyen Peut Il Désobéir Aux Lois

La société est organisée selon des lois. Mais pourquoi faut-il surveiller et punir l’homme ? En le punissant sommes nous entrain de l’aider à distinguer le bien du mal ? Toutefois il est important de préciser qu’une société utopique sans punition reste envisageable mais peu réalisable. Quel est le rôle justement de la justice ? N’est elle pas qu’une apparence ? L’homme n’est il pas finalement le seul responsable dans ces sanctions, comme punir ? Les lois sont établies pour que règne toujours

 « Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit », indique la déclaration des droits de l’homme et du citoyen datant de 1789. Ce premier article confère à chaque homme une liberté de droit. Cela signifie que les hommes disposent légalement et légitimement d’une liberté qui implique les libertés d’expression, de religion, de choix ou de se déplacer. Lorsque nous avons une décision à prendre, c’est la liberté qui nous permet de faire un choix. Elle désigne la possibilité d’agir de

chose par la morale, par la loi, par sa condition, par l’honneur, par la bienséance, etc. Du motDans le langage courant, le devoir désigne les règles, des ordres à respecter : le devoir du soldat, du citoyen… Si le nom semble simple, le sens du verbe (devoir) et plus complexe. Il peut désigner soit une possibilité (il doit arriver ce soir), soit un ordre (tu dois te laver les mains), (tu lui dois des excuses). Dans ce 2nd sens, une confusion est possible entre ce qu'il est nécessaire de faire

obstacles: limitation de vitesse sur la route, respect de la propriété du voisin, obligation de payer ses impôts, etc. Autant de lois qui semblent entraver ce que l'opinion commune appelle « la liberté ». De même, l'Histoire offre de nombreux exemples de tyrannies et totalitarismes qui ont confisqué la liberté politique de leurs citoyens. Pourtant, la liberté politique peut-elle se concevoir sans l'existence d'un Etat pour la protéger ? L'institution étatique n'aurait-elle pas pour rôle de la défendre

5-Martin Luther King pense qu’il est moralement nécessaire de désobéir à une loi injuste à condition d’accepter les conséquences de sa désobéissance.6-Kohlberg a montre ke tous les individus ont une capacité morale et que cette capacité progresse selon les stades hiérarchiques.Le stade 6 est celui de l’autonomie morale.C’est pourquoi Kohlberg classe King au stade 6.CH.2 1-Il y a une différence entre les jugements de fait et les jugements de prescripteur.Les premiers s’appuient sur l’observation des

charge aussi de la paix entre états ,le glaive est tourné vers l’extérieur, mais il assure aussi la paix civile et correspond aux impératifs de la survie. Le glaive c'est aussi l’épée de justice qui impose l’obéissance aux contrats et l’obéissance aux lois en punissant. La souveraineté est présentée comme une souveraineté absolue. Le souverain n'a pas d’épée au dessus de lui. Absolu signifie, absous de tout lien, de toute obligation. Dans l’état de nature, chaque homme est absolu. « Every man was absolute

philosophie ------------------------------------------------- Sujet : L'état est-il l'ennemi de la liberté ? L'état incarne les lois qui garantissent nos libertés cependant ces lois et ces règles ne nous permettent pas de faire absolument tout ce que nous voulons, nous ne sommes donc pas totalement libre. Ici s'installe un paradoxe, comment un état peut-il être l'oppresseur et la garantie de nos libertés ? C'est deux thèses s'affrontent et s'opposent cependant aucune des deux ne semblent

de vouloir installer un « État fort » après la révolution et redoute que ne se reproduise ainsi les structures classiques d'oppression du peuple. Bakounine est recherché par toutes les polices d'Europe continentale. La Suisse est le seul pays où il peut établir une base sûre pour atteindre ces objectifs. A la fin des années 1864 le socialisme libertaire domine les mouvements des pays du Sud mais à Londres le projet marxiste à fait un grand pas avec la création de l'association internationale des travailleurs

rivalité, défiance, fierté). On peut faire référence à un autre type de violence, de conflit : Comme on n’est jamais sûr que l’autre ne nous attaque que pour sa survie et non pas pour « contempler sa propre-puissance » (paragraphe 2 texte 2), on n’est jamais à l’abri d’une attaque gratuite, ainsi le meilleur moyen d’anticiper cette attaque est de prendre les devants, de se rendre maître, donc on a également le droit d’attaquer gratuitement autrui. La survie c'est ce qui peut nous sauver d'un danger ou

proposition est manifestement intenable. Nous pouvons dès lors reformuler notre problème : à quelles conditions peut-on conserver sa liberté en obéissant ? C’est ce problème que nous nous proposons d’étudier en trois moments : 1/ nous examinerons la conception immédiate de la liberté comme pouvoir de faire ce qu’on veut, et ses limites ; 2/ ensuite, nous verrons que la liberté peut être redéfinie comme permission de faire ce qui est autorisé par la loi, donc que l’obéissance à la loi est condition