Le Clivage Gauche Droite

populaire et de mouvements régionaux comme l'Union populaire républicaine (Alsace) et l'Union républicaine lorraine, fondé en 1944 par Georges Bidault, il se voulait le parti des résistants démocrates-chrétiens qui souhaitaient dépasser le clivage droite-gauche et celui de la « fidélité » au général de Gaulle. Avec le Parti communiste français, le MRP fut le grand vainqueur des élections législatives de 1945 et participa, avec celui-ci et les socialistes (SFIO), au système du tripartisme Georges

Fachsemester Frankreichstudien Sommaire 1. Introduction 3 2. L'affaire Guy Môquet 4 3. Instrumentation et usage de l'histoire 5 3.1 La mobilisation de l'école 5 3.2 Le recours à l'émotionnel 6 3.3 Effacer les clivages 7 4. Résumé et conclusion 9 A. Sources 10 B. Bibliographie 12 I. Introduction « Enfants de France, soyez fiers de vos aînés qui vous ont tant donné, et soyez fiers de la France au nom de laquelle

à la mort des idéologies * À la fin de la guerre, nombre d'intellectuels adhèrent au parti communiste, (Paul Eluard ou Picasso) d'autres sont des « compagnons de route ». Tous préconisent l'engagement politique. Mais la guerre froide crée des clivages entre ceux qui approfondissent leur engagement et ceux qui prennent leurs distances avec l'URSS. * Dans les années soixante, la conjoncture internationale pousse les intellectuels à chercher de nouveaux modèles vers la Chine maoïste ou Cuba ;

coalitions, une étant de droit et l’autre de gauche afin de maximiser les votes : Centre-gauche, Italia, Bene Commune, 7 partis, le chef étant Enrico Letta de Partito Democratico et le centre-droit, 8 partis, le chef étant Silvio Berlusconi (premièrement de Forza Italia et a partir de 2009, Il Popolo delle Libertà.) . En 1994 Forza Italia gagne les élections et Berlusconi devient le Premier Ministre. De 1996 à 2001, l’Italie a été gouverné par trois différents gouvernements de gauche. De 2001 a 2005, Berlusconi

«rupture tranquille » ou syncrétisme tourmenté ? Sylvie STRUDEL avec la collaboration de Viviane LE HAY L’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de l’UMP (Union pour un Mouvement populaire) en novembre 2004 aura marqué, dans l’histoire des droites françaises, une scansion majeure dans l’asymétrie croissante entre les forces en présence mais aussi dans l’effacement du gaullisme et dans la rupture avec le chiraquisme 1. Une étape nouvelle, dans ce sens, a-t-elle été franchie depuis le 22 avril

2000 du quinquennat et l'inversion du calendriers électoral. L'élection présidentielle réduit l'intérêt pour les législatives qui deviennent « un écho de la victoire présidentielle»Facteurs sociaux: dans nos société démocratique, tout le monde à son droit de vote quelque soit son revenu. Il existe un « sens caché » dans la mesure où il y a un accès inégal a la compréhension de la « chose publique ». certains individus s'auto-exclu de la participation politique car ils s'estiment incompétents, ils ne

observée avec l’intérêt pour la politique et l’aptitude à s’inscrire sur l’axe gauche-droite perdure au terme des régressions logistiques : elle traduit donc un effet propre de l’appartenance associative. En outre, cette relation reste valable quel que soit le type d’association dont les individus sont membres : si elle est évidemment plus étroite lorsque l’on a affaire aux adhérents d’une association de défense des droits de l’homme ou d’un syndicat, elle est toutefois également bien réelle chez les

La vie politique de 1932 à juillet 1940 Introduction : Les principales tendances : * bipolarisation gauche droite très forte. * Affirmation du PCF à l’extrême gauche. * Le parti radical est au centre de la vie politique, il reste important mais il s’affaibli. Déplacement vers la gauche du clivage gauche droite. * L’imprégnation fichiste semble limitée. * Deux expériences originales de gouvernement, le front populaire, et le gouvernement Daladier. Problématique : quel

comparées », sous la direction de Pierre Martin Sciences Po Grenoble mai 2010 1 RÉSUMÉ DU MÉMOIRE La question de recherche et les sources utilisées Ce travail sur la social-démocratie a pour origine un intérêt personnel et citoyen pour la gauche européenne, et un étonnement devant le paradoxe apparent d’une concomitance entre crise du capitalisme et crise de la social-démocratie. Aidés dans notre démarche de questionnement par notre directeur de mémoire Pierre Martin, nous avons choisi d’éclaircir

dans les chiffres officiels, les violences contre les personnes, qui sont l’indicateur numéro 1, sont en progression continue. Encore +2,5% en 2010, et une hausse de 32% depuis 2002. Chacun le constate : les émeutes se banalisent, les zones de non-droit se multiplient, et la délinquance prend maintenant les formes de l’ultra-violence, alors que des armes de guerre circulent comme jamais en banlieue. Marine Le Pen, Présidente du Front National, rappelle aux Français qu’il n’y a qu’un seul chiffre