Le Clonage Humain Point De Vue éthique

L'eugénisme Introduction L’eugénisme peut être défini comme l’ensemble des méthodes et pratiques visant à transformer le patrimoine génétique de l’espèce humaine, dans le but de le faire tendre vers un idéal déterminé. Il peut être le fruit d’une politique délibérément menée par un État. Il peut aussi être le résultat collectif d’une somme de décisions individuelles convergentes prises par les futurs parents, dans une société où primerait la recherche de l’« enfant parfait », ou du moins indemne

science et des techniques comme la contraception, l’avortement, le diagnostic prénatal, les procréations médicalement assistées, les tests ADN, le clonage, les cellules souches, ou encoreles greffes d’organes, ont amené les juristes musulmans (fuqâhâ’, ‘ulamâ’, muftî) à émettre des avis juridiques (fatâwâ,sg : fatwâ) sur ces questions inédites du point de vue du droit musulman classique tout en puisant leurs réponses dans l’esprit même de ces textes. 2Ce livre regroupe un ensemble de contributions en

chaque individu. Du coté des bénéficiaire est ce que c’est l’individu, les Etats, une humanité comprise globalement et de manière solidaire. Lochak soutient que cette 3e génération de droits ne sont en fait que des exigences éthiques, la reconnaissance des ces exigence éthiques en tant que droits de l’homme conduit à affaiblir les véritables droits de l’homme. 3) La critique des droits de l’homme La grande critique c’est leur caractère évanescent. Droits peu spécifiés, dont la liste est difficile

.................................... 261 Section 1. L'avortement ............................................................................ 261 Section 2. La limitation des naissances et la planification familiale ........ 269 Section 3. Le clonage humain................................................................... 273 Section 4. Les mutilations sexuelles: circoncision masculine et féminine ..................................................................................................

Faut-il limiter la puissance humaine ? « Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas », telle est la prophétie annonciatrice que l’on aime prêter à Malraux. Que la paternité de cette célèbre citation revienne ou non à l’ancien ministre de la Culture de De Gaulle, ou que le terme exact soit « spirituel » ou « religieux », la question à laquelle nous sommes confrontés aujourd’hui est peut-être celle, à la fois plus simple et plus radicale, de savoir si le XXIe siècle sera ou ne sera pas

Ethique Appliquée au Droit [Cours du 19 septembre 2006] Introduction Le but de ce cours est de nous faire comprendre certaines interrogations sous-jacentes qui sont présentes dans des cours que nous suivons. Par exemple : l’objectivité des décisions de justice. Est-ce que la solution adoptée est la bonne, la seule, la meilleure solution qui soit ? « Plus on dit moins du réel, plus la solution semble inébranlable ». Illustrons cela par un exemple : 2 = 4 x ½. C’est la seule solution possible

aux contraintes naturelles ex : intempéries = science et technique pour se protéger. * Raison-égalité : l’égalité repose sur la raison, si nous sommes égaux c’est par ce que nous sommes raisonnable. Nous sommes tous égaux car il y a une nature humaine : la raison. Histoire de la folie à l’âge classique, FOUCAULT a partir du moment ou la raison devient une clé de la politique de civilisation commence le grand enfermement des fous. * Technique –égalité : la technique permet de réduire les inégalités

ARTICLE LE STATUT JURIDIQUE DU CORPS HUMAIN OU L’OSCILLATION ENTRE L’OBJET ET LE SUJET DE DROIT∗ par Marie-Ève ARBOUR** Mariève LACROIX*** Les auteures s’interrogent sur le statut juridique du corps humain, lequel apparaît hybride, exigeant une approche sui generis et se situant dans une position médiane entre les catégories d’objet et de sujet de droit. Un positionnement – certes nécessaire – sur le statut juridique du corps humain engage une réflexion bioéthique contemporaine sur deux aspects

doivent être réactivés, ou confortés, rien ne serait plus contraire à l’intérêt des élèves que de refaire ce qu’ils ont déjà traité, avec des connaissances ou des approches identiques. Il s’agit ici de déplacer la focale et de se placer à un autre point de vue, qui doit développer la curiosité, inciter aux rapprochements et aux comparaisons, donner envie dans l’espace et dans le temps, de mieux connaître et donc de mieux comprendre les hommes dans leur diversité et leur universalité. Le programme présenté

d'utilité. Chaque action possède des effets négatifs et des effets positifs pour un temps plus ou moins long avec divers degrés d’intensité. Il s’agit donc pour l’individu de réaliser celles qui lui apportent le plus de bonheur. Bentham avait mis au point une méthode, "Le calcul du bonheur et des peines", qui vise à déterminer scientifiquement – c'est-à-dire en usant de règles précises – la quantité de plaisir et de peine générée par nos diverses actions. Il n'y a pas de hiérarchie des plaisirs.