Le Comique Dans En Attendant Godot

(«castigat ridendo mores») et particulièrement avec des pièces telles que Tartuffe ou l’imposteur, L’avare ou encore le médecin malgré lui. En effet Molière, qui fut dramaturge à la cour du roi, a eu recours à des personnages, des situations, des paroles comiques pour atteindre son but ultime: critiquer les mœurs de son temps. L’humour permet de dissimuler une accusation trop directe. Si l’on remonte encore dans le temps nous pouvons souligner cet argument à travers l’œuvre d’un autre grand écrivain, cette

le comique s’y mêle—> caractère absurde. L’absurde n’aboutit toutefois pas à un engagement (comme chez Sartre) ou à une révolte (comme chez Camus). Personnages et situations du théâtre de l’absurde semblent plutôt s’immobiliser dans un tragique total, un nihilisme sans fin. Précurseurs : Auteurs et œuvres représentatifs du mouvement :  Guillaume Apollinaire (1880-1918)  Samuel Beckett : En attendant Godot

I) Le plaisir et l’intérêt à lire une pièce de théâtre chaque lecteur peut interpréter la pièce autrement grâce aux didascalies et autres éléments qui aident à la construction des personnages. Ex :Dans le roman en attendant Godot, «  Estragon, assis sur une pierre essais d’enlever sa chaussure » On imagine ce personnage se tortiller pour essayer d’enlever sa chaussure, mais en vain. Le lecteur à accès aux notes de l’auteur et de l’éditeur, il peut donc mieux comprendre dans quels contextes

tel dans le monde, il est créé par le dramaturge pour provoquer crainte et pitié chez le spectateur. Il en va de même du personnage de comédie. Bien sûr le « soldat fanfaron » de Plaute emprunte beaucoup de ses traits à des personnes réels, mais le comique n’est obtenu que par l’hyperbole qui le caractérise, celui qui fait tomber les tours et soumet les villes. Ainsi Plaute a volontairement déformé le réel, créant de toutes pièces un personnage dans le seul but de faire rire les spectateurs. C’est du

didascalies dans le texte écrit : nombreux moments où le théâtre n’est plus parole, mais gestes et attitudes  Aspect tragique : solitude, souffrance, absurdité de la condition humaine. La scène se déroule souvent dans un climat de catastrophe mais le comique s’y mêle—> caractère absurde. L’absurde n’aboutit toutefois pas à un engagement (comme chez Sartre) ou à une révolte (comme chez Camus). Personnages et situations du théâtre de l’absurde semblent plutôt s’immobiliser dans un tragique total, un nihilisme

didascalies dans le texte écrit : nombreux moments où le théâtre n’est plus parole, mais gestes et attitudes  Aspect tragique : solitude, souffrance, absurdité de la condition humaine. La scène se déroule souvent dans un climat de catastrophe mais le comique s’y mêle—> caractère absurde. L’absurde n’aboutit toutefois pas à un engagement (comme chez Sartre) ou à une révolte (comme chez Camus). Personnages et situations du théâtre de l’absurde semblent plutôt s’immobiliser dans un tragique total, un nihilisme

signification peut être différente pour le spectateur qui en sait souvent plus que chaque personnage. Le théâtre est aussi constitué de dialogue entre deux personnages qui nous indiquent alors les rapports de forces entre les personnages comme dans En Attendant Godot qui repose sur l’histoire de deux hommes qui attendent une personne qui ne viendra jamais, Le dialogue est alors impératif dans cette histoire. C’est le discours d’un personnage seul (ou qui se croit seul) sur scène. En exprimant ses sentiments

Cantatrice chauve (1950) d’Eugène lonesco (1909- 1994) se termine par les répliques du début de la pièce, laissant deviner un éternel recommencement. Les deux actes d’En attendant Godot (1952) de Samuel Beckett (1906-1989), reprennent les mêmes situations, les mêmes conversations, autour de l’attente vaine de quelqu’un nommé Godot que les personnages ne cessent d’attendre et qui ne viendra pas. 2. La conscience de l’absurde Ordinairement, l’homme n’a pas conscience de l’absurdité de son

Samuel Beckett est un écrivain, dramaturge et poète. Il est l’auteur de « Fin de partie » créée en français le 1er avril 1957. Ses œuvres principales sont «  En attendant Godot », « la trilogie: Molloy, Malone meurt, l’Innommable » et « Fin de partie ». Son nom est généralement associé au théâtre de l’absurde. Il appartient donc au mouvement de l’absurde et au genre du théâtre de l’absurde, terme formulé en 1962 par l’écrivain Martin Esslin. Ce genre traite fréquemment de l’absurdité de l’homme

connexion entre littérature et action. Il est, évidemment, un élément primordial dans ce contexte puisqu'il peu enrichir le jeu théâtral. En effet, le costume et les accessoires associés peuvent parfois créer un comique de geste, propre à la représentation et qui est apparenté à un comique purement visuel, ou plus rarement celui de situation. Ainsi se génère chez le spectateur une réponse en harmonie: le rire. Il arrive que l'utilisation d'un tel élément scénique engendre chez l'auditeur l'interpellation