Le Comique Dans En Attendant Godot

scène des personnages tirés la plupart du temps de la vie ordinaire (contrairement à la tragédie); le ton est en général léger, enjoué. La comédie se fonde sur la dualité essentielle entre la vie et sa représentation; son principe (qui est celui du comique en général) est un principe de contradiction: le rire naît d'un événement triste ou désagréable. Alors que le drame ou la tragédie amplifie les événements, la comédie les atténue, tout en les mettant en relief. Son rôle est de dédramatiser, de désacraliser

les mouvements des personnages, donc guident la mise en scène. Exemples chaîne en or que Perdican met au cou de Rosette ou bague qu'il jette dans la fontaine dans On ne badine pas avec l'amour de Musset ; carotte qu'Estragon mâche dans En attendant Godot (document C) ; nourriture dans Dom Juan (document A). Objets et costumes (au sein des didascalies, des répliques) dictent alors leur loi au spectacle, à la mise en scène : sans eux, la pièce n'existe plus. Ils sont indispensables à l'intrigue

l'imagination la plus folle investit le théâtre A- La scène du théâtre de l'absurde • Becket : décors minimalistes (En attendant Godot : un arbre), fantastique (transformations en rhinocéros...) ou décors très étonnants : sable dans lequel Winnie s'enlise Oh les beaux jours. • Ionesco : intrigue circulaire (La Cantatrice chauve) ; importance des objets (comiques mais annonciateurs. Cf. les accessoires de Jean) B- L'action dans le théâtre de l'absurde • Fantastique : exemple

déclaré "le théâtre c'est d'abord un beau texte" ? L'auteur est un maître des mots et n'hésite pas à jouer avec, particulièrement dans la comédie où les procédés comiques sont omniprésents. Alfred Jarry, par exemple, use du comique de langage dans sa pièce "Ubu Roi". De même, les oeuvres de Molière regorgent de facétie grâce au comique de caractère abondamment utilisé avec le personnage d'Argan du Malade Imaginaire ou encore avec Mr Jourdain, anti-héros du Bourgois Gentilhomme. Ensuite, le théâtre

théâtre et non une personne : « contemple la scène, se tourne vers la salle. », « Regard fixe, voix blanche » => inexpressif comme un acteur qui n’a pas complètement endossé son rôle. (A voir : autres références au théâtre dans la pièce – cf En attendant Godot : Vladimir: « Nous sommes sur un plateau. Aucun doute, nous sommes servis sur un plateau. » (125). Voir Fin de partie p. 77-78 « A quoi est-ce que je sers ? – A me donner la réplique. » C’est la représentation, le rapport scène/salle, qui fait

extraits de pièces de théâtre allant de l’Antiquité romaine (Plaute) au XXe siècle (Beckett), en passant par le XVIIIe siècle (Marivaux). Les deux premières (La Marmite de Plaute et L’Île des esclaves de Marivaux) sont des comédies. La troisième (En attendant Godot de Samuel Beckett) fait partie du théâtre de l’absurde et peut être considérée comme une farce tragique. Quelles que soient ces différences d’époque et de genre, ces trois extraits mettent en scène une relation complexe entre maîtres et valets

devenir spectateur ? En premier lieu, au théâtre, le jeu des acteurs permet de faire ressortir une interprétation du texte, d’y ajouter les accents de l’émotion ou une prononciation comique, alors que l’imagination lors de la lecture du texte ne sera pas aussi efficace. Ainsi, les longs silences dans En attendant Godot de Beckett rendent l’attente de Vladimir et d’Estragon plus pesante. La lecture de la didascalie ne peut évidemment pas rendre cet effet. De même, dans Du coté de chez Swann de Marcel

negatifs de l'argent. moliere est dc parvenu a meler les 2 fonctions ppales du theatre. B. au milieu du XXeme siecle, le theatre de l'absurde apparait, melant un comique particulier a une vision de la vie deroutante. les pieces de l'absurde traduisent svt un message de desespoir ou de revolte de la part de l'auteur. Expl: en attendant godot de beckett. Commentaire : Il faut donc intervertir la partie deux et la partie un. Dans une dissertation, il faut aller du plus évident au plus approfondi.

subvertit aussi les codes de l’incipit romanesque dans le sens où comme l’on vient de le voir la voix du personnage se détruit face à la mort annoncée au lieu de construire le personnage. III/et de l’humour noir du dramaturge A. Oscillation tragique/comique -images triviales et incongrues « les flammes et la glace des enfers et dans les exécrables générations à venir une mémoire honorée » B. Refus de la grandeur tragique -dégradation des registres pathétiques : rythme heurté/interrompu, phrases

| | |( Le pittoresque du M-Âge | | | | |Procédés |-mélange registre comique & |- multiplication des détails vrais |-enquête préparatoire + document |-harmonie dans les sonorités | |d’écriture |tragique |- la description