Le Comique Effrayant

est reconnu comme un grand auteur du classicisme, qui prône le retour à la raison, l’harmonie, l’imitation des anciens. Il écrit Dom Juan en 1665, pièce dans laquelle il s’attaque à la médecine, la tyrannie des pères, la religion, sous des traits comiques qui engendrent le rire, par l’intermédiaire d’un personnage qui trouve dans les défis et les obstacles une raison d’exister et de se sentir vivant. Antoine Adams, dans Histoire de la littérature au dix-septième siècle, tome trois, juge la pièce Dom

transport. On imagine alors la cocasserie de la situation, lorsque des individus profondément empreints de snobisme sont contraints de côtoyer la rusticité de la ferme et le labeur du paysan. Françoise Sagan emploie une ficelle classique du genre comique, en enfermant ses personnages dans un environnement avec lequel ils n'ont rien en commun et dont ils ne soupçonnaient peut-être même pas l'existence. La première partie du roman, si je puis me permettre une décomposition toute personnelle, fait état

définis grâce aux nouvelles technologies d’ imageries. Love at first sight (Aimée au premier regard) Cette scène est bien évidament une parodie de la légende de l’ éminent Éros alias Cupidon, Dieu de l’amour selon la mythologie. Cet aspect comique est le plus marquant pour le téléspectateur. L’ exagération des chutes liés au frappes de flêches donne ce coté humoristique. Le personnage de Eros lui est une parodie à part entière. Avec son look de rockstar métaleux, il détient des arbalètes

art Il a connu le succès et jouit depuis dix ans de la protection du roi. Quatre ans plus tôt, Louis XIV lui-même a accordé à Molière une pension, il est devenu le parrain d’un de ses fils. En 1665, le monarque distingue officiellement l’auteur comique et le comédien en lui décernant le titre de directeur de la « troupe du roi ». Cependant cette réussite est compromise, elle apparaît indécise. Molière vient de connaître de graves difficultés. Depuis quatre longues années, il se bat contre le

Bienséance, mais aussi car elle est spectaculaire avec une abondance d'artifices visuels et auditifs, illustrant le «tonnerre», le «grand bruit», les «grands éclairs» et les «grands feus». L'intervention divine prend deux formes, de plus en plus effrayantes: il y a d'abord le «spectre en femme voilée» qui représente toutes les beautés bafouées par Don Juan au cours de la pièce comme Charlotte (Acte II, Scène 2) et Mathurine (Acte II, Scène 4). Il affirme d'ailleurs qu'il reconnait cette voix, qui laisse

nostalgie, la mort, etc. Dans l’analyse littéraire, l’étude des champs lexicaux permet de mieux cerner le texte et d’y dégager les thématiques principales.Champ lexical sur le thème de la peur :  apeuré, frisson, cri, horreur, crainte, angoisse, effrayant, inquiet, redouter, terrible, horrifié, terreur, panique, avoir froid dans le dos, être figé sur place, etc.Champ lexical sur le thème de l'amour :aimer, amoureux, amoureusement, aimant, adoré, passion, flamme, tendresse, rouge, cœur, compagnon,

Théâtre : Le parcours du personnage Clindor : Le personnage de Clindor dans L’illusion comique de Corneille est un des protagonistes principaux. Il est le fils de Pridamant, qui le recherche désespérément, et n’est en fait matériellement qu’une projection magique dans la pièce. Il n’intervient pourtant qu’à partir du deuxième acte, le premier étant un prologue, situant le contexte de l’histoire que vit Clindor. Il est le valet de Matamor, guerrier à la prétention folle. Il le sert donc et

de Jean de la salle de bains à sa chambre permettent d'une part de réaliser « techniquement » le processus physique de la métamorphose, d'autre part de rendre perceptibles au spectateur les différentes étapes de ce processus comme l'« apparition effrayante » de Jean à la p. 164. 2) Les éléments sonores a) Ils concernent d'abord le langage de Jean. S'opère une déconstruction progressive de son discours, une dislocation de la syntaxe : - répliques brèves, parfois réduites à un mot ou deux («

(sujet 2) _ Karen AbboudHyppolite, le héros maléfique Le théâtre classique apparaît dans la seconde moitié du XVIIe siècle. Ce théâtre est caractérisé par la tragédie et la comédie. Le théâtre tragique fait appel à la fatalité, tandis que le théâtre comique a pour but de faire rire les spectateurs. Dans une tragédie, le héros ne peut malheureusement pas échapper les forces divines et cela mène toujours à sa mort. Dans la pièce de théâtre Phèdre de Jean Racine, Hippolyte va être victime de ce maléfice

tons : ironique, comique (dans les rapports entre la mère et la fille mais ce qui laisse vite place à l'inquiétude), tragique, pathétique, lyrique (crée entre le lecteur et l'auteur le même état d'âme) Ce qui est surprenant dans cette nouvelle c'est que Gregor Samsa n'a pas d'idée précise de son apparence. Dans le récit on ne perçoit que les pensées de ce personnage métamorphosé en insecte, à aucun moment il ne se voit dans un miroir. Ses parents et sa sœur lui renvoie une image effrayant, cauchemardesque