Le Comte Almaviva

deux classes sociales différentes, considérés comme les portes paroles de ces classes. Par exemple, le conflit maître valet que l’ont retrouve dans plusieurs œuvre tel que Le Mariage de Figaro de Beaumarchais, où Figaro, simple valet s’oppose au comte Almaviva souhaitant rétablir le droit de cuissage afin d’obtenir la promise de Figaro. La classe sociale « inférieure » revendique ses droits à travers ces personnages. On observe ce cas dans d’autre œuvre tel que L’île aux esclaves de Marivaux avec le

leur liberté sociale et l'égalité entre les hommes et les femmes. Elle a du désir envers Chérubin donc elle montre que les femmes tiennent mieux que les hommes face au désir, comparé au Comte qui a du désir pour Suzanne et qui ne s'en cache pas. Cette dernière aussi dénonce leur situation en refusant les avances du Comte qui abuse de son pouvoir. La Révolution française apporte des droits aux femmes et leur condition est dénoncée, alors nous pouvons penser que Beaumarchais l'évoque et que c'est un signe

paysannes, Mathurine et Charlotte, auxquelles il leur a promis le mariage. Le second texte (Le mariage de Figaro, de Pierre Caron de Beaumarchais) est également composé de répliques théâtrales, où la comtesse Almaviva, se fait passer pour Suzanne, sa servante, car son marri le comte Almaviva désire la servante, et enfaite fait des éloges à sa femme, croyant que c’est Suzanne. Enfin le troisième texte, (Cyrano de Bergerac, d’Edmond Rostand) également composé de répliques théâtrales, où le célèbre Cyrano

déçue et révoltée du train de vie que mènent ses petits enfants, et décide de quitter la famille. D’autre part, dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais, le comte Almaviva, amoureux, tente d’arracher Rosine de son vieux tuteur qui a le projet de l’épouser. A la fin, le comte et Rosine se marient avec l’aide de Figaro, un ancien valet du comte.   Ensuite, dans une comédie, l’auteur ne se contente pas seulement d’une situation amusante, il amplifie le comique en imposant à ses personnages des gestes

maître le comte Almaviva tente de retarder les noces afin d’obtenir les faveurs de la jeune femme. Sent suit de nombreux quiproquos et rebondissements qui rend la pièce assez insolente. De plus, Beaumarchais n’hésite pas à critiquer la société du XVIIIe siècle. LL1 :Dans cet extrait, nous apprenons que Figaro et Suzanne vont se mariés. Le valet est entrain de mesurer le plancher de la chambre que le Comte leur a offert. Cependant Suzanne refuse d’y loger et insinue à son fiancé que le Comte à choisi

Figaro, Figaro ne se contente plus de servir les amours de son maître le comte Almaviva, comme dans Le Barbier de Séville. Amoureux lui-même, il s'installe à la place centrale du héros. Dans Le Barbier de Séville, titre auquel il donnait sa situation professionnelle et géographique, sinon son nom, il était déjà véritablement le héros, mais occupait, dans un schéma actantiel, le rôle d'auxiliaire ou d'adjuvant du sujet-Almaviva dans sa quête de l'objet-Rosine, contre les menées et visées de l'opposant-Bartholo

fiancé, alerte et gai. Suzanne est une servante, fiancée, piquante et alerte. - Des personnages absents mais représentes: le comte Almaviva un grand seigneur infidèle et la comtesse une femme malheureuse. Le Barbier de Séville fait partie de l'exposition 2- La rencontre révèle également la situation et lance l'intrigue - F et S doivent se marier mais il se heurtent au comte qui veut exercer son droit de cuissage: élément au centre de l'intrigue car F ne va pas le laisser faire. - Exposition bien

Les principaux personnages vus par leur auteur. Dans sa préface et dans "caractères et habillements de la pièce", Beaumarchais donne de précieuses indications au lecteur sur ses personnages : - Le Comte est essentiellement caractérisé par son rang social et par sa puissance :"Un grand seigneur espagnol... un maître absolu que son rang, sa fortune, sa prodigalité rendent tout-puissant... C'est un mari peu délicat....assez galant,..., un peu libertin."De plus, il doit être joué "très noblement

Celui-ci fait des projets pour aménager leur future chambre, Suzanne lui révèle que le Comte lui fait des avances et veut rétablir le droit de cuissage qu'il avait dernièrement aboli. Figaro est le valet de chambre du Comte Almaviva et Suzanne est la première camériste de la Comtesse et fiancée de Figaro. Acte I, scène 2: Figaro, seul, comprend, à la suite de la révélation de Suzanne, la raison pour laquelle le Comte voulait l'éloigner du château. Il ne peut cacher son amertume de servir un tel homme

premier acte se passe dans la chambre de Figaro et de Suzanne ; or, l’auteur prend soin de préciser que cette chambre est « à demi-meublée ». Il manque le lit conjugal, symbole de l’union matrimoniale et c’est du Comte qu’ils doivent le recevoir. Ce détail rappelle que leur mariage dépend du Comte. De plus, le dénuement de leur chambre contraste avec celle de la Comtesse à l’acte II (richesse et confort). Beaumarchais précise que cette chambre est « superbe »Le décor de l’acte III traduit le caractère