Le Conflit Racinien

Il raconta la lutte qu’elle mena pour accéder au pouvoir, l’avènement de Néron, son affranchissement de la tutelle de sa mère, qui tenta en vain de maintenir son emprise, leur affrontement machiavélique pour le pouvoir et pour la vie, le double conflit entre eux dont les enjeux étaient le pouvoir, la survie et les plaisirs, cette concurrence pour le pouvoir entre eux aboutissant à I'élimination de Britannicus, que Néron, avide de puissance et de jouissance, fit empoisonner, percevant en lui un rival

Il raconta la lutte qu’elle mena pour accéder au pouvoir, l’avènement de Néron, son affranchissement de la tutelle de sa mère, qui tenta en vain de maintenir son emprise, leur affrontement machiavélique pour le pouvoir et pour la vie, le double conflit entre eux dont les enjeux étaient le pouvoir, la survie et les plaisirs, cette concurrence pour le pouvoir entre eux aboutissant à I'élimination de Britannicus, que Néron, avide de puissance et de jouissance, fit empoisonner, percevant en lui un rival

Fernand : « Enfin Rodrigue est mort, et sa mort m’a changée D’implacable ennemie en amante affligée ». Le roi la détrompe et l’enjoint d’épouser Rodrigue, qui a racheté son crime par son héroïsme et sa loyauté. n 2. Le dénouement heureux d’un conflit tragique (questions 1, 2, 3) La réunion sur scène, lors du dénouement, de la plupart des personnages est une tradition du théâtre classique, quel que soit le genre, tragique ou comique. Elle répond à la nécessité de voir scellé le sort de tous les

hiver. » i S'il fallait définir d'un seul mot l'art de Louis Hémon dans Maria Chapdelaine, on pourrait suggérer celui d'équilibre. L'esthétique de son récit est faite d'une harmonie subtile entre réalisme et symbolisme, harmonie qui reflète un conflit sous-jacent entre rêve et réalité, entre l'individu et la société. Les termes mis en opposition ici ne s'opposent qu'en se réfléchissant, de telle sorte que l'équilibre atteint n'est pas le résultat d'une progression mais d'une oscillation reflétée

stupeur, comme changé en pierre. - «oracle» : Ordre d’un dieu auquel on ne peut se soustraire. - «fatal» : Voulu par le destin. - «un oracle fatal, inévitable, qui lui demandait du sang, et du sang innocent» : La phrase résume bien le caractère du conflit et l’inégalité des deux adversaires. - «supposé» : Inventé faussement. Page 389 : - «poignants» : Pénibles à supporter. - «expédient» : Solution plus ou moins bonne pour se tirer d’embarras. - «Cicéron» : Il écrivit, après la mort de sa fille

papier qui s’est envolé ailleurs. Voilà de l’action ! 2. Le conflit entre les deux personnages éclate à propos de La Précaution inutile, sous-titre de l’œuvre de Beaumarchais. La jeune fille éprise de liberté (et d’amour) se heurte à un tuteur grognon, hostile à la nouveauté qu’il assimile à « une sottise » comme toutes les découvertes du siècle des Lumières. Le conflit de la jeune fille et du vieux barbon se double d’un conflit entre aspiration à la liberté, à la nouveauté, au savoir et la

les éléments essentiels du drame de Racine, une situation fort semblable ; mais la perspective est toute différente : le personnage cornélien garde assez d'autonomie pour traduire son analyse critique en refus d'adhésion, tandis que Ie personnage racinien, malgré sa lucidité, ne peut qu'adhérer aveuglément à une passion qui exprime I'angoisse de son insuffisance, et I'espoir d'une reconnaissance salutaire ; et le dénouement est différent. On peut avancer l’hypothèse que le jeune dramaturge qu’était

On a l les lments essentiels du drame de Racine, une situation fort semblable mais la perspective est toute diffrente le personnage cornlien garde assez dautonomie pour traduire son analyse critique en refus dadhsion, tandis que Ie personnage racinien, malgr sa lucidit, ne peut quadhrer aveuglment une passion qui exprime Iangoisse de son insuffisance, et Iespoir dune reconnaissance salutaire et le dnouement est diffrent. On peut avancer lhypothse que le jeune dramaturge qutait Racine ambitionna

hybride, ne pouvant séparer sa double culture, occidentale et africaine, alexandre Mordekhaï tente aussi de concilier ses cultures française, juive et arabo-berbère. nous voici placés au cœur même de la problématique soulevée par l’œuvre de Memmi : le conflit des cultures. Le monde d’Alexandre né dans une tunisie occupée par la France, alexandre apprend à l’école une langue nouvelle et il baigne ainsi dans une culture qui n’est pas la sienne (en l’occurrence la langue et la culture françaises). le narrateur

dans sa passion. Ce n’est pas l’exercice de la raison qui entraîne sa décision, mais le sentiment d’avoir été bafoué dans son amour. Contrairement au héros cornélien qui franchit les difficultés en obéissant aux valeurs les plus hautes, le héros racinien s’abandonne aux caprices de son cœur. C’est pourquoi la décision ne délivre pas le héros : il ne gagne pas en sérénité mais reste dans le tourment. 8. Un demi vers, et encore sous forme interrogative : « Faut-il voir Hermione ? ». Comment Racine