Le Conflit Racinien

scène à travers deux personnages de libertins une aversion intellectuelle à l'égard de l'amour, considéré comme un "déraisonnement" (lettre LXX). La nature de ce libertinage est donc inséparable de l'étude de deux caractères qui ne peuvent qu'être en conflit par l'identité même de leur prévention à l'égard des passions et de leur orgueil.    Ceci, au terme de la deuxième partie, peut commander une nouvelle attente de lecture. [pic]Lecture : lettre LXXXI (extrait) |TROISIÈME PARTIE

dans les sonnets comme dans Octavie, recouvre un mythe personnel. Profondément, l'union avec la figure féminine y est tenue pour une hiérogamie sacrilège. Le héros s'éprouve donc condamné et persécuté. De nouveau, un fragment d'Aurélia prouve que le conflit du héros avec un double "principe hostile" est associé aux images, idées et affects de l'aventure napolitaine. Une structure affective profonde se dessine. Conclusion : Octavie, les six sonnets des Chimères et certainement d'autres oeuvres sont greffés

lit (scène du portrait dérobé) ; en peignant des traits de mœurs (par exemple, un tournoi) ; en fournissant des repères chronologiques (paix de Cercamp, mort de Marie Tudor, mariage de Claude de France et du duc de Lorraine, etc.) ; en évoquant les conflits des grandes familles encore marquées d'idéologie féodale (page 195) ; en faisant revivre des figures historiques : Henri II, Catherine de Médicis, Diane de Poitiers, Marie Stuart) et des intrigues réelles. L'utilisation de l'Histoire est toutefois

l’expression de la vie culturelle et de la civilisation. * La langue poétique prend la forme de la parole sur fond de tradition mêlée à la langue communicative contemporaine. * Le rôle du langage dans la littérature est d’accentuer un élément de conflit et de déformation. Roman Jakobson * Essais de linguistique générale Questions de poétique * On se propose d’étudier les rapports entre le langage quotidien et le langage poétique : chaque mot du langage poétique est déformé par rapport

Iphigénie parler à Agamemnon, mais se prépare à agir pour empêcher le sacrifice. Acte IV Scène 1 : Ériphile confie à Doris qu’elle envie le sort d’Iphigénie car, pour elle, s’anime Achille qui fait hésiter Agamemnon. Aussi souhaite-t-elle qu’un conflit les oppose, qui serait bénéfique pour Troie. Scène 2 : Clytemnestre, étonnée de l’attitude de sa fille, veut néanmoins affronter Agamemnon. Scène 3 : Il s’étonne de l’absence d’Iphigénie qu’il voudrait voir aller vers l’autel, sans révéler dans

Iphigénie parler à Agamemnon, mais se prépare à agir pour empêcher le sacrifice. Acte IV Scène 1 : Ériphile confie à Doris qu’elle envie le sort d’Iphigénie car, pour elle, s’anime Achille qui fait hésiter Agamemnon. Aussi souhaite-t-elle qu’un conflit les oppose, qui serait bénéfique pour Troie. Scène 2 : Clytemnestre, étonnée de l’attitude de sa fille, veut néanmoins affronter Agamemnon. Scène 3 : Il s’étonne de l’absence d’Iphigénie qu’il voudrait voir aller vers l’autel, sans révéler dans quel

et Iphigénie parler à Agamemnon, mais se prépare à agir pour empêcher le sacrifice. Acte IV Scène 1 : Ériphile confie à Doris qu’elle envie le sort d’Iphigénie car, pour elle, s’anime Achille qui fait hésiter Agamemnon. Aussi souhaite-t-elle qu’un conflit les oppose, qui serait bénéfique pour Troie. Scène 2 : Clytemnestre, étonnée de l’attitude de sa fille, veut néanmoins affronter Agamemnon. Scène 3 : Il s’étonne de l’absence d’Iphigénie qu’il voudrait voir aller vers l’autel, sans révéler dans quel

tragédie qui est un genre classique et noble au XVIIème siècle. Elle met en scène des personnages appartenant à l'aristocratie ou à la mythologie. Elle montre la fatalité, le pouvoir des dieux (ou des hommes) contre lesquels le héros ne peut rien, ou un conflit entre l'amour et le devoir. La tragédie classique, liée à la tragédie grecque, veut inspirer la terreur ou la pitié pour purifier le spectateur (effet de "catharsis"). La comédie se caractérise par la mise en scène de la vie ordinaire et un dénouement

Iphigénie parler à Agamemnon, mais se prépare à agir pour empêcher le sacrifice. Acte IV Scène 1 : Ériphile confie à Doris qu’elle envie le sort d’Iphigénie car, pour elle, s’anime Achille qui fait hésiter Agamemnon. Aussi souhaite-t-elle qu’un conflit les oppose, qui serait bénéfique pour Troie. Scène 2 : Clytemnestre, étonnée de l’attitude de sa fille, veut néanmoins affronter Agamemnon. Scène 3 : Il s’étonne de l’absence d’Iphigénie qu’il voudrait voir aller vers l’autel, sans révéler dans

dans la société de son temps. Il s’agit de s’interroger (de dévaluer ?) sur le mythe de l’épouse vertueuse, de le dénoncer comme pure idée.     ü      Portraits de la présidente.   D’emblée, celle qui jouera un rôle essentiel au cœur du conflit entre les deux libertins, est un sujet de discorde entre eux. En effet, la marquise de Merteuil, très contrariée par le refus et le choix de Valmont, la dévalue en la donnant comme une femme sans grâce : « Qu’est-ce donc que cette femme ? des traits