Le Consommateur Est Il Toujours Rationnel Dans Ses Choix

entreprises qui vendent à des professionnels : entreprises, administrations, artisans, professions libérales, associations, etc. par opposition au marketing de la grande consommation (B to C = Business to Consumers) où les acheteurs et les consommateurs sont des individus et des familles. 2. Une même entreprise peut avoir avec des produits spécifiques mais aussi parfois avec les mêmes produits une activité B to B et une activité B to C. Exemple: Vente d’ordinateurs de bureau à des entreprises

Janati meryem Francine Année universitaire 2011-2012 Plan AXE I : comportement du consommateur A : généralité sur le comportement du consommateur B : particularité du consommateur bancaire Introduction Au Maroc et pendant de nombreuses années, les banques sont restées à l'écart de toute dynamique stratégique. Cette absence de comportement stratégique

la consommation et le comportement du consommateur. Mais pas seulement : de nombreuses disciplines apportent des précisions concernant l’étude de la consommation. HOLBROOK dans son développement rejoint le point de vue de BELK et analyse le rôle des autres disciplines. Commençons par la microéconomie : grâce à différentes observations telles que la différence entre la courbe de demande et les effets de la variation des revenus sur les achats des consommateurs, la microéconomie apporte une dimension

décision. Le degré d’implication peut être fort ou faible et ne dépend uniquement du prix. Le processus « think » renvoie aux achats réfléchis même si la réflexion est minime. Le processus « feel » renvoie aux achats de type affectif souvent peu rationnels. Implication forte Cognitif > affectif > conatifPersuasion, apprentissage, recherche d’information, le modèle de référence est la marque de confianceEx : auto, machine-outil, ordinateur, diététique… | Affectif > cognitif > conatifValorisation

n’est qu’une fois que le consommateur a vécu son expérience de consommation qu’il pourra devenir ou non fidèle à l’entreprise. Au cours de cette expérience, un seul mot d’ordre : la satisfaction !!! Il est donc important pour l’entreprise de tout faire pour satisfaire son client en lui proposant une offre qui va répondre à ses attentes. Mais une question se pose : un client satisfait est-il toujours fidèle ? Malheureusement non, 100 % des clients satisfaits ne sont pas toujours fidèles. En effet, si

produit Libre entrée, libre sortie ⟶ Si Offre > Demande : Prix ↘ Si Demande > Offre : Prix ↗ ⟶ Equilibre : Offre = Demande ⟶ Situation Optimale Rationalité : Egoïste (Pas d’acte gratuit), Matérialiste (argent), Parfait (optimisateur), Libre arbitre (toujours savoir). Exemple : Le marché du travail O,D O O=D D Equilibre Prix Contre-exemple : Marché du travail avec salaire minimum O,D O>D : Chômage 20 ⟶ Irrationalité des comportements ⟶ Déséquilibre sous optimalité 50 40 30 7 Saire mini 9 Prix

V : La Théorie du choix du Consommateur Introduction Section I : Utilité Cardinale I- La loi de l'utilité marginale décroissante II- La loi de l’ égalisation des unités marginales pondérées par les prix III- Difficultés de la théorie cardinale de l'utilité Section II : Utilité Ordinale I/Courbes d'indifférence ou d'iso-satisfaction A- Présentation B- Caractéristiques des courbes d'indifférences C- Le taux marginal de substitution (TMS) II- L’équilibre du consommateur A- La contrainte

producteur rationnel étant dans une situation proche de celle du consommateur rationnel, les deux analyses sont très proches l’une de l’autre.       En micro-économie, on raisonne sur le niveau élémentaire, ici l’entreprise. C’est ici une unité de décision indépendante, qui peut correspondre à un ou plusieurs établissements, mais pas nécessairement à une autonomie juridique : elle peut voir son capital financier contrôlé par une autre entreprise.       Le chef d’entreprise est rationnel. Il combine

les bases de donn´es op´rationnelles e e e (exploit´es pour la gestion quotidienne) est aussi utile pour une gestion e plus “strat´gique” de l’entreprise. e Les entrepˆts de donn´es o e (Data Warehouses) – Le type de requˆtes n´cessaires (e.g. “classer les clients en fonction de e e la fr´quence de leur demande d’interventions”) n´cessite un traitement e e – lourd, et donc ayant un impact sur les performances de la base de donn´es op´rationnelle, e e – pas toujours ais´ment expressible en SQL

l’affiche à la bannière internet. Cependant ??? elle a toujours influencé et séduit les ménages dans leurs achats. C’est pour cela ???? les entreprises commencent à donner plus d’importance à la création publicitaire qui est un domaine d’imagination et de sensibilisation, mais ces derniers se trouvent face à deux dangers: Le premier est que dans certains cas, l’imagination de ces créateurs peuvent ne pas s’adapter aux besoins et envies des consommateurs, Le deuxième est qu’il ya un grand risque de choisir