Le Consommateur Est Il Toujours Rationnel Dans Ses Choix

synthèse et programme pour le partiel Thème 1 : Le comportement des consommateurs : Premier concept utile pour l’entreprise : ➜ l’utilité = indicateur quantitatif qui mesure la satisfaction qu’un agent économique retire de son achat. L’utilité marginale diminue. TMS = prix à payer (de combien suis-je capable de renoncer ?) La décroissance de la relation peut être plus ou moins forte selon les catégories de produits, de consommateurs. Concept d’élasticité prix = permet de mesurer la sensibilité de

Microéconomie Première partie : Le comportement du consommateur Consommateur : agent, « petite entreprise », qui achète des biens et services pour répondre à des besoins et qu’il transforme en un produit final Valeur des biens matériels => utilité qui est le but ultime de l’activité économique Consommation : choix entre biens qu’il peut se procurer pour atteindre la satisfaction d’une consommation maximisée Hypothèses : * Evolution de l’utilité  XIXe siècle : néo-classiques considèrent

Certains affirment que chaque jour nous sommes confrontés à plus de 1000 publicités de tous types. A l’âge de 65 ans, un individu moyen a fait face à plus 2 millions de publicités. D’un coté certains affirment que la publicité ne fait qu’informer le consommateur sur la disponibilité des produits sur le marché alors que les opposants affirment que la publicité est « l’art de convaincre les gens de dépenser de l’argent pour des choses dont ils n’ont pas besoin ». Il serait possible d’affirmer que la

MARKETING Introduction : Nous avons pu constater, au cours du TD précédent, une évolution du comportement d’achat du consommateur et de ses modes de décisions depuis quelques années. L’acte d'achat et de consommation ne peut plus être considéré comme un acte purement rationnel et nécessaire. Aujourd’hui, la consommation a adopté une dimension affective et le consommateur, devenu « poly-sensoriel », est désormais à la recherche de stimulations sensorielles et émotionnelles lors de ses expériences

de l’émotion. Que le ressenti soit positif ou négatif, l’image agit toujours. En effet, tous les stimuli que nous recevons ont à la fois une charge émotionnelle et une charge rationnelle. Sauf pour l’odorat, tous les signaux sensoriels sont expédiés vers le thalamus, composant du cerveau humain. De là, ils sont envoyés dans deux directions : vers le centre des émotions où ils arrivent dans l’instant et vers une voie plus rationnelle, qui permet d’analyser par la suite. La réponse émotionnelle étant

utilisant des campagnes qui ciblent surtout les adolescants. Après plusieurs années de lutte contre le tabac et d’application des politiques préventives contre la consommation du tabac, des statistiques montrent que le taux des fumeurs reste toujours important dans de divers populations et dans les différentes catégories d’âges partout dans le monde. Ainsi , la question qu’on se pose, «  les politiques applicables aujourd’hui et depuis de longues années, sont-elles suffisantes pour faire abbaisser

réclames : prospectus et lettres toutes boites. * Les panneaux d’affichage et les magazines : images subjectives vantant des produits qui ornent les panneaux d’affichages et s’insèrent dans les magazines. Elles exploitent la psychologie du consommateur. En effet, les publicitaires exploitent les recherchent des sciences humaines et surtout celles de Freud, Pavlov et Maslow. Ainsi, ils procèdent à des études de motivation qui permettent de comprendre les raisons d’achat ou de refus du client.

l’analyse économique est le « mainstream ». En face il existe aussi un critique normative .Il s’agit de discuter sur le bon gouvernement. Le principal promoteur de cette critique normative de l’Etat providence se regroupe dans une école l’Ecole du choix public (public choice) avec James Buchaman et Gordon Fullock « The calculs of concent » et « Logical foundations of constitutional democracy » 1962 L’idée central est que les acteurs des économies publics ne sont pas incarné et ont leur propre intérêt

Ensemble des actions coordonnées, qui concourent au développement des ventes d’un produit ou d’un service. 2 Définition du Dictionnaire de Mercatique Ensemble d’études, de décisions et d’actions qui ont pour objet de connaître les besoins des consommateurs et d’y adapter les offres commerciales dans le but de réaliser les objectifs de l’entreprise. (Marketing en anglais). Du latin Mercure, Dieu du Commerce et des voleurs ! |MERCURE |[pic]

entreprises qui vendent à des professionnels : entreprises, administrations, artisans, professions libérales, associations, etc. par opposition au marketing de la grande consommation (marketing business to consumers ou marketing B to C) où acheteurs et consommateurs sont des individus et des familles. Au sens large, le marketing B to B est le marketing entre organisations, les entreprises étant un type d’organisations. Une même entreprise peut avoir une activité B to B et une activité B to C, avec des produits