Le Consommateur Est Il Toujours Rationnel Dans Ses Choix

En principe les besoins sont hiérarchisés. (Une personne qui meurt de faim à d’autres préoccupations que de se procurer une voiture. Les besoins sont donc physiologiques) Point de vu sur Maslow : Il donne la vision très rationnelle des besoins de l’homme. Sa vision est plutôt caricaturale, dans la réalité la hiérarchie est rarement respectée en particulier les adolescents, sujets aux pratiques à risque. L’individu se met volontairement dans l’insécurité au risque même de mettre en péril, voir

collectifs (communs) -Conclusion 1)Problèmes de la mauvaise qualité de l’information sur le marché: Sur le marché, les produits de bonne ou mauvaise qualité sont apportés par les offreurs mais cette offre doit en principe s’adapter au désirs des consommateurs. C’est donc l’analyse de l’évolution de la demande qui permet de caractériser les forces qui jouent en faveur ou au détriment de la qualité. De plus, dans certaines situations l’asymétrie d’information s’installe . C’est la situation dans laquelle

Stratégie de communication Briefing Annonceur Copy-Strat La communication 360° désigne le principe d’une communication : 1. qui mobilise tous les points de contacts possibles avec le consommateur ET les interactions possibles entre eux 2. Qui développe le discours d’une marque, d’une organisation…sur l’ensemble des supports retenus pour toucher les publics cibles ET selon la particularité des supports . Cette notion est notamment réapparue avec le développement des supports liés aux NTIC

raisonnement classique : Les fondements contenus dans l’ouvrage d’Adam Smith (le père de la pensée économique) sur la richesse des nations :  L’homme est rationnel : Il est rationnel par ce que autant que consommateur il va utiliser son revenu pour une satisfaction optimal de ses besoins.  L’homme est égo : que ça soit producteur ou consommateur il cherche son intérêt individuel (soit augmentation du profit, soit satisfaction du besoin).  Aucune opposition entre intérêt individuel et intérêt général

comprendre et d’analyser les comportements humains (groupes ou individus) dans leur dimension économique (pas seulement la richesse d’un pays, mais aussi la qualité, la sécurité, etc) : consommer, produire et échanger. 1.2 L’Economie = Une logique de choix Faire un état des lieux : décisions / résultats Mise en balance : objectifs / contraintes Analyses et recommandation éventuelle (prise de décisions) L’économiste n’est pas un gestionnaire : d’autres disciplines impliquées Raisonnement qui s’applique

Pubi-Union, 2000, 10e éd. Lendrevie J. et De Baynast A., Publicitor, Paris, Dunod, 2008, 7e éd. Vartanian J-C., Le Média Planning, Paris, Economica,1994 Introduction générale L’activité marketing ne se limite pas à l’élaboration d’un produit et au choix d’un prix et d’un mode de distribution. Une organisation qui veut aller au-delà d’un courant de vente spontané doit concevoir et transmettre des informations à ses clients actuels et potentiels, à ses fournisseurs, à ses détaillants ainsi qu’aux différentes

surtout en phase de maturité, lorsqu’il s’agit d’entretenir la demande. Les publicités pour Coca-Cola n’ont guère besoin d’informer ou de persuader, mais plutôt de rappeler la marque à la mémoire des consommateurs. La publicité d’après-vente : vise à rassurer les récents acheteurs sur la pertinence de leur choix. 1.4. La détermination du budget : Les facteurs à prendre en compte dans la décision. L’étape dans le cycle de vie : Un nouveau produit à besoin d’efforts publicitaires soutenus pour voir sa notoriété

qu'il est possible d'exporter des produits manufacturés dont le prix est plus élevé. * Le mercantilisme est une des premières tentatives d'analyse des phénomènes économiques. S'être posé la question de la cause de l'enrichissement, qui est toujours un fondement de la recherche économique, est son grand mérite. B - Une convergence d'intérêts entre les marchands et le souverain * L'analyse mercantiliste développe une vision harmonieuse de l'organisation sociale et économique: Les sources

Audrey Pottier L1 voie Sciences-Po Economie L’optimum du consommateur et le paradoxe d’Easterlin Un adage célèbre nous indique que « l’argent ne fait pas le bonheur ». Adage auquel on rétorque souvent que « si l’argent ne fait pas le bonheur, il y contribue fortement ». Ces deux idées nous amènent vers le paradoxe d’Easterlin. Ce paradoxe tient son nom de l’économiste Richard Easterlin qui l’a mis en évidence en 1974. Selon cet homme, une hausse du PIB ne se traduit pas forcément par une hausse

caractéristiques de l'offre et de la demande. Le marché de référence est a) le marché de concurrence pure et parfaite, qui est constitué par 5 conditions: MALTH - L'atomicité - L'homogénéité: (produits semblable en théorie, mais en pratique le choix va faire ressortir un élément primordial: le prix d'où la notion de produit) - Libre rentré et libre sorti d'une branche: (si la demande est forte, entrée facile; si la branche est mauvaise, peut quitter celle si avec facilité) -La transparence