Le Contrôle De La Douleur

N’oubliez jamais d’évaluer l’état de la personne avant un soin SE MOUVOIR ET MAINTENIR UNE BONNE POSTURE Nécessite pour tout individu pouvoir mobiliser toutes les parties du corps afin d’accomplir les mouvements coordonnés et contrôlés indispensable à son bien être. Maintenir en positon anatomique les différentes parties du corps en mouvement ou au repos afin que les diverses fonctions puissent s’accomplir efficacement. Diminution ou altération de la mobilité physique : Partielle

Introduction…………………………………………………………………….p.3 I. Anthropologie de la douleur……………...................................................p.4 1. Expériences de la douleur……………………………………………..p.4 2. Les formes de la douleur……………………………………………...p.4 3. L’incommunicable……………………………………………………..p.5 4. Ambivalence de la douleur……………………………………………p.6 5. De l’efficacité symbolique……………………………………………..p.7 II. La douleur dans l’accouchement : approche anthropologique………...p.8 1. Rôle et valeur de la douleur dans la société occidentale, « judéo-chrétienne

Syndrome extrapyramidal : Le système moteur extrapyramidal désigne les circuits nerveux responsables de la motricité involontaire, notamment réflexe, et du contrôle de la posture. On dit donc qu'il s'agit de voies polysynaptiques car elles mettent en jeu plusieurs neurones entre le cortex moteur et le muscle effecteur et donc plusieurs synapses. Clinique : 1- Un tremblement de repos ; 2- Une hypertonie, ou rigidité, décrite comme « plastique » (par opposition à la spasticité du syndrome

dans ce domaine tout est affaire « d’Ecole »… Enfin, cette intervention peut être réalisée de façon mini-invasive grâce aux instrumentations chirurgicales modernes et aux progrès des techniques d’implantation. Elle peut aussi être menée sous le contrôle d’un ordinateur (on parle alors de chirurgie “naviguée” par ordinateur). Le bénéfice à long terme de ces nouvelles techniques de pose n’est toutefois pas encore clairement établi même si elles suscitent à l’heure actuelle un enthousiasme certain

------------------------------------------------- ANALYSE DE SITUATION (2) Situation : Prise en charge de la douleur chez un patient qui a des douleurs chroniques qui sont accentuées par la souffrance psychologique Présentation de la personne soignée : Mme D. Marcelle, 89 ans, a deux fils et une fille qu’elle a élevé puisqu’elle était mère au foyer. Elle est mariée, son mari vit dans la même institution mais dans une chambre différente. La personne ressource est son fils qui est domicilié

disciple Lucrèce. En éthique, le philosophe grec défend l'idée que le souverain bien est le plaisir, défini essentiellement comme « absence de douleur » L'éthique d'Épicure est exposée principalement dans la Lettre à Ménécée et les Maximes capitales. La morale épicurienne est une morale qui fait du plaisir le bien[23] et l'origine de la vertu[24], et de la douleur le mal (la privation de bien). Elle nous enjoint de rechercher le Souverain bien, et d'atteindre l'ataraxie. Kant critiquera la morale épicurienne

robotique la vision est binoculaire en trois dimensions au travers d’une console. La technique de cœlioscopie associée ou non à la robotique permet d’une façon générale de faire des ouvertures plus petites que la chirurgie classique et d’avoir moins de douleur, moins de saignement, des hospitalisations qui sont plus courtes (sortie au 3 ou 4ème jour postopératoire) )le 10/06/13,la date de l’intervention est prévue pour le lendemain. A ce jour, Mr K est à j2 de son intervention, il semble de

santé…………………………………. I.1. Qu’est-ce que la rachialgie ?………………………………………………… ….. I.1.1. La lombalgie …………………………………………………………. I.1.2. La dorsalgie …………………………………………………………. I.1.3. La cervicalgie ……………………………………………………… I.1.4. les douleurs sciatiques I.2. Les causes de la rachialgie ………………………………………………………. I.3. Symptômes de la rachialgie ……………………………………………………… II. Etude de cas de dorsalgie …………………………………………………….……… Chapitre 3 : Les conditions de travail du personnel de santé

cérébrale . En cas d’hématome important avec conséquence sur le parenchyme cérébral : chirurgie . Hospitalisation en réanimation neurochirurgicale . Surveillance continue de la pression intracrânienne et de la pression artérielle (voire TC grave) . Contrôle scannographique /48h voire rapprochée en cas d’évolution Contusion cérébrale . Hémorragie intraparenchymateuse et/ou lésions axonales diffuses . Secondaire à l’onde choc et à l’écrasement du parenchyme sur la boite crânienne . Etat clinique du

Mme A, âgée de 98 ans, a été prise en charge en SSR (Service de Soins et de Réadaptation) le 28 mai 2013, suite à des chutes à répétition à son domicile sans traumatisme crânien qui ont occasionné une douleur persistante au genou gauche. Elle était hospitalisée auparavant dans un service de médecine interne depuis le 18 mai 2013. Mme A est veuve depuis 1994. Elle a 1 fille née en 1946 qui vit à Perpignan et deux petits enfants, l’un vit dans les Pyrénées, l’autre également à Perpignan. Mme A était