Le Courant Classique En économie

alors l'économie politique (terme d'A. De Montchrestien). On va alors s'intéresser aux moyens d'accroitre la richesse. Def classique de la pensée politique : s'intéresse à la production des matières, la répartition des revenus et la consommation. A l'époque, on s'est intéressé à l'État (fascination) notamment avec le mercantilisme, le pré-classique et le néo-classique. On a vu cependant apparaître des critiques avec par exemple deux célèbres contestataires : Karl Marx et John Raymond Keynes

politique. 4 grands thèmes sont abordés en macroéconomie : * la relation Marché / Etat * le lien Emploi / Chômage / Salaire * le Rôle de la monnaie * le débat Libre échange / Protectionnisme Histoire de la pensée économique : Les courants passés servent aux débats actuels, ces pensées ne sont en aucun cas « dépassées ». « Les hommes d’actions qui se croient affranchis d’influences doctrinales sont d’ordinaire les esclaves de quelques économistes passés »Keynes  Il faut donc se

celui de la rentabilité. Elle consiste à consommer un minimum de moyens en vue de réaliser un maximum de profits. La définition de l'économie n'est pas consensuelle. Ses contours et son contenu varient en fonction des auteurs et des courants de pensée.   Economie politique   L'économie politique apparaît à la Renaissance comme une discipline distincte de la philosophie qui s'intéresse à la création et à la circulation des biens matériels à l'échelle nationale. A partir du milieu du XXe siècle

théorique qui consiste à étudier une économie (l’économie d’un pays par ex) d’un point de vue global. La macroéconomie est une méthode d’analyse qui consiste à étudier et donc évaluer la situation économique d’un pays d’un point de vu général. Pour cela, la macro s’intéresse à l’analyse des grands agrégats économiques, des variables globales telles que le revenu national (PIB) d’un pays. Grâce au PIB nous pouvons déterminer le taux de croissance d’une économie. Il y a plusieurs variables globales

LES DIFFERENTS COURANTS ECONOMIQUES A PARTIR DU 18ème SIECLE Les économistes classiques : Adam Smith fait des recherches sur la nature et les causes de la richesse des nations. Il est un classique libéral : il s’oppose à toutes interventions de l’Etat. La division du travail et l’habileté des hommes sont les éléments explicatifs essentiels de la richesse des nations. Le marché est roi, il permet le développement des échanges. La recherche de l’intérêt particulier (liberté individuelle) conduit

l’État 6 I- L’État arbitre, ou la conception consensuelle de l’État 6 II- L’État partisan, ou la conception conflictuelle de l’État 7 III- L’État gestionnaire, ou la conception globale de l’État 7 Section 2 : Les fonctions de l’État dans les économies développées 8 I- L’État et la fonction d'affectation des ressources 9 II- L’État et la fonction de redistribution des richesses 9 III- L’État et la fonction de stabilisation de la conjoncture 9 Section 3 : La production de l’État 9 I- L’État

Arthur Cecil Pigou. Courants néoclassiques contemporains et représentants : - Néo-walrasiens : Kenneth Arrow, Gérard Debreu - École des choix publics : James M Buchanan Gordon Tullock - Nouveaux classiques : Robert Lucas Jr, Paul Romer - École de Chicago : Frank Knight, Jacob Viner, George Stigler, Gary Becker - Monétarisme : Milton Friedman Les idées néoclassiques La théorie néoclassique va chercher à renforcer les conclusions libérales des penseurs classiques mises à mal par d'autres

ressources) qui l’oblige à tenir des raisonnements de type économique. Nos besoins sont illimités mais nous sommes confrontés à une contrainte budgétaire. La question économique est donc partout (individuelle,globale). D’un point de vue historique cette économie va très tôt intéresser les penseurs, par ex les philosophes grecs de l’Antiquité. Etymologie du terme : Oïkos la maison et nomos la règle , l’ordre…donc l’économie pouvait se comprendre comme la gestion, l’administration de la maison .Philosophe

parfaite, qui ne pose pas de problème de définition : elle renvoie à quatre (ou cinq selon la typologie employée) hypothèses faites sur les caractéristiques d’un marché. Plus largement, ces hypothèses sont à la base de la démarche théorique néo-classique qui joue un rôle central dans la pensée économique aujourd’hui. On parle de « modèle de la concurrence pure et parfaite » pour désigner, à partir des hypothèses spécifiées, une méthode d’approche des questions économiques. Le « modèle de concurrence

nomieUNIVERSITÉ DE TOULOUSE LE MIRAIL U.F.R Sciences, Espaces, Sociétés Département Sciences Economiques et Gestion Année universitaire 2011-2012 EC0118X Économie-Écologie Geneviève AZAM à l’attention des étudiants, Ce document polycopié correspond à un nouveau cours de L3, relativement à la nouvelle maquette de licence qui prend effet en septembre 2012. Dans la mesure où il s’agit d’un cours de premier semestre, le document a dû être donné aux services d’enseignement à distance