Le Courant Monétariste

enrichi si les prix des actifs qu'il détient (actions, immobilier) augmente. Inflation 3 Impact de l'inflation sur la mesure du PIB La richesse créée au cours d'une année dans un pays donné est mesurée par le PIB. Le PIB nominal (ou à prix courants ou en valeur) est calculé avec les prix valables au cours de l'année considérée. Cette façon de mesurer fait croitre le PIB avec l'inflation, ce qui n'est pas objectif : en effet , si tous les prix doublent, le PIB double aussi, alors que la production

Chapitre 2 : Les grands courants de la pensée économique Les préclassiques : - XVIème/XVIIème : le mercantilisme (COLBERT) - XVIIIème : les physiocrates (QUESNAY, TURGOT) Les classiques : (travail sur la valeur d’échange) - 1776 : SMITH - 1817 : RICARDO - 1867 : MARX Les néoclassiques : (travail sur la valeur d’utilité) - années 1890 : WALRAS, JEVONS, MENGER Keynes 1936 Les monétaristes : ( ou école de Chicago) - années 1950 : FRIEDMAN L’école du déséquilibre : (théorie

MODELE NEOLIBERAL ET LA « GRANDE CRISE »OUVERTE EN 2007 Les ressorts du modèle néolibéral : racines de la grande crise de 2007 ? Pour commencer : Un contexte doctrinal bien particulier Héritiers de l’école classique le courant néoclassique s’il prend ses racines dans ce courant, va bien plus loin sur plusieurs postulats de base et sur la manière même de concevoir l’économie. dès la fin du XIXème siècle avec L.Walras Equilibre général (1834-1910), 1874. L’équilibre général : en CPP une situation

théoriques associés aux canaux de transmission décrits dans le paragraphe précédent, comme le montrent les exemples suivants. [pic] B) Les critiques théoriques Les critiques adressées aux politiques conjoncturelles par les économistes du courant libéral néoclassique n’épargnent évidemment pas la politique monétaire. La manipulation discrétionnaire (arbitraire) des taux d’intérêt par les autorités monétaires est considérée comme dangereuse et inefficace, car elle engendre des perturbations

indissociable à toute activité économique quelle que soit l’époque considérée, ne serait-ce que pour assurer la propriété privée et la sécurité des échanges. Ceci étant, l’Etat peut intervenir plus ou moins, selon les objectifs qu’il défend, et les courants idéologiques du moment. Après avoir été fortement présent à la sortie de la Seconde Guerre Mondiale, l’Etat semble souffrir d’une remise en cause généralisée, fondée par son inefficacité croissante à répondre aux attentes de ses citoyens. Faut-il

d'investissement des ménages et des entreprises augmente, en supposant un revenu stable. 1.2 Impact de l'inflation sur la mesure du PIB . La richesse créée au cours d'une année dans un pays donné est mesurée par le PIB. Le PIB nominal (ou à prix courants ou en valeur) est calculé avec les prix valables au cours de l'année considérée. Mais cette façon de mesurer fait croitre le PIB avec l'inflation, ce qui n'est pas l'objectif (si tous les prix doublent, le PIB double aussi même si la production reste

services produits par l'économie nationale et mis à la disposition du reste du monde. 4) Macro économie et micro économie La macro économie et le micro économie sont deux champs d’analyse distincts qui servent de base d’analyse pour des courants de pensées opposés (néo-classiques et keynésiens). Macro économie : elle s’intéresse aux grandeurs globales ou agrégées (conso, PIB…) et recherche les relations entre ces divers agrégats et a pour but d’éclairer la politique économique. (Les keynésiens)

|+2% |100 000 | |Claude |100 000 |105 000 |+10% |95 455 | Le calcul naïf compare les valeurs en monnaie courante, sans tenir compte de l'inflation. Il semble alors que Claude a fait la meilleure affaire. Mais cela ne tient pas compte du fait que, à cause de l'inflation (ou, dans le cas d'Alain, de la déflation), ces trois personnes ne pourront pas acheter les

monétaire se traduit par une augmentation des prix et non une augmentation des richesses réelles: C'est donc la production qui doit déterminer la façon dont la masse monétaire doit progresser. C'est la conception défendue par un courant de pensée contemporain: les monétaristes (Milton Friedman). Pour les libéraux, la monnaie est neutre (un voile) et ne peut exercer une influence sur la production réelle et sa gestion ne doit donc pas être confiée au pouvoir politique. Cependant, la théorie keynésienne

dominants. L'internationalisation s'est intensifiée au 19ème siècle. De 1815 à 1914, l'internationalisation connaît un essor remarquable. Les capitaux circulaient librement et un étalon unique, l'or, garantissait la convertibilité des monnaies. Les courants commerciaux se développent, bien que le libre échange ne soit pas la règle générale. Mais les deux Guerres Mondiales et les longues années de reconstruction et de crise qui ont suivi ralentiront fortement le processus pendant près de 40 ans. Il faudra