Le Dernier Empereur

le 28 février 380 par Théodose I qui a été empereur de la partie orientale de l’empire romain entre 379 et 395. Nous savons donc qu’elle émane de la volonté de Théodose. Toutefois, cette constitution, que nous connaissons grâce à son insertion dans le Code Théodosien et dans le Code de Justinien, indique comme auteur non seulement Théodose I, mais aussi les deux empereurs de la partie occidentale, Gratien (375-383) et Valentinien II (375-392). Si ce dernier en 380 avait seulement neuf ans et il n’avait

des invasions barbares. Cet empire romain est devenu si vaste qu’il ne peut plus être gouverné par un seul empereur il est donc divisé en 2 partie : * l’empire romain d’orient dont la capitale est Constantinople * l’empire romain d’occident dont la capitale est Rome (capital historique). Donc en 476 le chef d’une tribu barbare (Odoacre) envahi Rome, il dépose le dernier empereur ce qui marque la disparition officiel de l’empire romain d’occident. Au moment où disparait le pouvoir impérial

Empereurs et sénateurs d’Auguste à Vespasien Lorsque Auguste installe le principat, la République est théoriquement restaurée : le Sénat retrouve une place éminente, à sa tête le Princeps donne les grandes orientations, les magistratures sont maintenues. Pourtant, la réalité de l’évolution du pouvoir au cours du 1er siècle ap. J.-C. dessine les contours de nouvelles pratiques institutionnelles, qui se cherchent, entre innovation nécessaire à un nouveau régime et besoin de se conformer aux modèles

caractérise par une fonction bureautique et publique très développée. On leur enseigne le droit en ajoutant la législation impériale. Mais les jurisconsultes n’écrivent plus d’œuvres novatrices car la législation des empereurs a fini par éclipser toutes les autres sources de droit. Les empereurs décident alors de réglementer dans les tribunaux l’usage de la jurisprudence. L’encadrement de l’usage de la doctrine, la loi des citations de 426 Le système du JUS PUBLICE RESPONDENDI cause beaucoup de conflits

Maxence à la bataille du pont Milvius, est peut-être le plus célèbre des arcs de triomphe romains. C’est le dernier grand arc de la période impériale et sa structure à trois baies est très proche de celle de l’arc de Septimius Severus sur le Forum romain construit cent ans plus tôt. Situé entre le Colisée et le Palatin, l'arc de Constantin enjambait la Via Triumphalis qu’empruntaient les empereurs victorieux pour rejoindre le Capitole. L’arc mesure 21 mètres de haut, 25 de large et 7 de profondeur

AUGUSTE EN GRAND PONTIFE Cette statue est une statue d’auguste, empereur romain de 27 avant J-C à 14 après J-C, dans la tenue de grand pontife. On le connaissait déjà sous le titre de « princeps », ce qui désigne le Prince, le premier personnage de l’Etat. Il peut également signifier empereur. Ce dernier avait également le titre d’ « auguste », ce qui lui confère un statut saint, sacré. Il est attribué par la suite à tout les empereurs. On le découvre ici sous une nouvelle fonction, celle de « grand

reste la fondation de Constantinople Qui est Constantin Constantin 1er, issu d'une lignée de militaires de fortune, apparaît comme le plus important des empereurs romains, César et Auguste mis à part. Né à Naissus (aujourd'hui Niš, en Serbie), Constantin est le dernier d'une longue suite d'empereurs originaires d'Illyrie Il est proclamé 34e empereur romain sous le nom Constantin Ier en 306e HISTOIRE DE CONSTANTIN /POLITIQUE ET MONTÉE AU POUVOIR Depuis l’année 311 après jésus christ, à la mort de

notamment sur les grands fleuves, le Rhin et le Danube, que gardent les légions. Au IIIème siècle, l’Empire entre en crise : les tribus barbares franchissent les frontières, la situation intérieure se fragilise. A partir de Dioclétien (284 -305), les empereurs décident de scinder le territoire en deux fractions : Orient et Occident. En 312, Constantin s’impose à l’ouest. En 324, il s’empare de l’est. Sous son règne, le christianisme devient une religion d’Etat que l’empereur défend pour en faire le ciment

avec les Parthes, très favorable à ces derniers. Déjà lassé de ces tracasseries militaires il décida de se retirer à Antioche (actuelle Turquie) et profiter des plaisirs de la vie. Cependant se vautrant dans la débauche et le luxe, il provoqua la colère de l’armée abandonnée a elle même qui se met jusqu'à regretter ce rude mais compréhensif et redoutable chef militaire Caracalla. Dés lors circula la rumeur relatant l’existence d’un héritier (le futur empereur Élagabal) au regretté Caracalla. S’ensuivit

Dynastie Xia Les trois Augustes et les cinq Empereurs (三皇五帝, pinyin : sān huáng wǔ dì) sont les dieux et rois légendaires qui auraient régné en Chine avant ladynastie Xia. Les sinogrammes peuvent signifier : 三 (sān) désigne le chiffre « trois » 皇 (huáng) désigne l'idée « empereur/dieu » on retrouve 王 désignant le « roi » avec la clef 白 désignant le « blanc », la « pureté », la « clarté », originellement 自 désignant « soi-même » 五 (wǔ) désigne le chiffre « cinq » 帝 (dì) désigne l'idée « roi/dieu »