Le Devoir De Créon Le Roi

sont parfois + nombreuses que la parole) = 2 même que Ionesco, tournent en dérision le langage considéré comme impuissant et l’existance humaine étant absurde. Le songe d’une nuit d’été, Shakespeare ( 2 couples d’amoureux transis + 1 dispute entre le roi et la reine des fées + 1 potion qui s’en mêle et 1 troupe 2 comédiens amateurs qui préparent 1 pièce pour le mariage d’1 prince, tous vont s’entrecroiser ds cette forêt étrange, un peu magique, une nuit d’été ensorcelnate qui ressemble à 1 rêve). Dom

évidence la force des conflits qui trouve en elle toute leur signification. Ainsi dans antigone, Ismène et sa soeur présentent un portrait antagoniste et radicalement différent de leur oncle Créon. Ismène voit en son oncle un être puissant ("ils nous ferait mourir" ) et soumis au lois du pouvoir("il est le roi, il faut qu'il donne l'exemple") tandis qu'antigone nie son pouvoir en le rendant inexistant dans ses répliques. On voit donc s'établir un conflit entre une âme soumise et faible et une femme

l'individu était sujet du roi (au moyen âge) donc exclu du pouvoir à un citoyen qui est au coeur du système politique (situation telle qu'on la retrouve dans la république). La pensée grecque était donc fondamentale dans la mise en place de ces intitulions républicaines et dans la participation des citoyens à la vie politique. Les auteurs au 18s se sont en partie inspirés de la réflexion qui avait été élaboré par les auteurs grecques notamment sur les droits et les devoirs du citoyen. On a une trace

leur mal, et font tout leur possible pour les en délivrer, et ne craignent pas même de s’exposer à la mort pour ce sujet, s’il en est besoin. Mais, cependant, le témoignage que leur donne leur conscience, de ce qu’elles s’acquittent en cela de leur devoir, et font une action louable et vertueuse, les rend plus heureuses, que toute la tristesse, que leur donne la compassion, ne les afflige. Descartes, Lettre à Elisabeth, 18 mai 1645 Il ne faut pas accorder d’importance à la douleur, car elle ne

leur mal, et font tout leur possible pour les en délivrer, et ne craignent pas même de s’exposer à la mort pour ce sujet, s’il en est besoin. Mais, cependant, le témoignage que leur donne leur conscience, de ce qu’elles s’acquittent en cela de leur devoir, et font une action louable et vertueuse, les rend plus heureuses, que toute la tristesse, que leur donne la compassion, ne les afflige. Descartes, Lettre à Elisabeth, 18 mai 1645 Il ne faut pas accorder d’importance à la douleur, car

avec  la redécouverte du droit Romain à partir du 11ème siècle avec l'élaboration de théories par des juristes comme l'illustre la théorie statuaire de la couronne qui apparaît entre le 13ème et le 15ème siècle. Elle dissocie la personne physique du roi de la couronne royale c'est à dire que la loi de succession n'appartient pas au droit privé (pas de testaments possibles sur la couronne et de ses biens) mais relève de la coutume. Ce n'est plus un objet privé, on lui applique les règles de succession

sur une organisation juridique et sur des règles. « UBI SOCIETAS, UBI JUS » (où il y a de la société il y a de la justice , il n'y a pas de société sans droit). De plus, même les sociétés anciennes avaient du droit : ex : Le code d'HAMMURABI par le roi de Babylone au 18 eme siecle av. JC. La Grèce antique ou le droit romain, montrent que toute société met en place des règles de droit . °Quelles sont les origines historiques du mot droit ? La nécessité de Droit ne se fait sentir que dés lors

poserons la question des rapports entre droit et justice et celle de leur fondement à travers une question qui servira de fil directeur : LA LOI DIT-ELLE CE QUI EST JUSTE ? On connaît le conflit qui opposa Antigone à Créon : le décret de ce dernier interdisant d’offrir à Polynice la sépulture donnée à Etéocle, au motif que le 1er avait pris le armes contre sa ville, paraît inique aux yeux d’Antigone et contraire aux lois non écrites des dieux , antérieures à celles de

est l'arme de l'expression de sa science. Les flammes invisibles qui consument Créuse sont un effet surnaturel dans la pièce et surtout un élément très facile à mettre en scène. Médée, éveillant une méfiance évidente, n’aurait pas pu s'approcher du roi et de sa fille ; elle utilise donc le manteau tant désiré par la princesse et l'ensorcelle, lui permettant d'agir à distance. A l'inverse du char ailé venant soudain sauver Médée en fin de dernier acte, la magie peut parfois être facile à mettre en

laquelle il n’y a plus de distinction entre la comédie et la tragédie, Hernani est un simple homme du peuple dont le destin est mêlé à celui d’une femme de la noblesse, Dona Sol, dans l’oeuvre, le comique est très présent dès le début le roi se retrouvant par exemple à devoir se dissimuler dans un placard comme un personnage de farce tandis que l’amour impossible entre les deux jeunes gens et leur mort à la fin de la pièce constitue l’aspect tragique de la pièce qui restera l’un des exemples les plus critiqués