Le Dialogue Tragique

(1.20), Un faux se dialogue d,l"!oA* 4rt)" ^- QQ/rva ry* Antigone parle dans le vide. le garde est concentré sur son écriture, et elle n'entend pas sa réflexion (< On ne sait jamais pourquoi on meurt > à la l. 25-26). ll y a donc un faux dialogue entre les deux, et en même temps un dialogue différé avec Hémon. Antigone est profondément seule, c'est l'écho de sa propre voix par le garde qui va la faire rayer son aveu. ll y a aussi un faux dialogue car cette scène constitue

Un sentiment d'amour découle de la relation entre les deux personnages : « Si tu m’aimes, jure le moi » (l.49-50) « Je le jure » (l.54). 4. Le tragique est renforcé par l'ignorance qu'Hémon a du choix d'Antigone : transgresser donc mourir. Antigone est rattrapée par sa volonté d'être femme alors qu'elle a décidé de mourir. 5. Antigone mène le dialogue, alors que d'après le personnage d’Anouilh, Antigone est une personne renfermé qui n'a pas l'habitude d'être au-devant de la scène. « Elle pense

La pièce présente l’impossible décision de Titus de quitter Bérénice et se situe toute entière dans cette suspension tragique, ce mo- ment qui précède la séparation. On étudiera un extrait de la tirade de Bérénice, plus précisément, l’acte 5 de la scène 5. On envisagera l’analyse à partir de deux axes, une première partie où on démontrera que il s’agit d’un affrontement tragique où on étudiera l’expression de l’amertume et de la colère de Bérénice, puis la justification de Titus. On envisagera

une histoire lointaine dans l’espace. L’histoire d’amour est attendue, inspirée d’une histoire grecque. Le sujet est proche de pièces antiques. Cette relation triangulaire se retrouve dans le roman de Cassandre, et dans Otton, de Corneille. Vision tragique et radicale de Racine. Bérénice précéda Bajazet. Bérénice est la pièce la plus simple de Racine. Bajazet contraste avec Bérénice =&gt; coups de théâtre, hécatombe finale =&gt; souligne un changement de manière. Effet de surprise pour le public =&gt;

nez si écrasé" Argumentation directe Lexique péjoratifs Argumentation indirecte, à travers un dialogue Lexique péjoratif : l.4 " état horrible" l.12 " malheureux" l.15 " horrible" L.12: Enumération (les chiens, les singes et les perroquets) comparaison ( Les singes... sont mille fois moins malheureux que nous) et hyperbole ( mille fois moins) Argumentation indirecte, à travers un dialogue. Lexique péjoratif l.7" colons atroces" l.11 énumération de lexique péjoratifs " bornés, fourbes

suspens. I. Pour guider votre analyse 1. Une scène d’exposition a) Comment s’ouvre la pièce ? Quels sont les personnages présents sur scène et quel est leur lien ? Qui est au centre du dialogue ? b) Quelles indications trouvez-vous sur le cadre spatiotemporel de l’action ? c) Que découvrez-vous à travers ce dialogue sur les protagonistes de la tragédie ? Dites quels sont les liens qui les unissent et quelle image d’eux se dégage ? L’échange entre Hippolyte et Théramène donne-t-il des informations

genre théâtral, la tragédie, et son évolution. • Étudier la façon dont l’originalité de la réécriture d’un mythe antique renouvelle un genre théâtral ancien, la tragédie. • Comprendre comment des situations d’argumentation peuvent construire le tragique. LECTURE : - DE TEXTES : - Antigone de Jean Anouilh - La scène 1 de l’acte I de La Thébaïde de Racine - Début de l’Antigone de Jean Cocteau - Le prologue et une tirade d’Antigone de Sophocle - La Guerre de Troie

qu’il faut détruire tout ce que l’homme a créé en annihilant la civilisation, se transforment malgré elles en rhinocéros, symbole de la déshumanisation. Cette structure est destinée à renforcer l’effet tragique de la pièce ; elle va crescendo, ce qui accélère le rythme de la pièce et concentre le tragique de la situation en insistant sur l’incommunicabilité entre les êtres humains et la destruction de la civilisation humaine par l’homme lui-même, se transformant en monstre (métaphore du nazisme). Cela

Comparaison Deux séquences finales à comparer du point de vue de la fête tragique. Méthode : Questionnement doit se faire depuis Euripide jamais de notre point de vue (jamais 2 colonnes: différence et ressemblance). Sénèque est "une traduction d'Euripide" il faut donc passer d'une fête tragique à l'autre. Commence avec l'arrivée de Jason. Médée est dans la maison, avec les enfants. Dernier dialogue de J et M. après ou pendant le meurtre des enfants. 1) Commentaires habituels sur le meurtre

moment d’improvisation Est-ce que c’est une manière d’exister ? Txt déroutant et particulier, temps mort, Absurde oui, B moment marqué particulièrement par l’absurde, mais telle que B le définie → interrogation sur le sens de l’existence ? Txt tragique, le txt reste poétique (racine , sofocle) → déconcertants, décaler I) Le caractère de l’absurde dans ce texte 1) Apparaissent dès les 1ere lignes (l 1 a l 7) « converser » l1 suppose des manière → déplacer, surtout qu’il n’arrive jamais a converser