Le Dialogue Tragique

I)- La fonction divertissante de la « grosse farce » A-Les différentes formes de comique, l'héritage de la farce -Dans cette pièce alternent des scènes burlesques et des scènes tragiques : comique de situation, acte I, apparition du fantôme du roi Laius aux soldats de garde sur les remparts de Thèbes, il apparaît quand il ne peut s'exprimer, et disparaît quand il le peut ; comique de mots, surnom ridicule au devin Tirésias dit Zizi, comique de caractère, l'obstiné Laius. B- Des personnages

» narrataire. Elle parle à quelqu’un de précis : sa fille Françoise qu’elle aime énormément. Elle envoie ses nombreuses lettres pour combler la distance entre elle et sa fille. « ma chère fille ».• Echange de propos, impression de discours oral, dialogue écrit. « Vous me demandez » qui renvoie à une lettre précédente. « Ah ! » interjection orale qui donne l’impression de parole, il donne de la vivacité au récit, il exprime les sentiments. 2. La mise en scène de l’affectivité La tonalité exprimée

informations au metteur en scène ou au lecteur. On distingue : • Les didascalies initiales : elles donnent le titre de la pièce, les listes des personnages, les indications de lieu, le décor... • Les didascalies internes : elles accompagnent le dialogue (les gestes etc...). L'ENONCIATION: - Le discours direct: La première et la deuxième personnes pour l'émetteur et le récepteur ; la troisième personne pour le référent. Les temps verbaux du discours : le présent, le passé composé, l'imparfait

A. Le syllogisme ne marche plus lorsque l’on inverse les ordres. Le logicien est donc totalement illogique => cela en devient comique Encore une fois il y a faillite du langage => tout ce que l’on dit n’a plus de sens. Logique apparente : Dialogue entre Jean et Bérenger : au début, les paroles de Jean semblent plus logiques que celles de Bérenger… Mais au fond, les paroles de Bérenger sont vraies et logiques. « Les morts sont plus nombreux que les vivants, Leur nombre augmente. Les vivants

poss. Ironie du sort : si il savait ! Faut-il rire ou prendre pitié ? Le bonhomme fut stupéfait Sorte de didascalie encore + nom connote naïveté + adjectif qui confirme Mr R. jusqu’au bout est " l’éternel ahuri " qui échappe à l’intrigue Le dialogue qui s’ensuit Pas de colère, approbation Est-il encore le chef de famille comme la première scène du roman le laissait entendre ? 2.Jean et sa mère (les coupables) Jean, tout bas, dit à sa mère Jean lui avait pris la main Didascalies Un

schéma actenciel : l'adjuvant ) -Pridamant : père de Clindor, c'est une figure paternelle responsable du départ de son fils, l'on peut trouver un chiasme au vers 19/20 ( sentiments contradictoire ) b) Les personnes présentés indirectement dans le dialogue: -Alcandre : un mage extraordinaire ( personnage fantastique ) Il est sujet de l'éloge avec la répétition du mot « art » . Mais il est effrayant car il est près à se défendre contre les opportunistes. -Clindor : le fils de Pridamant, il n'est

permettra tout d'abor d'analyser le rapport qui se cré entre deux personnage indéfinis puis d'étudier la révélation du vrai nom de Zucco Tout d'abor, dans cette scene c'est un dialogue pueril entre les deux locuteur qui est constituer de stichomythies et qui montre certaines de leur similitude. En effet, ce dialogue est semblable a celui de deux enfants se rencontrant, ce caractere enfantin est marqué par les phrases simples et interrogatives. L'impératif est souvent sollicité par la gamine se

Correction du commentaire composé : Sujet : vous montrerez de quelle façon, dans cet extrait de Cinna, le dilemme appuie la situation tragique. Plan détaillé : Corneille, dramaturge du VII° siècle, reprend l’histoire romaine riche en complot et en figure tragique. Il s’intéresse ici au personnage d’Auguste dont le règne commence après la mort de César et qui symbolise pour les Romains le renouveau de la puissance de Rome. Il est le premier empereur de l’histoire. Mais pour arriver à ce

pièce soit retirée de l’affiche. 1 Une scène d’exposition peu banale 1 Structure de la scène -> La scène évolue en 3 parties (2 tirades de Sga coupées par un dialogue). Elle commence par une transgression en apparence saugrenue. L’essentiel n’est abordé qu’à la fin de sa tirade. -> G joue le rôle du questionneur dans le dialogue. Ce passage permet d’arrimer la scène et d’alléger l’effet produit par les tirades. Ici, Sga mène la scène à sa guise. -> Après l’éloge du tabac, le blâme de DJ. Sga

La Tragique Histoire d'Hamlet, prince de Danemark (en anglais: The Tragical History of Hamlet, Prince of Denmark) est la plus longue et l'une des plus célèbre tragédie de Shakespeare. Celle-ci fut publiée en 1603 et fit l'objet de nombreuses analyses psychanalytiques, thématiques, stylistiques et historiques dues à la richesses de ses références mais également à cause de l'ambiguïté que soulève son thème récurent : La folie. En effet, afin de venger le roi de Danemark assassiné, Hamlet, fils de