Le Dieu bleu

écrasant pigments d'origines minérales (charbon), féreuse (rouille), naturel (herbe) ou animal (sang). Cercle chromatique : M.Chevreuil a décomposé la couleur en couleur primaire et couleur secondaire. Primaire : celles qu'on ne peut pas composer : bleu, rouge, jaune. A partir de mélanges on obtient couleurs secondaires : violet, vert, orange. Ensuite on a les couleurs complémentaires : la complémentaire d'une couleur primaire est la couleur secondaire obtenue par le mélange des deux autres couleurs

jour par l'infini du ciel bleu ; Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu'une folie épouvantable broie Et fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ; - Pauvres morts ! dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie, Nature ! ô toi qui fis ces hommes saintement !… – Il est un Dieu qui rit aux nappes damassées

un tableau des horreurs de la guerre et les 2 tercets sont un tableau du calme de dieu. Bipolarisation du poème entre deux thèmes : la guerre & la religion. Ils sont opposés dans : ○ la violence & le calme ○ l'agitation & la sérénité ○ l'extérieur & l'intérieur Et en même temps un parallélisme : ○ même nombre de vers ○ 2 mots qui portent une majuscule ○ dimension de paysage ○ ils sont colorés tous les 2 (rouge, bleu, feu, vert, or, noir) Ces 2 tableaux sont séparés par une parenthèse. Celle ci renforce

bagarre, mort (risques du métier) ≠ dormeur « soldat jeune, bouche ouverte, tête nue » = rythme ternaire → repos, pas au travail, a posé les armes « cresson » : se situe à fleur d’eau voire dans l’eau. « bleu » : cresson vert mais dans l’eau = bleu V6 : marque détente à priori (ex : frais, baignant, bleu) mais la position du soldat indique qu’il y a un problème. Termes poétiques : La nature, l’herbe forment son lit définitif = de mort. « la nue » : le ciel « Pâle » ≠ « vert » « l’onde » : l’eau  aggravation

la ville de Troie et les hiéroglyphes par exemple. Elle a été construite sous le règne de Nabuchodonosor. D’après les croyances du peuple, un dieu suprême nommé Marduk (= le + grand dieu) se servait de cette tour comme passerelle pour aller voir les Hommes. Il possédait son propre temple en haut de l’Etemenanki et était fait de brique émaillées bleues. 2.Mythe Biblique Selon un épisode de la Bible, Nemrod (roi de Babylone) et ses hommes ne parlaient auparavant qu'une seule langue et ne formaient

récits de voyage. Il s’est battu contre les injustices sociales comme la peine de mort, il a écrit sur la misère humaine avec Les misérables par exemple. Il avait également des convictions religieuses. Il était anticléricalisme mais restait croyant en Dieu. La mort de sa fille Léopoldine et le christianisme renforcent sa croyance, d’où le recueil Les Contemplations. C’est un recueil de 158 poèmes partagés en six livres qui traitent de l’amour, de la joie, du souvenir, du deuil, de la mort et du spirituel

Le ciel est, par-dessus le toit... Le ciel est, par-dessus le toit, (2+1+5) Si bleu, si calme ! (2+2) Un arbre, par-dessus le toit, (3+5) Berce sa palme. ( 2+2)   La cloche, dans le ciel qu'on voit, (3+3+2) Doucement tinte. (4) Un oiseau sur l'arbre qu'on voit (3+5) Chante sa plainte. (2+2)   Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, (2+2+2+2) Simple et tranquille. (2+4) Cette paisible rumeur-là (5+3) Vient de la ville. (1+3)   --Qu'as-tu

Verlaine, Sagesse 1874 Le ciel est, par-dessus le toit, Si bleu, si calme ! Un arbre, par-dessus le toit, Berce sa palme. La cloche, dans le ciel qu’on voit, Doucement tinte. Un oiseau sur l’arbre qu’on voit Chante sa plainte. Mon Dieu, mon Dieu, la vie est là, Simple et tranquille. Cette paisible rumeur-là Vient de la ville. - Qu’as-tu fait, ô toi que voilà Pleurant sans cesse, Dis, qu’as-tu fait, toi que voilà, De ta jeunesse ? Plan de commentaire Verlaine

qui démarre le poème, reprise au vers 3 et au vers 5. Ces propositions circonstancielles montrent l’horreur de la guerre. La proposition principale avec ses dépendantes, se développe sur les deux tercets, et montre par opposition l’indifférence de Dieu. Les deux groupes de propositions sont séparés par deux vers (7 et 8) détachés entre tirets qui constituent, en incise, une invocation à la Nature. Axe de lecture: Nous montrerons comment Rimbaud dénonce différentes formes du “mal”. I- Un

point de vue de Zola (« fêter notre mort prochaine ») -déchaînement des éléments (« L’eau qui part en geysers ») -évocation religieuse = registre tragique -blasphème de Dieu par Zola se retrouvant face à sa destinée -toute la description a une dimension biblique - « ciel bleu, pur, innocent » =renforcement du blasphème envers Dieu qui selon Zola, se lave de tout soupçons. Après le passage de l’ouragan Katrina, un paysage de désolation est mis au jour. Une scène d’apocalypse est ainsi décrite à