Le Dieu bleu

"BLEU : Dans le langage sacré égyptien, le BLEU symbolise l’Immortalité ; • En Grèce, les prêtres de Chronos, maîtres du Temps, étaient vêtus de bleu. • Le BLEU apaise, calme profondément. • Il est un des attributs de Jupiter et de Junon, le dieu et la déesse du Ciel chez les Romains. • Les premiers chrétiens avaient choisi le BLEU pour symboliser Dieu le père. L’église chrétienne d’aujourd’hui l’utilise le plus souvent comme la couleur de la Vierge . Dans l’art religieux, il est coutumier de

poème a travers une mise en scène simple reste une dénonciation de la pauvreté et comment le regard d’Hugo transforme un simple mendiant en messager de dieu. Le mendiant apparait comme un homme miséreux «je me nomme le pauvre » (v.12), «Un pauvre homme… » (v.1) laissé de vivre. Il porte des habits usés « son manteau, tout mangé de vers, et jadis bleu » (v.18) ce qui donne l’impression qu’il mène une vie difficile. Victor Hugo utilise la métaphore pour montré que le vieillard vie en dessous de l’échelle

représentation de sept personnages sur les panneaux carrés centraux, celui du bas (Jessé) endormi sur le flanc étant à la racine d'un arbre dont les autres personnages face au spectateur tiennent les rameaux à deux mains. Les panneaux centraux sont à fond bleu, mais le ciel autour du Christ est

limite, universelle et éternelle. • L'âme intègre un autre corps. • Cycle infinie de renaissances (samsara). Philosophie
Temps est cyclique comme une roue.
L'existance dans le temps n'a pas de début ni de fin.
Dieu qui génère le monde : Brahma.
Dieu qui le maintenant : Vishnou.
Dieu qui peut le détruire : Shiva. Cycle des réincarnations
Karma.
Immortalité de l'âme.
L'homme ne peut se libérer de ce cycle qu'en atteignant la sagesse suprême a l'issue d'un long apprentissge 
Amrta : Sa propre immortalité

feu, chargé du pouvoir de régénération et de purification des âmes. Les vêtements rouges portés par le pape le Vendredi Saint rappellent l'Amour du Christ pour l'humanité.La couleur rouge du sang et de la flamme représente et le combat, et Mars le dieu du combat. Trop vif, le rouge reste le symbole du feu mais d'un feu ravageur. Il est signe de colère. Le jaune est la couleur des rois, celle du soleil, l'astre roi, "La lumière source de la vie", de l'or, "métal roi" inaltérable, et du signe du

jour » (v.2) marque une notion de temps à durée indéterminée. Le rythme des 2 premiers vers avec l’enjambement ne peuvent être coupés, ce qui traduit encore un effet de longueur temporelle. De plus, le cadre spatial est immense avec « l’infini du ciel bleu » (v.2) qui montre un espace non délimité. Par ailleurs, l’amplification épique avec le grand nombre de soldats « en masse » (v.4), et l’hyperbole «  cent milliers d’hommes » (v.6), l’utilisation du terme « milliers » au lieu de « mille » qui illustre

d'unir les deux parties du poème est très nette. Le verbe principal se trouve au début du vers 9 ("Il est un Dieu"). La structure grammaticale épouse exactement la forme même du sonnet et illustre (et renforce) le propos : l'indifférence de Dieu et de l’Eglise devant les misères humaines (ici la guerre). Il y a d'un côté (les quatrains) la guerre ; de l'autre, l'Église, et dans le silence de Dieu, son sommeil paisible, son rire, une complicité très marquée. 2) Quelles particularités formelles, par rapport

« roi », « raille » v. 3 ; « croulent », « broie », v. 4-5) reproduisent les sonorités de bombardements, qui se mêlent aux cris des soldats avec l’assonance en « a ». De même, les nombreuses monosyllabe (« siffle tous le jour par l’infini du ciel bleu », ou « vert du roi qui les raille », v. 2-3 ; « en masse dans le feu » v. 4 ; « et fait de cent millier d’hommes un tas », v.6) imitent le rythme saccadé et incessant des coups tirés. Le poète dénonce l’aspect destructeur de la guerre dans une métaphore

temps il la respecte. « l’infini du ciel bleu » (v. 2), évoquent la pureté et l’innocence , il expriment aussi la pureté de ce ciel , une pureté naturelle . Mais la Nature sacrée du poète est souillée par la guerre. Le contraste entre la guerre et la nature est marqué par la symétrie entre « pauvres morts ! » jusqu'au début du vers suivant. De même, la rime entre « ciel bleu » (v. 2) et « feu » (v. 4) est l’opposition entre la nature et la guerre . Le bleu et le vert sont associés à la nature, le

Les éléments visibles dans cette peinture sont: La vierge habillée de rouge est recouverte d'un drap bleu à droite du tableau, une main sur la bible. Elle est dans un espace intérieur dans lequel on remarque également des colombes. A gauche du tableau, on voit l'ange Gabriel qui est lui à l'extérieur se dirigeant vers la vierge. Au dessus, dans le soleil, on aperçoit ce qui semble être dieu le père lançant une colombe à Marie dans un faisceau de lumière. Les éléments sont organisés sur six