Le Directoire Est Il Un Régime Réactionnaire

composé de droits inaliénables et sacrés qui sont la liberté, l’égalité et le droit. * La liberté fondamentale, elle signifie que tous les hommes sont libres, la seule condition est l’existence. La liberté est la base même du fonctionnement des régimes démocratiques car il y a la liberté de circuler, de religion, de penser, de s’associer, etc. Le problème c’est que dans la DDHC il n’y a pas de hiérarchie entre les libertés. Il y a une combinaison entre toutes ces libertés et un équilibre entre

révolutionnaire qui sont cruciales. Les idées nouvelles de l’individualisme, du contrat social, de la liberté des peuples trouvent leur origine entre la Révolution et la Restauration. Les Alliés veulent reconstruire l’Europe comme une restauration de l’Ancien régime. Mais l’héritage de la Révolution française reste présent dans les régions occupées par Napoléon : fin des corporations, du système féodal, liberté de culte, nouveau personnel administratif et militaire. L’aristocratie et la noblesse ne retrouveront

appartient en régime démocratique à la majorité du corps électoral. Le pouvoir politique repose sur deux éléments : La domination : tout équipe au pouvoir à besoin de la sanction de la force (la contrainte légitime) La compétence : au sens littéral, c’est l’aptitude à donner des solutions justes aux problèmes qui se posent à l’Etat. C’est cette compétence qui entraine l’adhésion des gouvernés. Le pouvoir politique est légitimé par le consentement des gouvernements. En régime démocratique

Constitution.    La Constitution est la règle de droit qui organise la production d'autres normes, qui en régit la procédure. (Ex: La Constitution de 58 art. 34 dispose « ce qui relève du domaine de la loi : l'état et la capacité des personnes, les régimes matrimoniaux, les successions et libéralités, la détermination des crimes et délits, ainsi que les peines qui leur sont applicables, la procédure pénale (...) ». Ces matières relèvent du droit privé, elles sont de la compétence du législateur). On

l’Eglise. Il y a des écoles et même certains paysans savent déjà écrire. On estime que vers 1750, on avait un peu près un homme sur deux qui savait signer son acte de mariage dans le nord de la France. Cette situation va commencer à changer sous le régime de Louis Philipe par le biais de mesures adoptées par Bizaut qui a obligé toutes les communes a entretenir une école primaire dans les villes de plus de 800 habitants. Une école pour maître a été créée dans chaque département. Cette mesure a contribué

essentielles étaient celles des collectivités territoriales. Or, ce cours ne les évoquait pas. Pendant de nombreuses années, le cours va continuer à s'appeler « Grand Service public » mais il va évoluer vers une approche synthétique avec une approche du régime juridique des services publics. Aujourd'hui, il n'est plus question de cours de Grands Services publics. On parle de cours du service public ou des services publics : le contenu ne change pas pour autant. Cet ensemble est à part entière et se distingue

Chapitre Ier. L’ancien régime ( XVIème – XVIIIème siècles ) 3 Section I. La monarchie absolue de droit divin 3 Paragraphe 1. L’absolutisme 3 Paragraphe 2. Les limites de l’absolutisme 3 Section II. L’administration royale 3 Paragraphe 1. L’administration centrale 3 Paragraphe 2. L’administration provinciale 3 Paragraphe 3. L’administration locale 3 Section III. La justice de l’Ancien régime 3 Paragraphe

aux vues les plus vastes et se servant de l'expérience historique avec une sûreté qui éblouit et une aisance qui enchante. Le trait le plus frappant de notre temps est, sans doute, la décrépitude de l'intelligence politique. Le fonctionnement du régime parlementaire exige des chefs plus d'habileté que de puissance, plus d'opportunisme que de ténacité, plus de roueries que de vues générales. Sont portés au pouvoir des hommes sans expérience qui s'imaginent suppléer à leur défaut de préparation

JACQUART, Le XVIe siècle, Armand Colin, coll. « U », Paris, (1972) 2002. Margaret ASTON (sous dir.), Panorama de la Renaissance, Chêne, trad. fr., 1997, Thames & Hudson, Paris, 2003. Hervé DRÉVILLON, Introduction à l’histoire culturelle de l’Ancien Régime (XVIe-XVIIIe siècles), SEDES, « Campus », 1997. Ingo F. WALTHER (sous dir.), La peinture de la Renaissance, Taschen, « Époques et Styles », 1997. Marie-Madeleine FRAGONARD, Les dialogues du Prince et du Poète, Gallimard, « Découvertes », Paris, 1990

faisant l’étymologie de ce mot, qui vient du grec : Démos signifie le peuple et Cratos le gouvernement. La démocratie serait donc le gouvernement du peuple. Or, si l’on met de côté la période de l’Antiquité grecque, et notamment Athénienne, les régimes politiques se sont le plus souvent constitués sous la forme monarchique, et ce quel que soit le nom du monarque (Roi, Sultan, Caesar, Tsar, Empereur…) . Ce n’est que vers la fin du XVIIIème siècle qu’une personne remettant en cause le système monarchique