Le Doute Sceptique

s'imposer d'elle-même. Effectivement, si l'on imagine un monde sans croyance, on se rend compte que le doute s'installerait. Bien que le doute soit, dans certaines situations, une bonne chose (par exemple pour les sciences), lorsqu'il s'agit de douter en soi ou douter des autres, celui-ci prend une toute autre dimension. Ceci pourrait donc perturber le bon fonctionnement de la société car, lorsque l'on doute des autres, on se méfie et c'est alors que la « bonne entente » générale devient impossible : en

Thomas, pratiqué jusqu'au XVIe siècle environ, que Descartes critique profondément, mais dont il utilise la terminologie. * la sagesse de Montaigne : Descartes, lecteur de Montaigne, a réfléchi sur le doute sceptique de cet auteur. Mais, à la différence de Montaigne, Descartes veut sortir du doute et en faire un instrument de méthode. * surtout, ce furent les mathématiques et la science qui poussèrent Descartes à philosopher : mentionnons l'influence de Francis Bacon (1561-1626), qui avait très

Hume, c’est l’existence du sujet et le fait que celui-ci aie la pensée pour attribut ; comme lorsque Descartes écrit « je trouve ici que la pensée est un attribut qui m’appartient » (p.77). Je suis bien en train de penser quand je met en oeuvre le doute radical, et ce je c’est bien moi. Ce que Hume se refuse à admettre ici, c’est que l’âme soit le principe d’individuation de l’homme. Il se refuse à admettre que la conscience soit si limpidement réflexive : Hume ne croit pas que nous soyons à nous-mêmes

de vision, exemple : daltonien Il y a des incertitudes, parce que le principe de notre connaissance est fragile. Le sceptique poussent le doute, jusqu’à des conséquences inattendues. Ils soutiennent que la raison humaine serait incapable d’atteindre une vérité universelle ou que chacun de nous détiendrait notre propre vérité. La vérité serait pleinement subjective pour le sceptique. Elle n’exprimerait que les sensations et émotions au moment présent. Ces vérités ne dépassent pas le cadre de l’expérience

philosophe. II) La philosophie comme attitude Tous les philosophes prenaient exemple sur Socrate. Socrate qui a été condamné à mort à la ciguë (poison) Dialogue = connaissance Aristote Attitude = vertu Cyniques, Pyrrhon (sceptique) Socrate condamné pour corruption de la jeunesse, il fait preuve d’impiété, il ne respecte pas la religion. Diogène (-413 ; -327) Cratès (-368 ; -288) Ils ne cherchaient pas à avoir une grande place dans la société, ils se contentaient

été dit ci-dessus; mais, pour ce qu'alors je désirais vaquer seulement à la recherche de la vérité, je pensai qu'il fallait que je fisse tout le contraire, et que je rejetasse, comme absolument faux, tout ce en quoi je pourrais imaginer le moindre doute, afin de voir s'il ne resterait point, après cela, quelque chose un ma créance, qui fût entièrement indubitable. Ainsi, à cause que nos sens nous trompent quelquefois, je voulus supposer qu'il n'y avait aucune chose qui fût telle qu'ils nous la font

A partir de S on a deux philosophie: ?philo dogmatique= il y'a des réponses au questions philosophique (concerne la majorité des philosophes) ➡️ Platon( disciple de S) IV, Descartes +XVII, Leibritz +XVII, Macx XX ? philo sceptique= il n'y a pas de réponses, je doute qu'il puisse y avoir une réponse. ➡️Diderot XVIII, Russet XIX-XX, Sextus empiricus -III

Cependant, si je puis me permettre, l’histoire n'apporte pas de grande réflexion si ce n'est la démonstration d'une famille qui est meurtrie par l'absence d'un enfant et le doute que cela occasionne au membres restants. Les descriptions du temps qui passe et de la vie qui s'écoule reste quelque peu primaires et futiles. A la lecture on s'ennuie presque, comme semble s'ennuyer Claire. Les personnages évitent les sujets intimes comme s'ils étaient tabous. Ils sont malhabiles dans leurs échanges verbaux

Montaigne critique de la tradition philosophique L’une des fonctions de l’animal dans le discours sceptique des Essais de Montaigne est très certainement de contester ce qui constitue le propre de l’homme dans le tradition philosophique et théologique, c’est-à-dire sa supériorité rationnelle. Pour le montrer, je partirai de la conclusion du fameux bestiaire de Montaigne dans l’Apologie de Raymond Sebond, d’ailleurs critiquée comme scandaleuse par le chrétien et cartésien Malebranche1 : « Ce n’est

causent la crainte de perdre l’objet de son amour et quand le plaisir de posséder l’objet de son amour se présente, cette possession est insatisfaisante car on ne possède jamais une autre personne, on ne décide pas de son désir. c) - L’ataraxie des sceptiques ne peut-elle pas menacer la morale ? Mais cette équation qui relie la vertu et le bonheur d’un état d’ataraxie chez les stoïciens et les épicuriens n’est-elle pas fragile ? La vision du monde stoïcienne ne semble pas s’accorder à la vision du