Le Doute Sceptique

élabore une méthode en vu de la certitude. Le problème principal de Descartes est le point de départ qu’il désigne comme le doute : une suspension du jugement qui va faire apparaitre par contraste ce qui est indubitable, cad la nécessité incontestable. Pour Descartes, le paroxysme du doute fait disparaitre le doute et laisse ainsi place à l’indubitable. En effet, si l’on doute de tout jusqu’à note existence, l’indubitable apparait puisqu’il est nécessaire d’exister pour douter. « Je pense donc je

de distinguer la sphère de la certitude et celle de la vérité. La sphère de la certitude est celle de la conscience dont le savoir est différent de l’objet (qu’il s’agisse d’ailleurs d’une conscience qui renonce à la vérité, comme la conscience sceptique, par exemple, ou d’une conscience qui recherche la vérité). La sphère de la vérité est en revanche aux yeux de Hegel le mouvement propre du contenu. Le point de vue de la conscience, dans la fixité de son opposition à l’objet, et dans la fixation

spéculations métaphysiques : • La vue…est au 15/20 ce que l’au-delà est à l’homme Cf. Locke : Enterrement sur l’entendement humain : ce n’est qu’à partir de l’expérience que les idées peuvent se former. Voltaire va faire introduire la notion de doute repris par Descartes… Socrate : « Il n’y a qu’une seule chose que je sais, c’est que je ne sais rien » c. Critique de la tyrannie : • V. dénonce les abus de pouvoirs : juger souverainement, infaillibilité de leur maître. « il décida » : despotisme

Introduction un soir tard de juillet 2009 à la télévision, lors d’une émission littéraire, d’Eric-Emmanuel Schmitt était interviewé sur une de ces ouvrages qui devait sortir en septembre.. J’ai toujours été sceptique sur les ouvrages présentés lors des rentrées littéraires mais ici journaliste qui d’habitude n’était pas très complaisant était ici assez élogieux. Eric-Emmanuel Schmitt m’a paru lors de l’interview très raffiné au limites de l’obséquiosité mais cependant attachant et maniant

les choses extérieurs que nous voyons ne sont que des illusions et tromperies ». Cette position sceptique pousse à se demander si le monde que nous voyons, que nous qualifions de sensible, réel, existe-t-il vraiment ? Sans retenir cette proposition sceptique, force est de constater que nos sens peuvent être trompeurs. Parmi les illusions procurées par nos sens, les illusions d'optiques sont sans doute les plus connues, elles démontrent que les sens ne fournissent pas toujours une information vraie :

la vérité. Pour éviter de faire des erreurs, nous devons tous simplement nous abstenir de chercher toute vérité car la seule vérité qu’on peut atteindre avec certitude sans erreur est le doute. En cherchant la vérité, on se trompera et au lieu de nous en rapprochant on s’en éloignera. Selon les Sceptiques le doute est la seule vérité qu’on peut atteindre avec certitude. L’acquisition de la vérité est immédiate et ne demande pas d’effort particulier. Car chacun détient sa vérité. Pourquoi alors se

réel est en réalité douteux, l’existence de son propre sujet et de Dieu. Pendant qu'il pense que tout doit être soumis au doute, lui qui y pense est forcément quelque chose je pense, donc je suis. Ce qu’il est se caractérise par une essence qui n’a pour but que de penser. Descartes sépare alors le corps et l’âme. L’étape suivant est la preuve de l’existence de Dieu. Le doute qui assure l’existence de l’âme, lui révèle néanmoins son imperfection. Ainsi, l’idée du parfait qui est en chaque personne

philosophe : la capacité à raisonner dans toutes ses actions sans se laisser influencer par la religion dans le premier, l’évitement des passions souligné par l’image des ténèbres (2e paragraphe), enfin, la capacité à suspendre son jugement en cas de doute dans le paragraphe 3. L’énumération de ses qualités « raisonnables » et « intellectuelles » se fait à l’aide de connecteurs logiques qui soulignent la rigueur intellectuel de Dumarsais et clarifient le texte, comme « l’esprit philosophique est donc

oui penser implique toujours une negation comme le pense le philosophe Alain c'est commencer par nier ce qui parait evident, vrai certain reel. Toute pensee a pour origine une remise en cause un doute.c'est mettre en doute les certitudes etablies pour ne pas se laisser berner par les illusions du monde; IIpenser c'est affirmer c'est dire oui dans un 1 temps penser implique negation c'est insuffisant, cette phase de negation doit etre suivie d'une phase de creation.. nier ne suffit pas pour penser

alors il s'ensuit que réel et vrai ne se recouvrent pas. Secundo, "vrai" au sens cartésien (mais aussi spinoziste) se confond avec l'évidence indubitable. Le vrai possède cette propriété caractéristique de résister au doute : si "les plus extravagantes suppositions des sceptiques" ne parviennent pas à ébranler notre intime conviction, alors cette conviction s'avère assez "ferme et assurée" pour servir de vérité. Pourtant, cette position risque de confondre certitude et vérité : et chacun de nous