Le Déisme

à une absurdité 3 - Voltaire Déiste et humaniste Son rationalisme : l'Ingénu s'affirme comme un héros intellectuel Son humanisme : 'surtout dans la science de l'homme' Optimisme Croyance en la bonté et la raison naturelle de l'Homme Son Déisme : le Huron est le porte-parole de Voltaire La dignité de l'homme est d'exercer sa raison Conclusion Dans cet extrait de L'Ingénu, Voltaire montre ici les bienfaits de la raison dans sa lutte contre les absurdités et les préjugés qui font

l’Eldorado où tout est bien, sauf que ce bonheur n’est qu’illusion, car ce monde n’existe pas. Voltaire essaie donc, par le biais du vieillard, de transmettre ses idées sur la religion. A travers les réponses du sage, il donne la définition complète du déisme, doctrine que prônaient Voltaire, mais également Jean-Jacques Rousseau au 18ème siècle. Voltaire essaie d’attiser la sympathie du lecteur, de le faire prendre partie à cette religion en ajoutant des adjectifs favorables au vieillard, au fur et à mesure

est réduite à une absurdité 3) Voltaire Déiste et humaniste Son rationalisme : l'Ingénu s'affirme comme un héros intellectuel Son humanisme : 'surtout dans la science de l'homme' Optimisme Croyance en la bonté et la raison naturelle de l'Homme Son Déisme : le Huron est le porte-parole de Voltaire La dignité de l'homme est d'exercer sa raison Conclusion Dans cet extrait de L'Ingénu, Voltaire montre ici les bienfaits de la raison dans sa lutte contre les absurdités et les préjugés qui font le malheur

l’humanité de son propre destin. La critique porte sur la structure de la société, non sur le contenu des croyances : ils attaquent l’Église, non la foi. Le grand courant des Lumières se réclame, non de l’athéisme, mais de la religion naturelle, du déisme, ou d’une de leurs nombreuses variantes. Bougainville est un explorateur et selon ses récits, non seulement les peuples ne prient pas les mêmes dieux, mais certains, vivent libres et heureux sans lois ni Église : seule une morale naturelle organise

d’Irimette et de Géorgie. Mais on ne les craint plus.» Montesquieu trouve que le Pape n’a plus aucune utilité ni aucune autorité. Ici, Montesquieu critique le Clergé. Rousseau : Les idées de Rousseau trouvent leurs sources principalement dans le « déisme » ou dans la « religion naturelle », c’est-à-dire une religion qui se vit par l’expérience individuelle et ne repose pas sur une tradition écrite. Rousseau déclare à la fin de son existence qu’il a toujours cru, et qu’il s’estime lui-même, face aux

le condamne. (page 37, lignes 6 à 17) Critique de la religion (fanatisme religieux) : Religion et croyances ridiculisées. Les rites sont présentés de manière absurde, ridicule, sont discrédités. => le basilic p.107 Voltaire prône le déisme (= doctrine religieuse qui ne croit qu'en l'existence d'un seul Dieu). => chapitre 12. Dans ce chapitre il émet l'idée d'un Dieu créateur non révélé que les défenseurs des diverses religions pourraient adopter comme croyance commune. Il s'amuse à

Voltaire le voyait et parce qu'elle envisageait le mal comme nécessaire au bien. On pouvait être légitimement content de soi et du monde. Bien entendu, à cette époque, l'optimisme voltairien fut aussi une des armes les plus fortes pour la défense du déisme; en ce qui regarde les contes, cependant, cet optimisme trahit plus souvent que sa doctrine l'humeur de Voltaire. Vers 1747, quand ses infortunes devinrent plus nombreuses, Voltaire commença à perdre son humeur optimiste. En même temps, l'optimisme

innocence jusqu'à sa mort, le procès est rejugé à Paris et, le 9 mars 1765, la famille Calas est réhabilitée Introduction Ce texte, intitulé " Prière à Dieu ", appartient au chapitre 23 du Traité sur la Tolérance. C'est un plaidoyer pour le déisme; Voltaire, tel Montesquieu milite pour la multiplicité des croyances. Il veut aussi lutter contre le fanatisme, l'incompréhension et encourage le dialogue entre les différentes cultures. Dans un premier axe, nous verrons que ce texte est une

passions. -cependant, Rousseau ne se complait pas dans cette mélancolie, dans la dernière partie, il décrit une expérience qu’il a faite, une autre sorte de jouissance se rapprochant de l’extase. -« être incompréhensible »→Dieu. Rousseau exprime le déisme (affirmation de l’existence d’un Dieu sans s’appuyer sur des textes sacrés ni dépendre d’une religion révélée, prône une religion naturelle). Il arrive à Dieu par la raison. En réalité sa religion est le théisme. Sa religion est « naturelle »→cohérence

exemple, a été l’un des représentants du « parti philosophique » au gouvernement Français. Les Lumières se caractérisent également par leur diversité, notamment concernant la religion. En effet, on retrouve plusieurs courants comme le Déisme de Voltaire (critique des rites); Montesquieu lui reconnait une utilité sociale à une religion raisonnablement pratiquée; Diderot défend l’athéisme (fondé sur le matérialisme) et enfin Rousseau privilégie une religion naturelle où Dieu se révèle dans