Le Déisme

adresses directes à Dieu "daigne" & "fais que") + jeu des pronoms (// "toi" & "tu" = Dieu passe à "nos" & "nous" = les hommes) * Cf. dernier paragraphe : "puissent les hommes" * L'Homme au centre de la demande. B- Un manifeste déiste : * Déisme = Opinion, croyance de ceux qui admettent l'existence d'un être suprême mais qui refusent de lui appliquer toute détermination précise et rejettent la révélation, les dogmes et les pratiques religieuses * Voltaire présente une divinité unique, universelle

valeurs chrétiennes : fraternité, honnêteté, respect... Le combat de Voltaire rejoint celui des encyclopédistes. Ces idées défendue par les philosophes rejoignent aussi le message des Evangiles et ont peu à peu fait évoluer l’Eglise. Note Déisme : croyance en un dieu unique, suprême, immanent, ordonnateur ou créateur de l'univers, mais qui, contrairement au théisme, n'interagit pas avec le monde et n'intervient pas dans la destinée des hommes. C'est une philosophie sans dogme, ni religion

foi est réduite à une absurdité3 - Voltaire Déiste et humanisteSon rationalisme : l'Ingénu s'affirme comme un héros intellectuelSon humanisme : 'surtout dans la science de l'homme'OptimismeCroyance en la bonté et la raison naturelle de l'HommeSon Déisme : le Huron est le porte-parole de VoltaireLa dignité de l'homme est d'exercer sa raisonConclusionDans cet extrait de L'Ingénu, Voltaire montre ici les bienfaits de la raison dans sa lutte contre les absurdités et les préjugés qui font le malheur de

d’abord à « révélée » ; la religion naturelle est la connaissance de l’existence de Dieu par la raison, donc, en droit, par tout homme. Mais nous verrons plus loin que la religion naturelle a d’autres significations c) le « déisme » Souvent, également, synonyme de « déisme » (en tant que croyance rationnelle en l’existence de Dieu). A partir du XVIIIe, les deux termes vont se distinguer : Diderot, Essais sur le mérite et la vertu, Hermann, I, 297: le déiste est « celui qui croit en Dieu, mais

absurde + indéfendable par une logique apparente. Le ton de l’auteur de la lettre se pose en discipline « j’obéis, soumission » contraste entre autorité et soumission apparente. Responsabilité de tout église. Définition utile lors de l’oral bac : Déisme : croyance en un dieu unique, suprême, immanent, ordonnateur ou créateur de l'univers, mais qui, contrairement au théisme, n'interagit pas avec le monde et n'intervient pas dans la destinée des hommes. C'est une philosophie sans dogme, ni religion

qu’elles ont dans la société : la religion n’est pas attaqué, mais c’est l’Eglise qui est attaqué de la façon dont elle enseigne la religion dans l’Etat. Le grand courant des Lumières se réclame, non de l'athéisme, mais de la religion naturelle et du déisme, parfois de la franc-maçonnerie ; ses représentants s'opposent aux dévots, mais aussi aux matérialistes mécaniques. Pensez-vous que ce principe subsiste ? Je pense que aujourd’hui, oui ce principe subsiste mais pas pour les mêmes raisons. Aujourd’hui

justice bafouée et d’une vie absurde. CONCLUSION Ce repas, est pour Voltaire un lieu privilégié dans la confrontation des cultures et en particulier des religions. A travers une satire efficace de la religion, Voltaire délivre ici un éloge du déisme, croyant fermement en l’existence d’un Dieu, mais refusant l’idée de toute révélation particulière de celui-ci.

par la critique et le refus des préjugés. = multiplication des interprétations. Diderot fonde la religion sur la raison = la « religion naturelle » qui rapproche tous les hommes, sans tenir compte des différences de dogmes qui ne comptent pas. Déisme = volonté de bannir les mystères et les secrets de la religion du passé. Les philosophes luttent donc contre les dogmes chrétiens qui se confondent avec de la superstition, et qui conduisent à l’intolérance, « l’infâme ». Se pose la question de

divinité au cosmos tout entier. Dieu est imminent : chaque élément de la nature (nous y compris) est une parcelle de divinité alors que le monothéiste conçoit Dieu comme transcendant (infiniment supérieur au plan de la nature et de l’esprit humain). Déisme : Conception philosophique. Tels Voltaire et Einstein, le déiste croit en l’existence de Dieu mais s’arrête là : il rejette les dogmes des églises (croyant mais ANTICLERICAL). Il lui paraît plus raisonnable (parce que le monde existe) de croire que

indéfini, les choses et les êtres. Quelles que soient leurs différences, les.)hilosophes s'accordent sur le principe de la tolérance. il:! "'-:' •• L'esprit philosophique trouve en lui-même des vale urs que le christiamsme a perverties. Le déisme coricoit Dieu ,~omme le créa~eur de l'Univers, mais ce dernier va son train sans qu'Il intervienne: grâce, miracles et sacre- [)les @ntl~$: i'Oi>$,')tdie t,;V ~e ,c:m*re ;, f i l':-e~.. •• ••••• tG' esprit du XVllI' siècle'