Le Désir Nous égare T Il

montaient sur le perron du temple des Haches. D'autres ramassaient les pierres. L'un des passants, je crois, se cacha dans la mer. Ce n'est pas pour rien que ma mère est une reine. Je ne peux pas être confondu avec le vulgaire, comme ma modestie le désire. Je suis unique; c'est un fait. Ce qu'un homme peut communiquer à d'autres hommes ne m'intéresse pas. Comme le philosophe, je pense que l'art d'écrire ne peut rien transmettre. Tout détail importun et banal n'a pas place dans mon esprit, lequel est

a) Electre : Désir de vengeance : veut faire éclater la vérité Son seul but est la justice, elle veut rester pure. Electre pousse Clytemnestre à avouer afin de lui extorquer des aveux. Une fois ceux-ci obtenus, elle tuera, par l’intermédiaire d’Oreste, sa mère et l’amant de celle-ci qui est Egisthe. Electre reste inflexible. Elle reste toujours ancrée sur sa positon bien que des personnes telles que Clytemnestre, Egisthe et le président essaient de la dissuader. b) Phèdre : Désir de pureté :

amour ». Les troubles physiques ressentis par Phèdre montrent qu’elle ne peut maîtriser cette passion qui envahit son corps et son esprit : « Un trouble s’éleva dans mon âme éperdue ». En effet, les expressions telles que «âme éperdue » et « raison égarée » soulignent que la reine a également l’esprit profondément troublé, elle perd en quelque sorte le contrôle d’elle- même. Sous l’emprise de cette passion, elle voue un culte à son beau-fils Hippolyte. Enfin, nous pouvons voir que Phèdre idéalise

d'humiliationTroupeau confus les boutons arrachés aux capotes de terreSans armes sans ceinturons enroués à force de se taireLe pas rompu le visage étrangement sans expressionCouleurs des murs longés les yeux gris une barbe de trois joursBlonde ou rousse et le regard égaré des fauves et des sourdsLes voilà comme un cheminement maudit dans les champs pierreuxPlus grands que nature à côté des fusils Gras qui les escortentA travers ce pays où pour eux les maisons n'ont pas de portesCe pays qui n'a que des bornes kilométriques

tirés du ministère de Jésus. L’analyse de l’amour et du Dieu amour qui y est présentée nous renvoie ainsi aux visages de l’amour que l’on trouve dans l’Évangile : i. L’amour en tant que service social de la charité. Cet amour va au-delà du simple désir (eros); il est axé sur l’autre, comme l’amitié (philia) et comme l’amour agapè, qui amène au don de soi et à la communion. ii. La justice exigée par l’amour. Selon la justice (distributive, sociale), chacun reçoit son dû. L’encyclique fait allusion

Intro : L’illusion se présente comme un mal car elle égare les hommes. Elle empêche la connaissance humaine et elle peut se révéler dangereuse. Nous pensons aux illusions politiques, religieuses qui conduisent à la violence et aux guerres. Cependant, on peut contester cette condamnation de l’illusion. L’illusion semble avoir une utilité. Nous avons besoin de nous faire des illusions sur nous-même pour vivre. De plus nous pouvons constater que les hommes recherchent l’illusion afin de s’évader

l’être profond, discours courbe celui du paraître, face aux autres, il doit être prudent ; nécessité interne du monologue. Thème de la souillure Et le mariage comme sacrement ; problème : il y a eu remariage. Hamlet a vu sa mère somme un objet de désir qui a besoin d’assouvir ses désirs sexuels g pensées incestueuses qui le rendent malheureux et n’ose pas en parler à son meilleur ami Horatio. Il a une attirance sexuelle pour sa mère g complexe d’œdipe. M1 : Acte I, scène 2 Au début du

rationalité, fragmentation qui égare…toutefois au-delà de la mort figurée par l’ultime emblème, les derniers dizains marquent une évolution positive en réaffirmant la double vocation d’immortalité de l’amour et de la parole poétique. L’hermétisme de Scève nous laisse pourtant entrevoir l’anagramme de « l’idée » (renvoi au platonisme) et résulte d’une volonté de capter, de conquérir, d’éterniser par la parole ce qui pourtant lui échappe ou menace celle-ci ; le désir même. Le dizain (dix vers de

)Monsieur Armand... vous avez moins vécu que votre ami... vous calculez moins, mais vous me plaisez davantage... je vous donne ma fille... Armand. - Ah ! monsieur !...Perrichon. - Et remarquez que je ne cherche pas à m’acquitter envers vous... je désire rester votre obligé... (Regardant Daniel.) Car il n’y a que les imbéciles qui ne savent pas supporter cette charge écrasante qu’on appelle la reconnaissance.Il se dirige vers la droite ; madame Perrichon fait passer sa fille du côté d’Armand, qui

moralement se sont des femmes briser,épuiser,tous leur espoir son anéhentient,elles savent qu'elle ne représente plu qu'un matricule parmi des milliers d'autres. Quand elle sont envoyer à la mort elle poussent des cri jusqu'à la dernière minute dans le désir d vivre,certaine d'entre elles prient. Physique elles ont toute le crane rasé,une tenu rayer bleu et grise avec une jaquette noir. -La mourante ces le nom que lui a donné Magda. Ces une vieille femme plaine de bonté,mes aussi d'abandon. Elle a