Le Désir Nous égare T Il

divertissements et de sensations, pourraient être malheureux. Pas de religion => « Le sauvage leur apprends ce qu’est dieux dans son monde. III) Utopie ou contre-utopie ? Dans Le Meilleur des mondes Huxley à imaginé en quelque sorte le désir secret de ses contemporains : une utopie réussie, d'où sont bannis à jamais la guerre, les conflits sociaux et la maladie. Passionné de science et de philosophie, le romancier a éliminé aussi les naissances naturelles (fabriquées in vitro, selon des

essentiellement financières, les époux décidèrent que Mme B se ferait ligaturer les trompes à la suite de la deuxième naissance. La naissance eut lieu, mais le docteur omis de ligaturer les trompes. Le contrat écrit sur la stérilisation ayant été égaré, personne ne remarqua cette omission. En 1997, se sentant mal à réitérées reprises, Mme B se fit ausculter et l’on découvrit qu’elle était enceinte de sept semaines. En janvier 1998, Madame B donna naissance à une petite fille en pleine forme. La stérilisation

est confondu, englouti, annihilé. Pourtant ce poème "Éternité", cache bien la joie probable de la forme maîtrisée de la langue nouvelle, car Rimbaud sait les sacrifices nécessaires et l'égarement possible. Le poète y prend l'aspect d'un fou, d'un égaré. Il pense avoir réalisé la fusion de la matière dans l'éther, le libérant de toute préoccupation ordinaire, des entraves, des freins, des angoisses mais proche de la folie. De ces espaces impalpables le monde semble se perdre dans une agitation inutile

pour une insensible. Que voulez-vous ? J’ai la triste condition d’avoir divorcé avec la nature. Je ne rêve, je ne sens plus que l’horrible, l’extravagant. Je poursuis l’impossible. Oh ! c’est affreux ! Se consumer, s’abrutir dans des déceptions ! Désirer toujours, n’être jamais satisfaite. Mon indignation me tue. C’est être bien malheureuse ! Il y avait dans tout ce discours une action si vive, une expression si forte de désespoir, que je me sentis ému de pitié. Cette femme souffrait à faire mal…

Rousseau : Malheur à qui n’a plus rien à désirer ! (Extrait de la nouvelle Eloïse, 1761) « Malheur à qui n’a plus rien à désirer ! Il perd pour ainsi dire tout ce qu’il possède. On jouit moins de ce qu’on obtient que de ce qu’on espère, et l’on n’est heureux qu’avant d’être heureux. En effet, l’homme avide et borné[1], fait pour tout vouloir et peu obtenir, a reçu du ciel une force consolante qui rapproche de lui tout ce qu’il désire, qui le soumet à son imagination, qui le lui

face à son destin et doit assumer, aller vers l’inconnu en ne comptant que sur ses propres moyens : c’est Peau d’Ane devant quitter le château, la prospérité et la sécurité, pour devenir une souillon qui garde les cochons ; c’est le Petit Poucet égaré dans l’immense et menaçante forêt où rôdent les loups et les ogres — La menace de la faim et de la misère plâne sur ces êtres : le fils du meunier n’a pour tout hériitage qu’un chat et envisage de le manger pour ne pas mourir de faim ; dans la famille

description en une véritable galerie de monstres. L’enfer L’enfer est la première partie de la Divine Comédie de Dante Alighieri composé entre le XIIIème et XIVème Siècle. Inspiré de l’Eneide de Virgile, le poème raconte l’odyssée du poète lui-même égaré dans le péché mais sauvé par la défunte aimée Béatrice, ainsi que son périple dans l’autre monde. De L’enfer jusqu’au Purgatoire, il est guidé alors par Virgile, et jusqu’au Paradis par Béatrice. Chez Virgile, la pythie guidait Enée aux enfers, ici

« ou » (v.305-306). * 2 groupes nominaux juxtaposés (v.312). * Noms communs juxtaposés (v.311) -> fortes antithèses. * Pensée de Rodrigue piétine. II- La tentation de la fuite dans le suicide (v.31 à 40) a) Justification du désir de mourir * 4e stance ménage une progression : Rodrigue veut mourir « il vaut mieux courir au trépas » (v.321). * Vers 322 à 330 justifient ce choix : * Valeurs d’égale force : choix impossible (comparatif d’égalité « aussi bien »).

| II. Dame, quand je fus en votre présence et que je vous vis pour la première fois, mon coeur était si tremblant qu'il resta entre vos mains, à mon départ.  Il fut alors conduit, sans rançon, captif en la douce prison dont les piliers sont de désir, et les portes de beau regard, et les anneaux de bon espoir. | III. De la chartre a la clef Amors Et si i a mis trois portiers : Biau Senblant a non li premiers, Et Biautez cele en fet seignors; Dangier a mis en l'uis devant, Un ort, felon, vilain

Créon va accueillir ses enfants comme les siensChœur : se met à chanter, pas directement sur l’action, plus décrocher car ils racontent l’histoire de la Toison d’or 3ème mouvement : dialogue Médée et nourrice : elle est inquiète de la fureur de Médée, désir de vengeance, elle veut une vengeance magistrale mais ne sais pas comment faireArrivé de Jason : essaie de se justifier au lieu d’être tué il se mari, elle plaide sa cause (elle n’a personne d’autre). La nourrice appelle Médée à fuir avec Jason. Il